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Avec ce Grillon du foyer, Dickens rejoint ma Bibliothèque de la Bienveillance aux côtés de Tillier et d' Erckman-Chatrian.
Le récit est joyeux et entraînant, qui donne vie à une bouilloire sifflante et à un grillon porte-bonheur qui lui répond... Et puis à John, Dot, et leur baby.
Les temps sont rudes, en ce dix-neuvième siècle dur aux pauvres... Et Dickens offre une véritable histoire aussi bienveillante et réconfortante.
Mais pas si mièvre et naïve qu' on pourrait croire au premier abord.
Alors, le bonheur est menacé un moment et le "méchant" du récit est plus vrai que nature. Mais Dickens le sait, le méchant n'est qu'un être malheureux, chagrin et tout prêt à s'amender en s'ouvrant au bonheur pourvu que le déclic se produise et qu' une occasion lui soit donnée.
Tous l' art de ce grand conteur que fut Dickens, se déploie dans cet enchantement vivant de personnages et d'objets pittoresques.
Alors, si vous avez un grillon dans votre foyer, conservez-le précieusement lui et son chant....
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Même si j'aime bien Dickens, je dois dire que "Le grillon du foyer" m'a un petit peu échappé. J'ai surtout apprécié le troisième cri où le rythme est plus soutenu.
Avec ces histoires de mariage où l'épouse est plus jeune que le marri et fini par générer de la jalousie même sans raison, ou alors celle de la fiancée plus jeune qui va avoir la bonne fortune d'épouser son amoureux au lieu d'épouser un vieux monsieur aigri et antipathique jusqu'à ce qu'une bonne fée où un esprit ( mais là je m'éloigne), lui accorde un coeur généreux.
Un court récit avec une fin heureuse et c'est bien ce qui compte en cette période de fête.

Challenge solidaire 2019

Challenge RIQUIQUI 2019
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Le Grillon du foyer (titre original : The Cricket on the Hearth. A Fairy Tale of Home) est une nouvelle de Charles Dickens. Parue le 20 décembre 1845, cette nouvelle se présente dans la version des éditions Nelson (Édimbourg, Écosse) en petit format (11 x 16 cm) et bénéficie d'une couverture sympathique dite « en trois couleurs » qui représente John confortablement assis dans son fauteuil au coin d'un feu de cheminée et Dot, sa femme, lui tendant affectueusement une pipe à long manche qu'elle vient de bourrer. le Grillon du foyer est le troisième des cinq contes de Noël de Dickens et c'est aussi un des plus populaires. Regroupé avec quatre autres contes de Noël, le Grillon du foyer a eu un succès retentissant lors de sa parution.

L'histoire ? John (page 21) est « le meilleur, le plus dévoué et le plus affectueux des maris ». Sa femme, Dot, correspond à l'image de l'épouse idéale (page 66) : elle est « une compagne patiente, une garde dévouée, une fidèle amie, infatigable, fidèle, attentionnée et aimante ». Ils vivent tous deux un grand amour sous la protection du grillon de leur foyer, car (page 20) « chacun sait qu'un grillon de cheminée porte bonheur à une maison ». Quand Tackleton, un voisin, leur dit qu'il compte se marier, alors (page 25) le grillon du foyer se tait et « l'atmosphère de la pièce » perd « de sa gaieté ». Songez donc (page 34), Tackleton voudrait épouser May, une jolie jeune femme de plusieurs années sa cadette ; or Tackleton est une sorte d'ogre domestique qui exècre les enfants, enfants dont il tire pourtant sa fortune puisqu'il fabrique des jouets à leur attention, mais pas n'importe quels jouets, des jouets terrifiants (« tout nouveau jouet capable de donner le cauchemar l'enchantait »). Tackleton (page 38) est en outre un tueur de grillons ! Caleb, un autre voisin de John, vit avec sa fille, Bertha, aveugle de naissance. Ils fabriquent tous deux des jouets (page 50) : des poupées, des maisons de poupées, des arches de Noé, des charrettes, des violons, des tambours, des clowns et des animaux à ressorts et à manivelles. Caleb fait l'impossible pour rendre Bertha heureuse ; il lui fait croire qu'elle vit dans le luxe car c'est le seul moyen qu'il ait trouvé pour lui témoigner son amour et lui apporter un peu de joie, dans (page 56) une « comédie perpétuelle pour l'amour de sa fille infirme ». Un jour, Tackleton surprend Dot en conversation avec un jeune homme. Ce jeune homme, prénommé Édouard, est le fils de Caleb : revenu des Amériques (page 132), Édouard est fort, vigoureux et hâlé. Tackleton fait croire à John que Dot le trompe, ce qui déclenche la colère de John qui songe à tuer Édouard. Heureusement, il n'en fera rien car le grillon du foyer et les bonnes fées veillent à conserver chez tout ce beau monde d'excellentes relations, qui plus est en ce temps de Noël. A la fin de cette nouvelle, John et Dot se retrouvent « nageant dans le bonheur le plus complet ».

