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3,53

sur 2713 notes

Critiques filtrées sur 3 étoiles  
Passé alternatif : la Deuxième Guerre mondiale a été remportée par les forces de l'Axe. L'Allemagne règne en maître incontesté presque partout, tandis que le Japon a conquis toute la côte ouest des Etats-Unis. de ce côté du globe, le livre spirituel du Yi King guide tout un chacun dans ses faits et gestes. Un autre livre circule cependant, intitulé le Poids de la sauterelle, qui raconte comment les Alliés ont en réalité défait Hitler et le nazisme. Interdit par les Allemands, l'ouvrage fait pourtant beaucoup parler de l'autre côté du monde et nombreux sont ceux que cela intrigue...

Mgnahh. Voilà ce que cette lecture m'a fait ressentir : mgnahh.
Comme j'en attendais de ce livre, encore subjuguée par la magistral Ubik !
Le problème de cet opus, c'est que tout l'intérêt tient dans les toute dernières pages, les dernières de chez dernières. Avant cela, on a 325 pages en version poche d'un récit fortement marqué par les pensées des personnages en italiques qui peuvent être agaçantes à force, ainsi que la mise en place extrêmement longue du contexte avec des personnages qui au final sont peu intéressants pour le concept global.
Car c'est bien du concept global qu'on ne trouve qu'à la toute fin que le livre tient sa force et certainement son succès, car il suggère des choses intéressantes. Sans la fin, on assiste à une uchronie chiante, disons-le clairement. Cette fin et surtout les deux premiers chapitres de la suite avortée transforment l'histoire en science-fiction pure qui rejoint un peu les univers de Stargate ou Fringe, avec des mondes parallèles et un gouvernement qui a accès à une technologie inconnue du reste du monde... Voilà ce que j'aurais aimé lire.
C'est en outre seulement à la fin qu'on comprend la portée du livre Yi King à qui l'auteur promet un rôle majeur dans cette suite inachevée.
Vraiment, j'appelle ça un acte manqué. Quel dommage qu'il n'ait pas continué car c'est la suite qui aurait donné un réel intérêt à cette histoire. A vérifier en regardant, mais l'adaptation en série doit certainement surfer sur cette idée et aller beaucoup plus loin, compléter l'ambition première de Dick. Finir le travail en somme.
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On connaît l'argument uchronique (ou dyschronique) de ce roman, qui suffit déjà à le rendre très intéressant : les tribulations d'un artisan juif dans la parie ouest des USA, occupée par les Japonais après leur victoire (l'est est aux nazis). La présence d'un livre dans le livre ouvre un effet d'abyme, une sorte de vertige qui renouvelle les procédés habituels de l'auteur, qui, à l'époque où il écrit ceci, consulte fréquemment le Yi King. C'est donc un bon roman, qui finit peut-être un peu en queue de poisson, mais dont j'ai trouvé les personnages assez attachants.
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Philip K . Dick nous transporte dans un monde dans lequel la cote Est de l'Amérique est sous la main des nazis et la coté Ouest sous celle des Japonnais. Ici nous allons vivre dans cette Amérique d'après guerre, le destin de six personnes qui se croient plus ou moins. Childan l'antiquaire, Baynes un officier de l'Abwehr, Frank Frink le juif, Juliana qui n'est rien que l'ex-femme de Frank, M. Tagomi, un commercial japonais et l'auteur invisible d'un livre étrange...

Le décor : Les allemands ont bien eu du mal de gagner la guerre. Ils se sont lancés dans la conquête du système solaire, les allemands avaient presque atteint leur objectif, les vols pour Mars avaient distrait l'attention mondiale de ces problèmes. Dans ce monde bien étrange, il reste encore la solution finale du problème africain pourtant ils ont réussi avec les juifs, les gitans, les noirs et les témoins de Jéhovah.
D'un coté, les allemands qui ont embouteillé l'eau de la méditerranée, asséchée, transformée en terres arables grâce à l'énergie atomique. Et de l'autre les Japonnais fans d'objets antiques authentiques. L'empire actuel Allemand a été pensé par le cerveau d'Hitler qui est enfermé dans un sanatorium, le cerveau atteint par la syphilis contracté à l'époque où il venait à Vienne.

