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Diglee (Autre)Clémentine Beauvais (Traducteur)
EAN : 9782360121267
256 pages
Ville Brule (08/10/2021)
4.58/5   177 notes
Résumé :
Cette anthologie réunit 50 poétesses des 19e, 20e et 21e siècle. Certaines d’entre elles sont très connues, d’autres sont tombées dans l’oubli. Toutes ont en commun d’avoir marqué leur époque, et d’avoir écrit de sublimes poèmes. Pour chacune d’entre elles, Diglee a réalisé un portrait ou une illustration originale, rédigé une biographie, et sélectionné ses poèmes préférés. Maureen Wingrove (Diglee) est une illustratrice, autrice de bande dessinée et romancière fran... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (38) Voir plus Ajouter une critique
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Ardemment désiré, ce superbe livre m'a été offert à Noël, grand merci!

" Si l'on m'aborde
Je serai le feu"

Claude de Burine.

Diglee, illustratrice, auteure de bande dessinée et romancière, a relevé le défi en 2017 de publier 31 dessins par jour, durant le mois d'octobre, autour du même thème. Et elle a choisi les femmes poètes, découvertes par elle, au fil de ses recherches. Est née ensuite cette oeuvre à la première de couverture magnifique, rose lilas et dorée, avec en son centre, à l'encre noire, le visage d'Anna Akhmatova.

Diglee a décidé de réunir cinquante femmes poètes en différents groupes, " Les insoumises", " Les mélancoliques, " Les magiciennes" etc.., avouant que certaines appartiennent à plusieurs d'entre eux. Elle reconnaît avoir privilégié l'entre deux guerres, qui la fascine. Pour chacune, un portrait tout en symboles à l'encre ,souvent accompagné d'un vers, une biographie très personnelle et quelques poèmes.

L'ensemble est vraiment réussi, original, inspiré, et m'a permis de faire de nouvelles rencontres avec des femmes poètes oubliées ou fort peu connues, comme Angèle Vannier, Gisèle Prassinos ou Edith Boissonnas, dont voici quelques vers:

" Tout à coup s'ouvre une porte
sur le souffle de la nuit
l'air des feuillages m'apporte
la solitude et son bruit"

On parcourt les pages avec ravissement: beauté des mots, sensualité des dessins, délicatesse d'association du noir et de l'or! Une merveille! Un livre que je vais chérir...
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L'incandescence.
Ce n'est pas un hasard si "Je serai le feu" est édité par "La Ville brûle".
Le feu appelle le feu, et la beauté aussi.
La grâce, la clarté et l'incendie.
Tout ça et puis le reste, la beauté des mots, leur chant souvent incantatoire.

Avec "Je serai le feu", Diglee -illustratrice, romancière et auteur de bande dessinée- réunit dans un écrin d'or, d'encre et de velours réunit les textes de pas moins de cinquante poétesses courant du XIXème siècle au XXIème siècle. Il y a celles que l'on connaît, mais si mal et si peu au fond: Emily Dickinson, Rosemonde Gérard, Marceline Desbordes-Valmore, Sylvia Plath, Anaïs Nin, Patti Smith… Et celles qui sont tombées dans l'oubli, parce qu'aujourd'hui, on lit si peu de poésie et parce qu'elles étaient des femmes. Surtout parce qu'elles étaient des femmes.
Comme si la poésie n'était qu'une affaire d'hommes... C'est presque ce qu'on a appris à l'école d'ailleurs...non?

Avec le talent, l'engagement et surtout la sensibilité qu'on lui connaît, Diglee fait sortir de l'oubli où les a plongé l'histoire littéraire ces femmes et leurs textes.
C'est une anthologie complètement subjective qu'elle nous propose, faite de fragments et d'éclats, de bribes et d'étincelles des textes qu'elle aime et qu'elle accompagne de biographies toutes aussi subjectives de ces magiciennes du verbes, différentes mais toutes ardentes à leur manière, qu'elles soient "filles de la lune" ou "prédatrices", "mélancoliques" ou "consumées", "insoumises ou alchimistes".
L'ensemble n'en est pas moins érudit pour autant, mais il n'a ni froideur, ni distance. Il est composé et illustré avec le coeur et les tripes, avec passion, avec poésie et s'y plonger, c'est prendre le risque d'y laisser le coeur et les tripes, de partager les mots et les souffrances, les rêves et les embrasements de chacune des poétesses qui se livrent-là...