Mon avis ?

Il s'agit d'un conte de fées, et ce conte est attachant, pour ne pas dire émouvant si tant est qu'on ait la larme à l'oeil facile. Or, Noël qui est une période particulière de l'année, correspond dans l'imaginaire collectif à un moment de générosité, de pardon et d'amour. Ce récit, qui fait vibrer la corde sensible de chaque lecteur, est écrit par un conteur inimitable. Voyez plutôt : c'est avec le chant combiné de la bouilloire et du grillon du foyer que commence la nouvelle. Et le lecteur nage très vite dans la plus complète félicité : le foyer de John et de Dot est un foyer modèle où les vieilles personnes reçoivent un accueil chaleureux ; la misérable bicoque dans laquelle vit Bertha se transforme, sous la parole magique de Caleb, en une magnifique habitation où les jouets mènent une vie délicieuse. Et même Tackleton, qui incarnait au début du récit la méchanceté la plus noire, finit par s'excuser auprès de John et de Dot, époux admirables auxquels il offre un superbe gâteau et des jouets pour leurs enfants, avant d'inviter l'acariâtre Mme Fielding à danser : une transformation qui n'aurait pas été possible sans la magie de Noël, les fées et le grillon du foyer !

Conteur hors pair, Dickens nous brosse avec humour (il s'agit d'humour anglais) et ironie des portraits pittoresques, à la limite de la caricature : ainsi (page 76), Tackleton était « aussi parfaitement à l'aise et véritablement dans son élément qu'un jeune saumon au sommet de la grande pyramide » et quant à Mme Fielding, raide et guindée, elle n'hésite pas à déclarer (page 77), empreinte de convenances et tenant des propos aussi solides qu'irréfutables, qu'il faut « être correct ou mourir ». de plus, vous trouverez quelques clins d'oeil amusés et taquins à l'adresse d'un lectorat ou d'un public pétri de bonnes manières : ainsi (page 67), « le vieux cheval, dont Tackleton avait décoré la tête de fleurs et de rubans, avait usé de la permission qu'il avait d'abîmer la route pour plus que la valeur du droit de péage que son maître versait journellement à la barrière, en imprimant sur le sol d'impatients autographes ». Quant au chien Boxer, son comportement (avec ses allers et venues particulièrement divertissantes) ressemble parfois à celui d'un être humain. le coup de pinceau est globalement net et précis : du beau travail !

