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EAN : 9782072675287
1472 pages
Gallimard (03/05/2018)
4.11/5   82 notes
Résumé :
Sur fond d'un interminable procès, impliquant une cinquantaine de personnages, Bleak House est le grand roman juridique de Dickens, qui dénonce une institution devenue folle. Raconté par deux personnages différents, de manière très moderne, le récit met en jeu tout un réseau de coïncidences, plusieurs fausses pistes et nombre d'espoirs déçus ou trahis. Roman foisonnant où la justice tourne à l'absurde, où l'on enquête et juge à l'infini, Bleak House est aussi un rom... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (17) Voir plus Ajouter une critique
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Tout au long des 1 470 pages de ce roman, c'est une nouvelle fois toute la virtuosité du grand Charles Dickens qui s'exprime et se déploie à travers les destinées parfaitement maîtrisées de ses très nombreux personnages.

La qualité du travail de conteur, l'ingéniosité mise dans les rouages de la double narration aux multiples facettes, le grand souffle romanesque que Dickens sait, mieux que quiconque, distiller dans chacune de ses phrases, enfin son incomparable humour 'so british' aux accents cyniques, font de "Bleak-House" un monument littéraire.

On s'étonnera peut-être de trouver dans la liste des 110 livres préférés des Anglais pas moins de six romans de Dickens mais lorsqu'on plonge dans son oeuvre titanesque, on ne saurait plus s'étonner de rien. D'un roman à l'autre se retrouveront les thèmes qui lui sont chers mais il arrive si bien à les renouveler à travers les portraits typés de ces personnages - dont beaucoup sont inoubliables - qu'on ne se lasse jamais malgré la densité impressionnante de chaque roman.

Du rythme, de l'action, des rebondissements, du drame, de la tendresse, de l'amour... et un oeil peu conciliant et très critique sur la société qui était la sienne, ainsi que sur la nature humaine, sont les éléments avec lesquels Charles Dickens jongle avec une maestria inégalable.


Challenge BBC
Challenge PAVES 2018
Challenge MULTI-DÉFIS 2018
Challenge XIXème siècle 2018
Challenge PYRAMIDE
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Dickens, je l'ai redécouvert grâce à Babelio et surtout au challenge BBC de Gwen. Il est vrai que je suis tombée sous le charme de la plume de cet écrivain et j'ai plus qu'apprécié les lectures de « Oliver Twist » et de « David Copperfield ».
J'ai donc abordé la lecture de « Bleack House » avec sérénité, car j'étais sûre de vivre un bon moment de lecture….
Le plaisir de retrouver le style de Dickens a été au rendez-vous. Mais pas seulement… Par moments, l'ennui a aussi été présent au vu de la longueur de ce livre et des circonvolutions que lui a fait prendre l'écrivain. En effet, j'avoue que j'ai été tentée plus d'une fois de tourner les pages pour retrouver plus rapidement Esther et son petit monde.
Autant j'ai été prise d'intérêt et d'affection pour cette jeune personne, autant j'avoue que tout ce qui était en lien avec la Chancellerie, le procès Jarndyce contre Jarndyce m'a laissée de marbre…
Heureusement, et c'est ce qui a sauvé ce livre pour moi, on y retrouve cette plume acérée matinée d'un humour assez féroce et surtout ce regard critique et sans concessions sur la société anglaise de l'époque.
Une lecture sympathique, certes, mais qui ne me laissera cependant pas de souvenir impérissable, contrairement aux deux livres précédemment cités.

Challenge Pavés 2023
Challenge BBC
Challenge ABC 2023/2024

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A chaque nouvelle lecture d'un roman de Charles Dickens, celui-ci devient mon préféré.

Bleak House est un roman en double narration : l'héroïne principale, Esther Summerson, et un narrateur anonyme nous racontent tour à tour l'histoire entremêlée des derniers protagonistes d'un procès débuté plusieurs décennies auparavant.

Pour profiter pleinement de ma lecture, j'ai bien aimé lire en préalable la trame de l'histoire et imprimer une liste de personnages en guise de marque-pages. Les notes de cette édition sont également précieuses et éclairantes. Et un dictionnaire à portée de main pour apprendre quelques mots nouveaux (même si vous lisez en français).


Nous avons donc :
- Une justice injuste, fainéante, absurde et inefficace.
- Londres : brumeux, effrayant, pauvre, sale et attachant.
- Beaucoup de personnages avec beaucoup de malheur, mystères, secrets, dévoilés au compte-goutte au fil du roman.
- de bons sentiments, de l'espoir, de la solidarité, de la loyauté, du don de soi, des histoires d'amour.
- Des interrogations intelligentes et incisives en dépit de leur apparence naïve (un peu à la Luna Lovegood)


Charles Dickens met en questions les codes et fonctionnements de la société anglaise qui l'entoure alors : les castes et statuts sociaux, la religion, la place de la femme, le mariage, l'éducation des enfants.

