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Critique de Mermed


Une sorte d'inversion délirante d'un dialogue platonicien. Diderot remplace Socrate, l'amant de la sagesse, guidant son élève émerveillé vers le bien par le neveu de Rameau l'inadmissible et invraisemblable plouc, instruisant Diderot, mi-amusé mi-dégoûté, aux joies de la gourmandise et de la paresse.
Diderot, rédacteur en chef de l' Encyclopédie, était lui-même un parangon de productivité intellectuelle et un défenseur passionné de la raison humaine. Pourtant, l'une de ses créations les plus brillantes et les plus séduisantes est ce gaspillage sans vergogne, totalement déraisonnable. Brillantisime, à tel point que Thomas Bernhard a écrit à son tour, un neveu, celui de Wittgenstein.




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