Au-delà de ça, Dickens ne fait pas dans l'analyse psychologique raffinées. Et la candeur naïve dont il affuble John, Dot et Bertha semblera friser le ridicule ; ainsi (page 103), le grillon se met à chanter « réveillant ce qu'il y avait de meilleur en lui » et (page 108) les fées se tournent vers John pour le calmer et le conseiller, lui montrer que Dot est toujours belle et souriante, active, radieuse, charmante, un « vrai soleil de la maison ». En outre, en pleine ère victorienne, Dickens se limite à nous montrer des foyers misérables où, certes, la misère des uns est criante de réalité par rapport à l'avarice des autres (Caleb ne fait-il pas croire à Bertha qu'il est choyé par son employeur?), mais il n'y a pas de réelle dénonciation de la misère sociale et des ravages de la révolution industrielle. Alors, Dickens serait resté dans le politiquement correct ? le sujet de cette nouvelle c'est le mariage et la fidélité : la morale de cette nouvelle c'est que le grillon veille et aide les gens à voir plus clair, à distinguer le bien du mal ! Dans le Grillon du foyer Dickens, sous couvert d'un conte de Noël, nous livre avec tous les archétypes habituels (un vieux méchant, une jeune amoureuse, un jeune soupirant, des fées …) et au milieu de situations incongrues et surnaturelles (les fées rendent visite aux personnages et leur parlent, afin de les guider !) une réflexion optimiste, dynamique, humoristique et amusée sur la vie quotidienne de son époque. Conte de Noël, tendre et bien mené, comédie ou farce douce et sucrée ? En tous cas, un texte agréable, à lire ou à relire.
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Un grillon qui chante dans la cheminée porte bonheur à la maisonnée.

Dans ce conte on pénètre en hiver l'intérieur chaleureux d'une maison réchauffée par le foyer de la cheminée et j'apprécie particulièrement combien Charles Dickens sait rendre l'atmosphère et décrire les sensations mêlées des petites habitudes de chacun : on s'y croirait !
Il n'hésite pas à établir des listes et on ne se lasse pas, dans cette langue soignée du XIXe siècle, un rien british avec les noms aux consonnances spécifiques.
Puis des personnages font leur entrée et le récit s'anime et se complique. Ils vont passer par diverses émotions à tour de rôle et là aussi le talent de l'auteur s'exprime à souhait ! La description tourne parfois à la caricature avec des expressions imagées très amusantes.
L'intrigue se joue sur fond de peinture de la société de l'époque et de la misère de certains ouvriers, assortie d'une réflexion sur le mariage mais l'humour n'est jamais loin.
On frôle le drame… mais je n'en dis pas plus pour ne rien dévoiler aux futurs lecteurs.

Dickens a donc le talent de nous mener en quelques pages du rire aux larmes. Un sacré conteur !! J'ai envie de m'essayer maintenant à des romans plus longs de sa plume…
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Je viens de passer un peu plus de deux semaines en compagnie de Charles Dickens et de ses contes de Noël. Je viens de terminer le grillon du foyer et je me sens remplie d'amour.

Ne me regardez pas avec cet air étonné, Dickens a su me cueillir avec un conte de fées attendrissant et pétri d'humanité.

Certes, le trait est gros. J'ai l'impression que c'est la marque de fabrique de l'auteur. Les personnages sont des stéréotypes ambulants avec des caractères sans nuance. Les pauvres sont d'une bonté désarmante et les pires avanies leur tombent dessus avec régularité. Les riches (ou moins pauvres comme ici avec Tackleton) sont avares, orgueilleux, laids et leur âme est corrompue.

Et bien sûr, comme nous sommes dans un conte, tout est bien qui finit bien. le "méchant" s'adoucit, les quiproquos sont résolus, l'amoureux disparu réapparaît au bon moment et tout est pardonné.

C'est sucré, presque mielleux. Et pourtant j'en redemande parce que, en ces temps de discorde et de colère, un peu de douceur ne fait pas de mal. Et on pourra me taxer de naïve mais je continue de croire à la possibilité d'un monde meilleur.

Et puis c'est superbement écrit. Dickens a un talent de conteur inouï. Même quand il décrit quelque chose d'aussi banal qu'une bouilloire sur le feu, c'est intéressant.
L'auteur a également beaucoup d'humour, il y a quelques scènes cocasses avec miss Slowbody qui allègent le récit.