Notre monde a changé depuis 1852, mais les mouvements qui animent ce roman sont toujours les nôtres :
S'endetter, sortir de la pauvreté, trouver un travail, affronter la maladie, grimper l'échelle sociale, être coincer dans un procès interminable, tomber amoureux, gérer son foyer, vouloir le mieux pour ses enfants, se battre contre les inégalités, vivre les deuils, trouver un sens à sa vie.


J'aime sa belle plume, incisive et poétique à la fois : il parvient à insuffler poésie et tendresse dans le drame social.

J'aime que tout finit bien pour les Gentils.

J'aime le foisonnement qu'a permis l'écriture en épisodes. Comme le format série par rapport au film, elle permet plus de personnages, plus de lieux, de descriptions, de détails qui rendent chaque anecdote attachante.

L'écriture en épisodes fait aussi que chaque chapitre apporte son suspens particulier, et nous permet d'avaler 1300 pages comme on en lirait 300.

Enthousiasmée par ma lecture, je me préparai un petit challenge personnel : tout Dickens en Anglais. Pour me préparer, je me lançai dans sa biographie, et là, douche froide. La vie de l'homme ne paraît pas à la hauteur de la vision du monde qu'il défend dans son oeuvre.

Je sursois donc en reprenant le premier roman de Jane Austen….
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L'hiver s'est donc passé dans la lecture en anglais de ces 992 pages exactement, aux pages jaunies par une vieille édition des presses universitaires d'Oxford datant de 1919 et illustrées de gravures d'un certain « Phiz ». Voilà pour l'ambiance. Ajoutons à cela que je ne lisais l'ouvrage qu'à la nuit tombée où seule la lampe de mon bureau éclairait le monde dickensien, à raison d'un chapitre par jour.
Maintenant entrons dans ce monde foisonnant. D'abord, l'histoire se passe à Londres, commence dans le brouillard, allégorie du flou qui règne à la « Chancellerie » c'est-à-dire à la cour de justice où le procès de Jarndyce contre Jarndyce n'en finit pas, passe de procédures en procédures. Premier jalon, Dickens attaque le ridicule de la justice, sa lenteur. Puis nous nous transportons dans la résidence des Dedlock, vieux aristocrates qui semblent regarder le monde de haut depuis leur propriété de Chesney Wold. le lien avec la justice apparaît sous les traits d'un certain Tulkinghorn qui les représente à la Chancellerie. Enfin, la mise en place de l'action passe surtout par Esther Summerson, jeune orpheline, élevée par sa marraine (comme dans les contes) et qui est en passe d'être recueillie par John Jarndyce justement, un riche philanthrope. Esther se fait la narratrice de sa propre histoire dont les chapitres alternent avec le point de vue d'un narrateur plus ironique, sinon plus détaché, survolant chaque microcosme avec un microscope.
Car, à la faveur de ses mouvements, vers Londres notamment, Esther rencontre d'autres personnages qui viennent compléter le tableau. Ainsi la famille Jellyby où les enfants sont laissés à l'abandon par une mère qui les néglige au profit d'une lointaine oeuvre humanitaire en Afrique, les Rouncewell dont la mère est servante chez les Dedlock, qui a deux fils dont un est un ancien soldat mais qu'elle ne voit plus, les juristes et tout leur entourage, Snagsby le scribe et le cabinet où travaille le jeune Guppy, prétendant maladroit d'Esther, le Capitaine Hawdon qu'on retrouve mort d'une surdose d'opium et qui vivait au dessus de l'échoppe du vieux Crook, endroit étrange peuplé d'objets hétéroclites ; le vieux Smallweed qui ne peut se déplacer que lorsqu'on le porte mais qui mène ses affaires avec âpreté et pingrerie… Et bien d'autres encore qui occupent la scène un moment pour disparaître l'instant suivant mais qui font avancer l'action.
Enfin Esther vit chez Jarndyce en compagnie de Ada et Richard, deux autres pupilles recueillis par le philanthrope qui entretient aussi ce personnage énervant de Skimpole, prétendument artiste, « ne comprenant pas les affaires d'argent » puisqu'il estime n'être « qu'un enfant » ; bref un beau profiteur déguisé. Car Dickens sait rendre sympathiques ceux qu'il veut et ce sont rarement les personnages qui ont l'air le plus innocent et s'encombrent de beaux discours.
La multiplicité des personnages permet à l'auteur celle des styles – parodie du style juridique avec l'avoué Vholes, parodie de poésie niaise avec Skimpole par exemple – tout en restant fidèle au sien propre avec ses accumulations, son vocabulaire riche et précis de vrai professionnel. Cette multiplicité permet aussi d'établir la structure du roman elle-même qui tient dans les rapports que peut entretenir Esther avec tous ceux qui gravitent autour de son monde, car le personnage qui se présente elle-même d'une intelligence moyenne, évolue aussi bien socialement –roman d'apprentissage –que de façon identitaire – roman de la quête d'identité, et même physiquement. Dickens introduit aussi une histoire policière – on a affaire à trois morts suspectes dont un meurtre -, un mélodrame romantique – qu'on ne peut révéler aux lecteurs potentiels ; en fait du suspense à tous les niveaux.