Ma lecture : J'ai été attirée par cette lecture d'une part par ce que c'est une uchronie et d'autre part parce qu'il y a dedans une autre uchronie. Enfin c'est une uchronie qui dévoile un livre qui a pour sujet très étrange, une uchronie. le monde dans lequel Philip K. Dick a placé ses personnages, c'est à dire l'Allemagne, n'a pas gagné la guerre, les Japonnais non plus... Une uchronie dans une uchronie !!!
Ce livre est totalement interdit coté allemand, mais toléré par les Japonnais qui pensent qu'il pourrait y avoir une autre vison, son titre est « le poids de la sauterelle ». Dans ce livre l'Amérique a gagnée la guerre avec Roosevelt comme président qui a contribué très activement à la politique antinazi, du coup les allemands n'auraient pas aidé les japonnais en 1941.

Je suis déçue par ma lecture, j'attendais tout autre chose de ce livre... je me suis ennuyée pendant les trois quart, le premier quart est assez intéressant, puis arrive le livre, puis ça devient lourd, très lourd et très très long...
Je pensais que ce fameux livre « le poids de la sauterelle » nous dévoilerait quelque chose... que l'auteur de ce livre aurait une histoire... qu'il y aurait quelque part un rebondissement... même pas... la fin est une fin tellement ouverte que je suis restée sur cette longue route en plein milieu de nulle part... mais où est la suite, le reste du livre que je le finisse...
L'idée d'une uchronie dans un uchronie, un livre interdit que tout le monde a lu et qui ne serait plus un secret pour personne... ça c'était un idée à creuser...

Le petit plus : J'ai vraiment adoré l'achat extraordinaire que fait M. Tagomi... une montre Mickey, il a, en effet, mis tout un après midi pour la choisir pour l'offrir à Baynes...
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Normalement c'est censé me plaire: c'est intelligent, subtil et radical. Genre, je ne cherche pas à plaire au lecteur, qu'il se débrouille pour suivre et comprenne qui peut! Certes, on va croiser un juif en cavale, un tueur et une femme fatale, un romancier traqué et un espion chargé d'éviter une guerre nucléaire... mais Dick substitue de longs monologues intérieurs aux scènes d'action attendues et en guise de thriller on se retrouve à lire du Nathalie Sarraute, c'est très déconcertant.
Le problème est que j'ai surtout aimé la très éclairante postface. C'est ça la difficulté avec l'art conceptuel : l'oeuvre n'a pas d'intérêt, c'est le discours sur l'oeuvre qui est passionnant. Donc, ouais, c'est vraiment génial ce que Dick a voulu faire mais qu'est-ce que je me suis fait suer à lire son bouquin.
L'autre problème, et pas le moindre, c'est que ce monde où Hitler a gagné la guerre, en tout cas dans la partie sous domination japonaise, est loin d'être un enfer. C'est aussi ce que nous dit l'uchronie de Stephen King, ne vous embêtez pas à vouloir changer le cours des choses, n'essayez pas de devenir des héros, la dictature la démocratie, tout ça finalement c'est plus ou moins pareil. Personnellement ça me gêne.
Et si vous trouvez cette critique un peu faiblarde, c'est normal , je n'avais pas le yi king sous la main.
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Le livre du destin et du hasard dans un monde uchronique où les nazis et le Japon gagnent la seconde guerre mondiale et se partagent les États-Unis. Ce roman est devenu un classique de la science-fiction et pourtant ce n'est pas réellement de la science fiction.

La description de la nouvelle société, régie par les principes nazis, met tout de suite dans l'ambiance. On suit quelques personnages, des espions, des japonais de la classe dominante et quelques américains, un peu paumés, qui essaient de tirer leur épingle du jeu.

Chacun croit avoir un destin, un avenir, dans ce monde réglé comme une horloge.

C'est sans compter sur le Livre et son effet. Mais de quel livre s'agit-il ? de celui écrit et publié par le maître du Haut Château et qui décrit le monde qui aurait pu être si nazis et japonais avaient perdu la guerre ? Ou bien de celui, plus perfide, qui permet de répondre aux questions que l'on se posent et finalement d'aiguiller les décisions que l'on prend ?