Une chose est sûre, je ne vais pas en rester là avec Dickens. Il faut que je fasse de la place sur mes étagères pour ses romans.

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Dans la maison de John et sa femme Dot, le grillon chante. C'est un foyer chaleureux au coeur de l'hiver qui va assister au miracle de l'amour après quelques péripéties...

Ce conte a été extrêmement populaire à sa sortie en 1845 et a semble-t-il enchanté de nombreuses familles. Dickens recrée le cadre domestique d'une famille anglaise lambda qui se satisfait de peu, dans un fond très légèrement fantastique avec des grillons gages de bonheur et des fées amies qui ne vous veulent que du bien.
Si le but de Dickens à l'époque est clairement de réchauffer les coeurs, le résultat aujourd'hui reste très naïf et mièvre avec une grosse pincée de ridicule à tendance énervante. Les personnages (de femmes surtout) sont extrêmement stéréotypés, tout comme les situations et la dynamique de l'intrigue. La béatitude de Bertha et sa complainte de l'aveugle sont à se taper la tête dans le mur, tout comme l'explication finale de Dot qui donne juste envie de se tirer une balle tant les jeux de répétition et le dramatisme très exagérés sont risibles, voire même caricaturaux. Et le personnage de Tackleton, le Méchant pas Gentil qui finalement se radoucit et se joint à la fête familiale... le parallèle avec Scrooge ne se fait que trop facilement et appelle donc une redondance trop clichée.
Des quiproquos mais finalement tout va bien et tout brille et tout le monde il est content et ami : on est très loin du réalisme, et c'est bien pour ça que ça a marché en 1845 mais que ça marche pas en 2017. En fait si, ce type de conte fait toujours recette de nos jours, mais à travers des téléfilms de Noël mielleux dont on connaît déjà la fin cinq minutes après le début.
J'ai du mal à comprendre comment les gens peuvent être emportés par ce genre d'histoire assez creuse qui, certes, permet d'oublier le quotidien, d'essayer de garder le sourire ou d'illuminer un peu plus les fêtes de fin d'années (comme c'était le but originel), mais dans lesquelles il ne se passe rien. Dans ce conte, Dickens perd la moitié de son ouvrage à placer ses personnages et à tenter de nous faire compatir à leur situation derrière des bla bla assez rébarbatifs et des descriptions toutes plus ampoulées les unes que les autres. C'est que ça piapiate bien plus là-dedans que les choses se pa-passent !
C'est juste trop de soupe rose bonbon cotonneuse qui met de candides pansements aux bobos de l'âme. Attendez je reviens, je vais vomir !!!
Lien : http://livriotheque.free.fr/..
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John Peerybingle vit heureux avec sa très jeune femme et leur bébé, persuadé que le grillon qui vit dans la cheminée est leur porte-bonheur. La famille accueille un vieil homme pour quelques jours, alors que le voisinage s'apprête à célébrer un mariage mal assorti.

Difficile de résumer cette histoire, qui tient à la fois du vaudeville et de la fable moralisatrice. On est plus ou moins dans le huis-clos: même si les personnages ne sont pas enfermés, ils restent dans un cercle restreint de connaissances dans lesquels toute l'intrigue va se jouer. Ajoutez à cela un élément fantastique pour dénouer le tout et vous aurez une idée du contenu.

Pour dire les choses de façon positive, c'est rafraîchissant et plein de bons sentiments. Si on veut être plus négatif, on dira que c'est niais et convenu. Comme la plume est agréable, même si un peu datée, je me situerai entre les deux: c'est assez plaisant à lire si on veut découvrir Dickens avec un texte court. Si on s'attend à quelque chose de fouillé et palpitant, ce n'est pas cette histoire qui nous donnera satisfaction.

