Y a des cons comme ça que malgré tout ils ont quelque chose de sincère, de vrai, qui fait qu'on leur pardonne, voire qu'on les aime. Cette écriture de pseudo-non-autobiographies, en prise et style directs d'un lieu, d'une époque, un langage personnel parfois au-ras des pâquerettes avec des fulgurances d'intelligence lucide et de l'humour sans le chercher.
Bukowski, Fante étant pour moi les parangons de ces "cons".
Junot Díaz est un petit-petit frère Dominico-Américain de ces deux monstrueux écrivains.
N.B. : La première phrase de cette critique ne peut pas être écrite autrement.
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