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EAN : 9782020324366
143 pages
Seuil (02/09/1997)
4.24/5   519 notes
Résumé :
" National-socialisme. Doctrine fondée par Adolf Hitler pendant les années folles. En abrégé, on dira plus volontiers " nazisme ", c'est plus joli. "
Que lire après Dictionnaire superflu à l'usage de l'élite et des bien nantisVoir plus
Critiques, Analyses et Avis (21) Voir plus Ajouter une critique
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Je vous salue, M.DESPROGES plein de grâce ;
Mon kiki est avec vous.
Vous êtes bénie par l'humour noir
Et le rire, fruit de vos entrailles, est béni aussi
Saint Desproges, père du cynisme,
Prions pour vous, pauvres rieurs
Maintenant que tu es mort, et à l'heure de notre mort.
Amen.

Je vais tacher rester dans l'esprit du bouquin :

Z : Les enfants l'adorent parce que les parents roupillent ZZZ…ZZZ… (Très proche du X)

X : inconnue populaire aux moeurs libertines, se pavanant les jambes écartés et sans culotte - Souvent accompagné de A et B pendant notre jeunesse - Qui prend tout son sens vers 15 ans, voir 10/12 ans depuis quelques années - Censuré illégitimement le premier samedi du mois. le x peut-être un compagnon de jouissance quand choupette zzz zzz zzz….

Somalien : légende tristounette, sous alimentée par les mémés pour que les enfants mangent des endives.

Religion : illusion illusoire plus morale que la politique (ah si j'insiste : la capote est un fléau, et le sida une bénédiction) qui occupe les journées des pauvres parce qu'il faut bien financer, et puis l'espoir fait vivre donc pourquoi s'en priver - A tendance mythomane

Religieux : qui pratique la religion à temps plein, et la pédophilie mais seulement si Dieu le veut…

Raciste : Qui n'aime pas du tout les X (voir le X) mais qui n'a rien contre le A et le B.

Politique : illusionniste à la rhétorique illusoire, qui occupe les journées des pauvres parce qu'il faut bien financer, et puis l'espoir fait vivre donc pourquoi s'en priver - A tendance mythomane

Papa : Spécialiste du ZzzZ majuscule s'il vous plait, s'est un peu amélioré ces dernières années - Souvent absent de 5 à 7 pour combler le manque à gagner des femmes - Et puis le temps qui passe n'arrange rien...

Mousquetaire : lâche qui ne sait pas se décider – sa devise : un pour tous et tous pour un (voir gauchiste et droitiste)

Militaire : tueur en série sponsorisé par l'état

Maman : femme du temps qui passe mais d'une grande objectivité : « comme que tu es beau mon fils… »

Kiki : colosse qui a la larme facile, surtout quand choupette ne zzz…zZZ pas – expression : je vais faire pleurer le colosse.

Kamikaze : de celui ou celle qui a l'esprit de sacrifice, reconnaissable à sa barbe ou à ses yeux bridés (source USA – ♫Born to the USA, born to the USA ♫)

Jésus Christ : Kamikaze plus populaire que Jéhovah, fils de Dieu et d'une vierge répondant au doux nom de Marie, d'ou l'expression «Marie la cochonne»... Ah non merde c'est peggy - Et très friand des madeleines toutes chaude.

Intégriste : Qui fait un peu trop de zèle.

Gauchiste : Bon à rien : qui a deux mains gauche - Sa devise : un pour tous... ah non merde yen a pas assez, tant pis je vais tout garder, le principal c'est d'y penser.

Gauche : à l'opposé de la droite

Homme : Fan des X et des Z, l'homme aspire dès sa naissance à être honnête, droit, sincère, d'une grande sensibilité et bien élevé - Son problème : c'est que ce n'est pas une une femme donc il sera violent, menteur, manipulateur et surtout plus con que con car plus blanc que blanc mais surtout pas noir et encore moins PD

Frigide : mouvement féministe causé par un mâle souvent trop entreprenant (mâle de tête, mâle de bide etc…)

Femme : être sensible et caractériel souvent bonnasse mais qu'on respectera seulement quand elle s'appellera Choupette, avant tu peux me sucer marie… ah pardon c'est quoi ton petit nom d'amour déjà… ah merde tu ne peux pas parler, ce n'est pas grave, le silence est d'or(gasme) :
« allé allé cul sec, t'en fou pas partout hein ! »

Erudit : intello en voix d'extinction

Enfant : Qui empêche les papas de profiter du Z et du X et ça c'est plutôt moche… peut-être évité si vous êtes un athée gauchiste.