A noter que les illustrations, que je trouve très belles montrent toujours Esther de dos dans un décor assez vaste où même la propriété de « Bleak House » -qui désigne la résidence de Jarndyce est mise en abyme à la fin du roman. Il faut aussi mentionner le fait que la maison tire son nom de la façon dont tourne le vent, influençant l'humeur de son propriétaire qui s'est même réservé une pièce qu'il appelle « The growlery », où il va méditer ses sombres pensées et passer seule sa mauvaise humeur quand le vent est à l'est, autre allégorie des mouvements du roman et de son procès qui n'en finit pas, où l'on ne va pas toujours au bout des chemins empruntés, car le destin varie comme le vent . Il en va ainsi des bruits de pas sur la terrasse de Chesney Wold qui résonnent de telle sorte qu'on croit qu'un fantôme hante encore le lieu. Cette petite touche de fantastique appartient bien à Dickens aussi.
Une fois entrés dans ce monde bien particulier, il est difficile d'en sortir mais, étrangement, vu la longueur, on ne regrette pas d'avoir fini sa lecture et on laisse reposer tous ces personnages.
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J'ai découvert ce roman magistral de Dickens avec cette lecture. En effet ll ne me semble pas avoir vu d'adaptation pour la télévision ou le cinéma de ce vaste roman-feuilleton (dans le bon sens du terme). Sa publication originale s'est étendue sur un an et demi, en livraisons mensuelles, de mars 1852 à septembre 1853. Si la multitude de ses personnages peut aujourd'hui rebuter un peu, même un lecteur bien intentionné, il ne faut pas oublier que celui de 1852 attendait impatiemment le fascicule du mois suivant et relisait (probablement) ceux déjà publiés. La construction du roman est originale : des chapitres racontés du point de vue d'un narrateur omniscient, ironique envers les pouvoirs juridiques et politiques, alternent avec ceux de l'héroïne du roman, Esther Summerson. Car il s'agit là d'un roman autour d'un interminable procès en Chancellerie, qui dure depuis des décades. Esther est concernée par ce procès, qui porte le nom de son tuteur, Jarndyce, mais ne découvrira toute l'étendue de son implication, liée à ses origines, qu'à la fin du roman. J'ai beaucoup aimé me perdre dans les dédales de ces récits imbriqués les uns dans les autres, accompagné par des personnages tellement marquants (agaçants parfois) comme Dickens savait les caractériser.
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Citations et extraits (48) Voir plus Ajouter une citation
Le grand-père et la grand-mère Smallweed, chargés d’années, sont, pour le moment, assis de chaque côté de la cheminée, dans un grand fauteuil recouvert en crin, et filent des heures d’or et de soie au fond d’un petit parloir sombre, situé à plus d’un pied au-dessous du niveau de la rue ; pièce froide et maussade, ayant pour tout ornement la serge grossière dont la table est couverte, et un plateau, simple feuille de tôle, offrant dans sa nudité, dans ses angles, dans tout son aspect décoratif, une assez bonne allégorie de l’esprit du vieux Smallweed. Sur le fourneau sont deux trépieds destinés à poser les pots et les chaudrons que le grand-père a pour fonction habituelle de surveiller ; de la cheminée se projette une espèce de potence qui sert de tournebroche et dont la direction est également confiée à M. Smallweed lorsque, par aventure, on fait un rôti dans la famille. Sous le fauteuil du vieillard, et gardé par les jambes en fuseau de ce vénérable grand-père, est un tiroir qui contient, dit-on, des richesses fabuleuses ; à côté de M. Smallweed est un coussin dont il est toujours pourvu, afin d’avoir quelque chose à jeter à la tête de sa femme toutes les fois qu’elle parle d’argent, car c’est un sujet sur lequel M. Smallweed est extrêmement chatouilleux.
