C'est vrai que les histoires de femmes égocentriques avec leur problème de vêtements pas assortis ou leur obsession de maintien de poids et autres plan de coucheries racontés à leurs copines sur fond d'amour dans le pré ne m'intéressent guère. C'est quand même assez plat.
Certes, je ne suis pas le bon public pour cette bd, uniquement girly, qui attaque d'ailleurs le grand méchant lourd. On a d'ailleurs l'impression de feuilleter un magazine féminin, sans vouloir être méprisant, car on y retrouve d'ailleurs tous les thèmes. Bref, c'est le manque d'intérêt qui aura raison de moi.
Ce one shot ne m'était pas destiné. Il est vrai que j'ai déjà lu mieux dans ce genre particulier.
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Simple – voire parfois un brin simpliste –, le trait tendre de Marie Voyelle (Les Envahissants) n’est pas désagréable. Ce qui l’est, en revanche, c’est le scénario de Grégoire Dey, épais comme une très fine feuille de papier à cigarette.
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Ne bénis ta journée que lorsque le soleil se couche.