Mais finalement, si le postulat de départ est intéressant, le fil manque de cette épaisseur qui attache le lecteur. Et de cette suite de péripéties s'ensuit une fin qui laisse sur sa faim. Sans être un mauvais roman, c'est peut-être un livre qui a mal vieilli. Dommage.
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« le Maître du Haut-Château » est une uchronie de Philip K. Dick, écrite en 1962 . Elle relate l'existence d'un monde dans lequel l'Allemagne, l'Italie et le Japon auraient gagné la deuxième guerre mondiale.
Nous sommes en 1947, les Alliés ont capitulé et les Etats-Unis se retrouvent scindés. A l'est, l'Allemagne nazie, à l'ouest le Japon. L'intrigue du livre se déroule surtout dans cette zone. On suit les histoires de plusieurs personnages qui se croisent sans jamais se rencontrer.
Ce monde-là comprend la guerre froide entre des nazis extrémistes, qui s'entredéchirent entre eux, forts au niveau scientifique et des japonais moins évolués techniquement qui vivent dans le passé en consultant régulièrement le Yi King (oracle chinois datant de 5000 ans sans lequel ils ne prennent aucune décision).
Un livre, interdit en Europe, « La sauterelle pèse lourd », oeuvre d'un auteur de science-fiction raconte que les Alliés ont gagné la guerre en 1945. Ce roman est donc une uchronie dans l'uchronie. Une sorte de jeu de miroir.
Il est très difficile de résumer un tel bouquin qui se termine sur une note énigmatique donnant un goût d'inachevé. C'est original et non sans intérêt mais je suis restée dubitative car si j'ai aimé l'écriture, je me suis perdue en cours de route.
Bref, j'ai pas bien compris…
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L'Allemagne nazie a gagné la guerre, avec le Japon et l'Italie. Les Etats-Unis sont coupés en deux entre le régime anzi et le régime impérial. Mais visiblement, cela ne convient plus à Berlin et une machination est en cours pour changer cela.
Voila une des intrigues du roman qui en comporte plusieurs. Ce qui fait que je dois être passé à côté de plusieurs choses, comme l'importance du Yi King ou encore l'importance du Poids de la Sauterelle, ce livre interdit d'un côté de la frontière mais pas de l'autre. Franchement, à part l'intrigue politique, j'ai attendu le dénouement des autres, et puis je suis arrivée à la fin du roman et je suis restée sur ma faim... La postface m'a appris que Dick envisageait une suite mais que pour diverses raisons il ne l'a pas concrétisée. du coup, j'ai eu l'impression de lire plusieurs nouvelles, qui ont des liens entre elles, mais qui ne font pas toujours avancer l'intrigue, voire n'y participent pas... Ou alors pour donner une idée de ce qu'est le régime nazi et l'opposition que peut y apporter le Japon, à petite échelle...
Ce qui est bien montré, c'est que bien que le régime nazi ait gagné la guerre, le régime est au bord de l'implosion, montrant que les régimes dictatoriaux ne sont pas viables, parce qu'en guerre constante. Contre les autres pays, alliés ou non, guerres internes au plus haut niveau de l'Etat mais aussi entre les différents services...
Lecture mitigée donc.
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En 1948, l'Axe remporte la guerre et se partage le monde. Vingt ans plus tard, les États-Unis sont divisés en trois : les allemands ont conquis l'est et l'ouest est sous domination japonaise, le centre restant une zone neutre.

La première partie du roman est intéressante. On y suit le parcours d'une dizaine de personnages qui représentent diverses couches de la société. L'un tient une boutique d'objets anciens américains, l'autre perd son travail et décide de se lancer dans la fabrication de bijoux avec un ami ; untel est cadre dans une société japonaise et doit recevoir un client étranger, unetelle donne des cours de judo dans une petite ville de l'ouest profond... Toutes ces histoires n'ont pratiquement aucun lien entre elles et sont surtout l'occasion d'en apprendre plus sur le monde lui-même.

Un monde où l'Allemagne nazie a pris le pouvoir. Elle construit de nouveaux camps de concentration aux quatre coins de la planète, organise un génocide en Afrique, part à la conquête de la Lune, de Mars, de Vénus... Un monde assez effroyable où la Gestapo veille à chaque coin de rue et où les citoyens sont priés de marcher au pas de l'oie sous peine de finir en cellule, voire pire.
La vie sous domination japonaise parait, en comparaison, bien plus douce.

Pour en revenir aux personnages, il n'y a pas vraiment de héros dans ce roman. Chacune des histoires racontées est d'égale importance. Tout aussi importants sont deux "livres dans le livre". le Yi-King, ouvrage de philosophie taoïste qui sert de guide spirituel à ses lecteurs qui s'y réfèrent pour connaitre leur avenir, et le Poids de la Sauterelle, un roman interdit à la vente en Allemagne qui raconte comment serait le monde si les Alliés avaient gagné la guerre. Une uchronie dans l'uchronie.

Si j'ai pris beaucoup de plaisir à suivre ces personnages et à découvrir ce monde, je reste dubitatif quant à la fin du roman. Je la trouve abrupte et avec un goût d'inachevé. J'ai bien compris ce que Philip K. Dick voulait insinuer avec sa révélation finale, mais quand bien même, cela m'a laissé froid. J'ai tourné la dernière page en me demandant où tout cela nous avais mené. Au final, les personnages du roman ont menés leur petite vie mais, hormis pour l'un d'entre eux, rien de ce qu'ils ont fait n'a d'importance. J'ai eu un peu l'impression que l'auteur racontait plusieurs histoires au hasard alors qu'une seule le menait quelque part.