Échangiste : Communiste (voir communiste) libertin qui ne pense qu'au cul et pas assez à l'argent - Ya pas que l'argent dans la vie merde ! - sa devise : Tous dans tous...

Droitiste : à l' opposé du gauchiste et souvent plus malin - sa devise : « tous pour un, mais surtout pour moi » ... les somaliens ne sont qu'un dommage collatéral fâcheux, en même temps on s'en branle un peu quand même de tous ces étrangers.

Dieu : Inventeur de l'inceste, de l'espoir, du racisme et des règles douloureuses, mais toujours dispo quand on a besoin de lui (source Somalienne etc…etc…etc… jusqu'à l'infini). Qui n'aimait pas les femmes non plus.

Doudou d'amour : Mon chat préféré, frère de choupie d'amour – Beau tigré de Sibérie

Communiste : Échangiste platonique qui ne pense qu'à partager, sans dieu ni maitre, évidement pauvre mais malheureux, ya pas que le cul et l'argent dans la vie merde ! - Sa devise tous pour tous mais surtout pour celui qui commande, sous peine de crever dans d'atroces souffrances.

Choupie d'amour : ma deuxième chatte préférée - A ne pas confondre avec
Choupette qui est la première, elle perd moins de poil à part quand je zozote, et quand Hugo zozote : choupette gueule…

Choupette : bonnasse respectée et chéri par son mâle, qui aime bien le X que sinon elle s'appellerait Frigide et j'en voudrais pas...Un bon gauchiste n'encourage pas les "barjot" mais plutôt les PD, et ce pour faire chier les droitistes et surtout les curés et curretes... ah non merde Dieu n'aimait pas les femmes.

Boudage : Inventé pour les femmes pour justifier l'injustifiable :

Bah pourquoi tu boudes
Tu ne comprends rien de toute façon
- ???? je n'ai rien compris

Abruti : qui abrute les I mais tout le monde connait

Ça suffit maintenant, ça suffit...

A lire et à relire…
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Une référence absolue pour tous ceux qui aiment Desproges.
Ce petit dictionnaire, superbement illustré, nous apprend notamment ce qu'était le mégathérium et les circonstances terribles de la mort du docteur Zamenhoff, génial inventeur de l'Espéranto.
Les pages centrales traduisant des locutions latines et étrangères bien connues renouvellent notre vision de la philosophie antique et de la littérature.
Indispensable, et pas uniquement à l'usage de l'élite et des bien-nantis.
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Avant il y avait des gens drôles et méchants avec les cons, et qui s'en foutaient de leur image, avant, il y a longtemps.
Desproges n'est plus, depuis longtemps, et depuis longtemps il me manque...
Alors de temps en temps je me ressorts un petit morceau de ses conneries, des petites phrases assassines par-là, des trucs pas du tout politiquement correctes, mais putain, ils nous les brisent, les médias, avec leur censure étriquée qui pue les U.S.A. (à prononcer -You-SS-Eï...)et ces pauvres "stand-upper "comédiens, bien aseptisés, bien formatés, qui font pas de vagues...
Pauvre Pierre, l'est mieux là où il est, c'est trop consensuel tout ça maintenant... Ceci dit quelque chose me dit qu'il s'entendrait bien avec Gaspard Proust.
Et quand à l'été, l'a beau rugir comme un féroce soldat, ça m'étonnerait qu'il passe l'hiver...

oh, et puis, pour vous amusez un peu en vous cultivant, allez, un p'tit quizz vite fait ?
Lien : http://www.babelio.com/quiz/..
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Pierre Desproges appartient à une génération d'humoristes qui savait voir, dénoncer, provoquer, faire réfléchir et FAIRE RIRE des absurdités de notre quotidien, de la société et du monde. Doté d'un sens de l'autodérision, il nous livre dans ce « Dictionnaire superflu », en n'éludant aucun sujet sensible, SES définitions marquées d'un humour noir grinçant.