Et de la beauté de ces vers jaillissent tant de forces et tant de choses...
La lumière des étoiles et la sensualité, la tristesse et le désir qu'elles ont osé écrire.
Et tant pis pour la moral.
La grandeur de la nature et la tentation du désespoir. de la mort aussi parfois. Celle de l'érotisme qui affleure sous le désir et du feu qui consume.
Et tant pis pour ceux qui condamnent.
La force du langage brandit comme une formule magique et la puissance de l'écriture qui fait fleurir le désert et plier l'orage.
Et tant pis pour ceux qui ne comprennent pas.

Elles étaient le feu.
Elles faisaient, elles aussi, la beauté qui s'appose, comme un incandescent papillon, sur nos bouches assoiffées de poésie. Au même titre que tous les autres.
Merci à Diglee de nous le rappeler.














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Lorsque j'ai vu ce recueil en librairie lors de sa sortie, je n'ai pas pu résister à l'acheter après l'avoir feuilleté. Des poétesses venant d'époques différentes, des magnifiques illustrations ornées de doré, et un objet-livre vraiment superbe... Autant de raisons qui m'ont fait craquer !

Dans ce recueil de poésie, Diglee présente cinquante poétesses du 19e, 20e et 21e siècle, grâce à des courtes biographies et à une sélection de certains de leurs poèmes, accompagnés d'une illustration de ladite poétesse.

J'ai commencé ce livre il y a près de deux ans, et je l'ai terminé il y a relativement peu de temps, parce que je lisais quelques poèmes à certains moments. J'ai voulu prendre mon temps pour découvrir ce magnifique ouvrage, d'autant plus que je ne souhaitais pas l'emporter en dehors de chez moi.

Il y a certaines poétesses dont je connaissais les noms mais la plupart m'étaient complètement inconnues. Je me suis mise à lire tardivement se la poésie et ça n'est pas un genre que je connais franchement. J'étais ravie de pouvoir découvrir autant de femmes qui ont écrit, être plus ou moins touchée par leurs textes, par leurs histoires et leur personnalité.

Grâce à ce beau livre, j'ai pu découvrir plusieurs poétesses dont le travail m'a plu et que je souhaite découvrir davantage. le travail de l'objet-livre est impressionnant, les illustrations sont remarquables et c'est un chouette recueil à découvrir petit à petit.
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Ce livre regroupe les biographies et extraits de poèmes de 50 poétesses choisies comme coups de coeur par Diglee.

Elle les a réparties en 8 catégories :
- Les filles de la lune : Emily Dickinson, Christina Rossetti, Rosemonde Gérard, Jeanne Mette, dite Jane Catulle Mendès, Anna de Noailles, Cécile Sauvage.
- Les prédatrices : Marie de Heredia, dite Gérard d'Houville, Natalie Clifford Barney, Vita Sackville-West, Simonne Michel Azais, Joyce Mansour, Joumana Haddad.
- Les mélancoliques : Marceline Desbordes-Valmore, Marie Nizet, Lucie Delarue-Mardrus, Catherine Pozzi, Anna Akhmatova, Ingeborg Bachmann.
- Les magiciennes : Hilda Doolittle, dite H.D., Valentine Penrose, Anaïs Nin, Angèle Vannier, Anise Koltz, Claude de Burine, Marie-Claire Bancquart, Patti Smith, Laura Kasischke.
- Les excentriques : Claude Cahun, Irène Hamoir, dite Irine, Meret Oppenheim.
- Les insoumises : Louise Ackermann, Valentine de Saint-Point, Mina Loy, Maya Angelou, Audre Lorde, Annie le Brun, Nikki Giovanni, Catherine Voyer-Léger.
- Les alchimistes du verbe : Marie Krysinska, Lise Deharme, Marie-Jeanne Durry, Louise de Vilmorin, Edith Boissonnas, Gisèle Prassinos, Andrée Chedid.
- Les consumées : Else Lasker-Schüler, Renée Vivien, Marina Tsvetaeva, Sylvia Plath, Alejandra Pizarnik.

Ce recueil m'avait fait de l'oeil à sa sortie, véritable objet-livre rose pâle et doré, composé d'une biographie subjective par Diglee pour chacune, et d'un dessin en noir et blanc.
Les poèmes anglophones inédits ont été traduits par Clémentine Beauvais.

J'en connaissais certaines (Emily Dickinson, Alejandra Pizarnik, Anna de Noailles, Anaïs Nin, Patti Smith et Andrée Chedid), et ai découvert avec plaisir et curiosité toutes les autres.
On sent tout le travail de recherche de l'auteure, et sa passion pour la poésie se ressent dans son écriture des biographies.