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Il y a aussi milord Boodle, qui connaît les affaires, qui jouit dans son parti d’une immense réputation, et qui, en causant avec sir Leicester, lui dit gravement qu’il ne sait vraiment pas où ce siècle veut en venir. Un débat n’est plus ce qu’était jadis un débat ; la chambre n’est plus ce qu’elle a toujours été ; un cabinet même ne se forme plus aujourd’hui comme on le formait autrefois. Supposez que le ministère actuel vienne à être renversé, la couronne ne pourrait choisir, pour la formation du nouveau cabinet, qu’entre lord Coodle et sir Thomas Doodle ; et, comme il est probable que le duc de Foodle refuserait d’entrer dans une combinaison où l’on admettrait Goodle, par suite de la rupture qui a eu lieu après l’affaire Hoodle, il faudrait donner le ministère de l’intérieur à Joodle, qui prendrait en même temps la direction de la chambre des communes ; les finances à Koodle, les colonies à Loodle, les affaires étrangères à Moodle ; et que feriez-vous de Noodle ? vous ne pourriez pas lui offrir la présidence du conseil, qui est réservée à Poodle ; ni lui donner les eaux et forêts, qui sont à peine dignes de Quoodle. Il en résulte que le pays marche à sa ruine, et qu’il est perdu parce qu’il n’a pas où placer Noodle, ce qui est parfaitement démontré au patriotisme de sir Leicester.
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Au premier rang [des parents pauvres d'aristocrates] se trouve Volumnia Dedlock, (jeune demoiselle de soixante ans), doublement bien née ; car elle a l’honneur, par sa mère, d’être l’un des parents pauvres d’une autre grande famille. Comme elle a déployé très jeune un fort joli talent pour les découpures en papier, qu’elle chantait l’espagnol en s’accompagnant de la guitare, et proposait des énigmes et des charades françaises dans les châteaux, elle a passé vingt ans de sa vie, entre vingt et quarante, d’une manière assez agréable. Commençant alors à dater et à ne plus obtenir le moindre succès avec ses chants et sa guitare, elle se retira dans la petite ville de Bath, où depuis cette époque elle vit maigrement d’une petite rente que lui fait sir Leicester, et d’où elle surgit de temps à autre pour apparaître dans les manoirs de ses cousins. À Bath, elle a un cercle de connaissances fort étendu, composé de vieux gentlemen effrayants, aux jambes grêles enfermées dans de larges pantalons de nankin, et occupe une haute position dans cette morne cité ; mais l’indiscret emploi du rouge, qu’elle pousse jusqu’à la profusion, et un collier de perles suranné qui ressemble à un chapelet d’œufs de petits oiseaux, fait ailleurs redouter sa présence.
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Sur la frontière orientale de Chancery-Lane, ou, pour parler d’une manière plus précise, dans Cook’s-Court, Cursitor-Street, M. Snagsby exerce la profession de papetier du palais et vend, dans cet endroit ténébreux, têtes de lettres et formules judiciaires ; parchemin et papier de tout format, brun, blanc, gris et brouillard ; billets et timbres de toutes les valeurs ; plumes de bureau, plumes de fer ; encre noire et de couleur ; gomme élastique, pierre ponce, épingles et crayons ; pains et cire à cacheter ; fil rouge et signets verts ; almanachs, portefeuilles et agendas ; boîtes à ficelle, registres, règles, encriers de verre et de plomb, canifs, ciseaux, grattoirs et mille autres articles trop longs à détailler ; commerce qu’il fait depuis l’époque où, ayant fini son apprentissage, il devint l’associé de son patron et substitua l’inscription Peffer et Snagsby à celle de Peffer seul, consacrée par le temps et devenue illisible ; car la fumée, qui est le lierre de Londres, s’était tellement attachée au nom et à la demeure du vieux papetier, qu’elle en avait fait disparaître l’enseigne.
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- Il vaudrait bien mieux que vous n’eussiez pas de jour de naissance, me dit-elle, et que vous ne fussiez pas née.
Je fondis en larmes, et à travers mes sanglots :
- Chère marraine, m’écriai-je, dites-le-moi, je vous en prie, est-ce que c’est ce jour-là que maman est morte ?
- Non, répondit-elle, et ne me questionnez pas.
- Oh ! je vous en conjure, parlez-moi d’elle au contraire ; que lui ai-je fait pour qu’elle m’ait abandonnée ? quand est-ce que je l’ai perdue ? pourquoi ne suis-je pas comme tous les autres enfants, et pourquoi est-ce ma faute ?… Oh ! non, non, chère marraine, ne vous en allez pas, je vous en supplie, répondez-moi.
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"Une des plus grandes auteures américaine actuelle qui revient avec un chef d'oeuvre ! Une transposition de David Copperfield dans les Appalaches digne de Charles Dickens ! " - Jean-Edgar Casel.
Demon Copperhead réimagine le roman de Dickens dans une Amérique rurale moderne confrontée à la pauvreté et à la crise des opioïdes ... le roman de Kingsolver vous emporte avec autant de force que l'original.
À retrouver en librairie et sur lagriffenoire.com https://lagriffenoire.com/on-m-appelle-demon-copperhead.html
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