Les thèmes qui lui sont chers ? Les plaisirs hédonistes (les femmes, la bonne chère, le vin), mais aussi le nazisme, l'antisémitisme, le racisme, le terrorisme, la politique, la religion, la mort, le consumérisme, le paraître,…

Les mots l'amusent : il en joue, il en use et en abuse.
Des définitions noires, provocatrices, drôles, intemporelles.
Bravo, Monsieur Desproges.
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Pierre Desproges s'attaque avec son dictionnaire à son plus sérieux concurrent, vous l'avez deviné, rien de moins que le Petit Robert !!
Il s'est limité à un seul mot par lettre de l'alphabet, vingt-six noms communs, vingt-six noms propres séparés par quatre pages de couleur rose de locutions latines et étrangères comme « Ad bitam aeternam, amen » traduit par l'auteur par « tant qu'on baise, je ne dis pas non ».
On y apprend par exemple, juste pour vous mettre en appétit :
Que Beethoven avait un faciès de cégétiste,
Que le goût fait généralement défaut chez les masses populaires où l'on n'hésite pas à se priver de caviar pour se goinfrer de topinambour,
Qu'en Afrique du sud, seuls les blancs sont cons, à part Ted,
Que Jésus Christ était un illusionniste palestinien,
Que les québécois sont tellement charmants qu'on y a même vu un fonctionnaire dire bonjour.
Des jeux de mots à profusion bien qu'une lecture plus attentive m'aurait certainement permis d'en repérer quelques autres, et, avec son impertinence légendaire, il assène l'air de rien quelques aphorismes bien sentis sur notre société. Plus sérieusement, j'y ai appris cependant une définition : zeugma ou procédé rhétorique qui consiste à coordonner des éléments qui ne sont pas sur le même plan syntaxique. L'exemple qu'il donne est désopilant : « Après avoir sauté sa belle-soeur et le repas du midi, le Petit Prince reprit enfin ses esprits et une banane ».
Bref, un bon moment de lecture. Desproges, j'adoooooore !!

Challenge multi-défis 2022.
Challenge riquiqui 2022.


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Citations et extraits (48) Voir plus Ajouter une citation
Torture :

nom commun, trop commun, féminin, mais ce n'est pas de ma faute. Du latin tortura, action de tordre.
Bien plus que le costume trois-pièces ou la pince à vélo, c'est la pratique de la torture qui permet de distinguer à coup sûr l'homme de la bête.
L’homme est en effet le seul mammifère suffisamment évolué pour penser à enfoncer des tisonniers dans l’œil d’un lieutenant de vaisseau dans le seul but de lui faire avouer l’âge du capitaine.La torture remonte à la nuit des temps. A peine eût-il inventé le gourdin, que l’homme de Cro-Magnon songeait aussitôt à en foutre un coup sur la gueule de la femme de Cro-Magnonne qui refusait de lui avouer l’âge de pierre.

Mais il fallut attendre l'avènement du christianisme pour que la pratique de la torture atteigne un degré de raffinement enfin digne de notre civilisation. Avant cet âge d’or, en effet, la plupart des supplices, en Haute - Égypte et jusqu’à Athènes, relevaient hélas de la plus navrante vulgarité. Les Spartiates eux-mêmes, au risque d’accentuer la dégradation des sites, n’hésitaient pas à précipiter leurs collègues de bureau du haut des falaises lacédémoniennes pour leur faire avouer la recette de la macédoine.

Quant à l’invasion de la Grèce par les légions romaines, on en retiendra que la sanglante boucherie au cours de laquelle le général Pinochus se fit révéler le théorème de Pythagore en filant des coups de pelles aux Ponèses.