Ce récit est une longue nouvelle appartenant aux « cinq contes de Noël ». Dans mon édition, elle est suivie de Un Chant de Noël (vous connaissez l'histoire de Scrooge? C'est ça.), que je n'ai pas relue puisque j'avais eu l'occasion de la découvrir dans un autre format il y a quelques années.

J'étais contente de découvrir un peu plus l'oeuvre de Dickens, que je connais très mal, et ç'a été une lecture intéressante, mais sinon ce n'est pas le genre d'histoire que j'apprécie spécialement et elle ne me marquera pas vraiment. A lire à Noël avec les autres contes de la « série »?
Lien : https://bienvenueducotedeche..
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Le grillon du foyer n'est pas le plus connu, en France, des contes de Noël de Dickens. Il faut dire qu'il commence de façon surprenante, par le chant du grillon et celui de la bouilloire. Il met en scène des personnages simples, comme John le voiturier et Dot, sa jeune et aimante épouse. Leur foyer est modeste, leur amour est palpable, par leurs petites attentions l'un envers l'autre, par leur sérénité aussi. Ils ont pour voisin Caleb, dont le métier est de fabriquer des jouets, ce qu'il fait avec beaucoup de soin. Un métier parfait pour un conte de Noël !
Parfait peut-être, mais pas enrichissant : Caleb, extrêmement pauvre, fait tout pour rendre heureuse Berthe, sa fille unique aveugle, quitte à lui mentir ou même à enjoliver la réalité, surtout en ce qui concerne leur patron, Tackleton. Celui-ci est le personnage antipathique par excellence, et s'il parvient à gâcher un temps le bonheur serein de John, il a la chance que celui-ci aime son épouse plus que lui-même. Tackleton aurait rencontré un Othello, et le drame était là. Il a été frôlé néanmoins.
Comme tout conte, tout est bien qui finit bien, l'amour triomphe – même Tackleton s'humanise ! Un court récit à lire, pour qui veut découvrir Dickens.
Lien : http://deslivresetsharon.wor..
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"To have a Cricket on the Hearth, is the luckiest thing in all the world!"

Faut-il être blasé pour ne pas reconnaître les vertus lénifiantes de ce bonbon fondant !

Grâce à la protection opportune d'un grillon ("Chirp, chirp, chirp!" qui stridule dans leur humble demeure, le brave commissionnaire John Peerybingle et sa rayonnante épouse, la dodue Dot, vont rajeunir et revigorer leur amour conjugal.

Ruisselant de bons sentiments, cette nouvelle n'est cependant pas que de sucre. Dickens, coutumier du fait, y met en scène quelques natures singulières, comiques, touchantes ou a contrario odieuses : une nurse empotée pluralisant le moindre propos ; une jeune aveugle qui, grâce aux bienfaisantes mystifications de son père, vit dans un univers ouaté ; ou encore l'affreux Tackleton dont l'aigreur ne saura cailler le lait de la tendresse dickensienne.

Il me faut redire le talent de l'écrivain pour planter un décor (l'atelier misérable du pauvre Caleb), croquer une silhouette (les contorsions drôlatiques du chien Boxer) ou rapporter la parlure d'un personnage (les brocards cyniques d'un grincheux ou le babillage insipide d'une vieille dame). Quel merveilleux raconteur d'histoires !

Une friandise à grignoter sans bouder son plaisir...

"A Cricket sings upon the Hearth; a broken child's-toy lies upon the ground; and nothing else remains."
Lien : http://lavieerrante.over-blo..
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Un autre conte de Noël de Dickens. Nous sommes donc en terrain connu, beaucoup de bons sentiments, et une fin forcément heureuse.

Un couple sympathique, une charmante jeune femme et un beau bébé. Et encore une fois un homme peu sympathique avec les autres, qui va être amené à changer de conduite. La gentillesse et le désintéressement seront récompensés, et l'histoire va se terminer par un mariage entre un beau jeune homme et une belle jeune fille.

L'écriture de Dickens, et aussi son humour permettent à ce récit de faire plaisir sans paraître trop sucré.
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