"Ça commence par un regard. Ou un effleurement. Une poignée de main ou un baiser sur la joue qui eussent dû être ordinaires, mais où le corps se liquéfia. Soudain flotte dans l'air une fabuleuse odeur de tempête hormonale. Dans l'étourdissement du premier désir, on ne s'en rend pas toujours compte. Mais il est trop tard, bien trop tard : on a mouillé sa culotte."
"Qui refuse la joie ne connait pas la tristesse, qui nie toute possibilité de bonheur ne s'expose pas au désespoir."