Pour en revenir aux chrétiens, on n’oubliera pas qu’après avoir été, sous les Romains, les premières victimes de la torture civilisée, ils en devinrent les plus sinistres bourreaux pendant l’Inquisition. Aujourd'hui encore, quand on fait l'inventaire des ustensiles de cuisine que les balaises du Jésus ' fan Club n'hésitaient pas à enfoncer sous les ongles des hérétiques, ce n'est pas sans une légitime appréhension qu'on va chez sa manucure.
Aux portes de l’an 2000, l’usage de la torture en tant qu’instrument de gouvernement se porte encore bien,merci. Même si, sous nos climats, elle a tendance à tomber en désuétude. Pour citer un pays occidental, au hasard, nous sommes en mesure d’affirmer qu’à Monaco, par exemple, le nombre des bourreaux par habitants est actuellement de zéro pour mille. D’ailleurs, on voit mal quelles raisons pourraient pousser un croupier à empaler un milliardaire.
Hélas, quand on s’écarte un peu plus de l’Hexagone, que ce soit vers l’ouest, vers l’est ou vers le sud, on rencontre encore, dans des contrées exotiques pourtant ouvertes au progrès, à trois pas de la piscine du Hilton, ou dans les steppes démocratiques les plus populaires, des empêcheurs de penser en rond qui cognent et qui charcutent, qui enferment et qui massacrent, qui souillent et qui avilissent, et même — ah, les cons !—qui arrachent les ailes des poètes au nom de l’avenir de l’homme
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... l'endive est fade jusqu'à l'exubérance.
Sa forme, qu'on peut qualifier de n'importe quoi, genre machin, est fade.
Sa couleur, tirant sur rien, avec des reflets indescriptibles à force d'inexistence, est fade. Son odeur, rappelant à l'amnésique qu'il a tout oublié, est fade.
Son goût, puisque, dit-on, de nombreux pénitents mystiques préfèrent en manger plutôt que de crapahuter sur les genoux jusqu'à Saint Jacques de Compostelle, atteint dans la fadeur gastronomique, des sommets que le rock mondial frôle à peine dans la pauvreté créatrice.
L'endive, en tant que vivante apologie herbacée de la fadeur, est l'ennemie de l'homme qu'elle maintient au rang de quelconque avec des frénésies mitigées, des rêves éteints sitôt rêvés, et même des pinces à vélo.
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Œil : n.m., du latin oculus. Pluriel : des yeux (un seuil, des cieux ; un deuil, des dieux ; un œil, des yeux)
L’œil est à la vue ce que l’Humanité est au parti communiste : c’est son organe central.

L'œil est un outil merveilleux. C'est grâce à lui que l'homme peut, en un instant, reconnaître à coup sûr une langoustine d'un autobus, ce qui lui confère évidemment un immense sentiment de puissance sur la nature. La preuve en est qu’un homme privé de ses yeux se met instantanément à raser les murs honteusement.

Un homme privé de ses yeux s’appelle un aveugle, dans le langage populaire, ou un non-voyant, dans le dialecte des politicards populistes gluants.
Les aveugles sont parfois ridicules. On en a vu manger des autobus ou voyager en langoustine. Pour ne rien arranger, les aveugles lisent en braillant, au risque de réveiller les sourds.
 
L’œil se compose essentiellement de l’iris, lui-même percé en son centre de la pupille. Contrairement à la pupille de la nation, la pupille de l’œil peut se refermer sur elle-même ou s’agrandir à tout moment, sans autorisation spéciale des pouvoirs publics, même dans les pays totalitaires : on cite le cas de plusieurs dizaines de milliers de pupilles s’agrandissant d’effroi en toute liberté, en Union soviétique et au Chili notamment. Le fond de l’œil est tapissé de la rétine sur laquelle se forment des objets tels que langoustine, autobus, etc. dont l’encéphale, qui a oublié d’être con, enregistrera la perception grâce au nerf optique.

