Il y a deux raisons pour lesquelles je n'aime pas les interviews ou les entretiens : même lorsque l'interviewer est une personne d'une originalité absolue, il est obligé de poser des questions banales. Une fois, je devais être interviewé par Jacques Le Goff pour "Le Nouvel Observateur". Mais il m'a dit : "Umberto, tu dois me pardonner, mais la rédaction m'a dit de te poser seulement des questions banales, les mêmes que se poseraient les lecteurs !" Évidemment, j'étais un peu déçu !
Entretien avec Umberto Eco.
Milo Manara enlumine le Nom de la Rose d’Umberto Eco