Bref, un roman qui démarrait très bien mais qui m'a laissé sur ma faim.
Lien : http://lenainloki2.canalblog..
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J'ai un avis partagé sur ce roman

Côté positif
* Un monde dominé par deux blocs : Allemand et Japonais
* Des Américains en situation d'infériorité imposée et intériorisée. Ils se voient comme misérables.
* Une bonne intrigue qui connait de bons moments accrocheurs
Mine de rien, une Amérique qui fait siennes des valeurs externes qu'elles soient les plus nauséabondes ou pas

Côté négatif

* Une mauvaise intrigue... Quoi je viens de dire une bonne intrigue !? Oui, il y a de sérieux problèmes de rythme.
* C'est un Philip K. Dick dans lequel on retrouve nettement moins les aspects intéressants des univers multiples indiscernables (sauf ...)
* L'omniprésence du Yi-King : les Japonais et les Américains de la côte ouest s'y réfèrent constamment. C'est un parti pris de l'auteur auquel j'ai eu du mal à adhérer (moi et les arts divinatoires ça fait ...beaucoup). le Yi-King est-il un élément quasi autonome révélant la réalité (enfin sa réalité) ? J'aurais aimé que ce rôle-là soit clairement mis en avant.
* Une fin abrupte (mais il y en a souvent chez cet auteur)
* Des japonais dont je n'ai pas pu reconnaitre beaucoup des traits culturels. Certes, Philip K. Dick n'y est pas allé et internet n'existait pas.
* On en apprend peu sur les forces en présence : mais qu'ont fait les Allemands en Afrique ?
* Les camps de concentration sont connus et répandus...et personne n'est écoeuré, révolté ??
C'est cette acceptation qui fait le plus peur. Toutes ces valeurs (de façade diront les plus cyniques) ont été jetées aux orties. Et le résultat n'est pas une société incroyable ou impossible mais au contraire quelque chose de vraisemblable.
Je finis donc sur un point qui commence par être négatif mais qui dans le fond est le point le plus intéressant du roman.

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En 1947, les forces de l'Axe ont gagné la Seconde Guerre mondiale. le Japon a étendu sa domination sur les États-Unis d'Amérique et a imposé le Yi-king, un ouvrage millénaire qui règle les comportements et les décisions par un savant jeu de combinaisons d'oracles. Quelle que soit la réponse du Yi-king, il faut l'interpréter et s'y soumettre. « Tout cela lié à ce choix de baguettes ayant pour objet de trouver un précepte de sagesse convenant à la situation dans un livre dont la rédaction avait été commencée trois mille ans avant Jésus-Christ. » (p. 20)

Dans son magasin, l'American Artistic Handcarft Inc., Robert Childan rend hommage à la culture américaine. Chez lui se vendent à prix d'or des montres à l'effigie de Mickey Mouse ou des affiches d'appel à l'engagement datant de la guerre de Sécession. Les vainqueurs nippons sont friands de toutes les expressions de ce qu'ils estiment être la vraie culture américaine. « Pour bien des Japonais riches et cultivés, les objets populaires anciens de la civilisation américaine étaient d'un intérêt comparable à celui des antiquités plus reconnues. » (p. 37)

Et voilà qu'un livre commence à faire parler de lui. Il s'intitule La sauterelle pèse lourd. Son auteur, reclus dans un haut château, a supposé que les États-Unis avaient vaincu l'Axe en 1945. Pour certains, il s'agit d'un simple roman de science-fiction. Pour d'autres, c'est bien davantage. « Il n'y aucune science là-dedans, ni aucune vue sur le futur. La science-fiction traite de l'avenir, en particulier d'un avenir où la science aura progressé par rapport à ce qu'elle est aujourd'hui. Ce livre ne remplit aucune de ces deux conditions. » (p. 147)

Tout cela est alléchant, vous ne trouvez pas ? C'était également mon avis jusqu'au deuxième tiers. Un soir, j'ai fermé le livre. Et le lendemain, je n'avais plus aucune envie de le rouvrir. J'ai perdu tout intérêt pour ce livre sans m'expliquer pourquoi et je ne suis même pas certaine de vouloir le terminer un jour pour savoir qui est le maître du Haut Château, même si j'en ai bien une vague idée. Cette uchronie repose pourtant sur une intrigue intéressante, mais bizarrement, la mayonnaise est retombée… Dommage !
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