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Critique de AquinER


En quatrième de couverture, on peut lire:

"Avec Pacific Park, l'écriture de Philip K. Dick s'inscrit dans une tradition pseudo-réaliste proche de Boris Vian. Comment ne pas songer aus héros de et de L'Écume des jours et de L'Arrache-coeur en suivant les aventures de la jeune Mary."

C'est aguichant, mais un peu trompeur car ici, il n'y a pas une goutte d'humour. Les murs sur lesquels rebondit la jeune femme de vingt ans au corps trop petit pour son âme n'ont aucun éclat et propose une lecture bien sombre. Les rebondissements sont étranges, l'action est minutieusement détaillée, mais le contexte de vie de Mary ne réussissent pas à lui faire oublier ses fantômes. Tantôt elle s'accroche à Tweany, tantôt à Joseph ; change fréquemment de boulot, déménage, emménage selon le vent, toujours en quête d'identité. Une girouette jusqu'au jour où son ami, Paul la délivre en l'entraînant définitivement vers des sentiers battus.

Je suis persuadée que Philip K. Dick se défend mieux en science-fiction.
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