L'œil humain est une mécanique merveilleuse dont la réussite parfaite nous conforte dans notre foi en Dieu. On regrettera seulement que l'œil de cochon d'Inde ou du verrat périgourdin bénéficient de la même géniale complexité. C'est vexant, même à Périgueux.
Les principales anomalies de l’œil sont : la myopie, qu’on corrige à l’aide de verres divergents ; l’hypermétropie, qu’on corrige par le port de verres convergent ; le strabisme, qui prête à rire ; et la cyclopie, qu’on corrige par le port du monocle.
 
L’œil est capable du clin. Le clin est la base même de la spécificité de l’œil. Il n’existe pas, en effet, de clin d’oreille, ni de clin de nez. Le clin d’œil sert à marquer subrepticement une complicité tacite entre deux ou plusieurs chenapans. Il permet aussi au dragueur de se faire connaître avec une relative retenue et une certaine discrétion qu'on ne retrouve pas dans la main au panier.
L’œil du sourd est normal.
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L'oeil est capable du clin. Le clin est la base même de la spécificité de l'oeil. Il n'existe pas, en effet, de clin d'oreille, ni de clin de nez. Le clin d'oeil sert à marquer subrepticement une complicité tacite entre deux ou plusieurs chenapans. Il permet aussi au dragueur de se faire connaître avec une relative retenue et une certaine discrétion qu'on ne retrouve pas dans la main au panier.
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Kafka (Franz)

Écrivain tchèque de langue allemande, né à Prague (1883-1924) auteur de romans (Le Procès, Le Château), de nouvelles et d'un journal intime, qui exprime le désespoir de l'homme devant l'absurdité de l'existence. Kafka était juif, mais il n'en tirait ni joie ni fierté, ni honte ni tristesse. En réalité, Kafka ne tirait ni joie ni peine de rien ni personne. Simplement, il se sentait mal à l'aise depuis ce matin de 1883 où, alors que tout allait bien pour lui, il est né. Il conçut de cet événement un dégoût inexplicable qui ne le quitta qu'au jour de sa mort. Toute sa vie, cet homme marcha à côté de sa tête. Il avait la vie comme on a le cancer, et se heurtait aux conformités, tel le cafard enfermé butant au mur sans jamais trouver la faille au trou noir salvateur.
Il avait le désir d'aimer mais ne savait pas. Souvent, lui venait l'envie de dire: "Bonjour. homme mon frère, mon semblable, mets ta main sur mon épaule, porte un peu mon chagrin, viens chanter dans ma vie." Mais quelque chose l'en empêchait, et il disait: " Bonjour, Monsieur Odradek. Espérons qu'il ne va pas pleuvoir."
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Vidéo de Pierre Desproges
Pierre Desproges : La seule certitude que j’ai c’est d’être dans le doute (France Culture / Samedi noir). Photographie : Pierre Desproges • Crédits : Archives du 7eme Art - AFP. Diffusion sur France Culture le 9 mars 2010. Cela fait 30 que Pierre Desproges nous a quitté, c'était l'occasion de réécouter ses textes. Réalisation : Myron Meerson. Mise en scène d’Alain Lenglet de la Comédie-Française et de Marc Fayet. Avec Christian Gonon de la Comédie-Française. Musique de Jérôme Destours. Reprise en studio du spectacle joué en mai 2010 au Théâtre du Vieux-Colombier. « De vrais sketches avec des vrais morceaux de bravoure entiers reliés entre eux par une bassesse d’inspiration qui volera au-dessous de la ceinture du moindre nain […] » annonçait Desproges en 1986. Avec ce spectacle, Christian Gonon prolonge les salves tirées par Desproges contre la médiocrité humaine. Extraits des “Chroniques de la haine ordinaire” sur France Inter, de “La Minute nécessaire de monsieur Cyclopède” sur France 3 et de son livre “Vivons heureux en attendant la mort”, aucun des textes choisis ne fut conçu pour la scène. Sauf un, resté inédit, la mort l’ayant finalement pris par surprise.
Prise de son / montage / mixage : Julien Doumenc et Antoine Viossat. Mise en onde : Maya Boquet
Source : France Culture
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