Petit bémol pour la police de caractères utilisée qui ne permet pas de déchiffrer immédiatement certains mots, même si elle donne de belles lettres sur le rendu.

Des poétesses de différentes origines et avec des styles poétiques distinctifs.
De la poésie amoureuse,
engagée,
féministe,
mélancolique,
raison de vivre,
automatique,
sous emprise de substances,
De la poésie + Des femmes passionnées = Un livre brûlant et flamboyant de beauté.
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DIGLEE. Je serai le feu.

J'adore lire des poésies. Là, DIGLEE a fait un remarquable travail. Elle nous offre une belle anthologie de poèmes écrits par des femmes. C'est un bijou, aussi bien par le choix des poétesses que par la sélection des oeuvres de ces femmes. Elle nous étonne en effectuant une classification très originale. Ces êtres féminins sont, des filles de lune, des prédatrices, des mélancoliques, des magiciennes, des excentriques, des insoumises, des alchimistes ou des consumées. Chacune nous offre trois ou quatre poésies et DIGLEE nous les présente accompagnée d'une notice biographique. Pour moi, c'est un livre magique. J'ai emprunté ce document à la médiathèque. Bien sûr je dois le rendre afin que d'autres lecteurs l'empruntent. Mais je vais fouiller à la librairie et s'il n'est pas en vente, je vais le commander et le placerai, sur ma PAL, une petite récitation à lire chaque jour et peut-être à apprendre.

Je trouve qu'il est très pertinent de se replonger dans les rimes, classiques ou libres. Ces textes mis en valeur par la richesse de l'illustration m'inspirent rêverie, calme douceur, mélancolie. Je barbote parmi ces textes. Certaines de ces autrices poétesses sont connues, d'autres sont des découvertes. de main de maître, DIGLEE a sorti des ornières des femmes dont la poésie chante . Tout le monde connaît RIMBAUD, VERLAINE, ELUARD, DESNOS, etc.… Mais qui a entendu parler ou appris une poésie d'Angèle VANNIER, d' André MORDE ou de Else LASKER-SCHULLER, pour ne citer que quelques exemples. Lors de la présentation de ces femmes de lettres, un ou deux vers sont placés en exergue de la notice biographique. Ils sont le reflet de la personnalité de ces créatrices.

Et le graphisme est d'une finesse. Quel beau travail. DIGLEE a fait preuve d'un grand discernement pour cerner le caractère de ces femmes. Elle rend un bel hommage à ces laissé-pour- compte, ces oubliées. Je vous invite à lire, au hasard quelques pages de ce beau livre, avec une mise en page très soignée, des dessins d'une qualité exceptionnelle, d'une finesse hors norme, une jolie reliure toilée, avec en couverture le portrait d'une femme au milieu de flammes couleur or et qui donne le titre de ce document . Merci DIGLEE et toutes mes félicitations. C'est un honneur de posséder ce livre. Bonne journée poésie….
(19/07/2022).
Lien : https://lucette.dutour@orang..
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Citations et extraits (94) Voir plus Ajouter une citation
Soit, je suis votre fée
  
  
  
  
Soit, je suis votre fée et votre Béatrice,
Votre Ariel dansant pareil au pur-esprit,
La muse blanche auprès de l’anxieux proscrit
Lui posant son baiser au front pour qu’il guérisse.

Soit, je suis Cléopâtre aux yeux d’impératrice,
Celle pour qui l’on meurt et pour qui l’on écrit,
Et je suis la bacchante échappée et qui rit
Ou l’amante sans voix damnée et tentatrice.

Soit, mon ami d’amour, je suis, entre tes bras,
Convoitée, adorée, et haïe et chérie,
Le motif de ton rêve et ton idolâtrie,

Tout ce que l’on possède et tout ce qu’on n’a pas ;
— Mais ces choses, vois-tu, c’est bien moins qu’une femme
Avec son cœur. avec sa chair, avec son âme.


// Jane Catulle-Mendès ///France (16/03/1867-09/06/1955)
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FLORILÈGE - extrait -
  
  
  
  
[…]

Pardon ! Pardon Si j’en oublie…
J’en vois encor sur le chemin,
Et des livres de poésie
Resplendissent entre leurs mains.

Ah! Je voudrais les garder toutes
Dans ce jardin que je construits,
Car si parfois je les écoute,
Je les entends mieux aujourd’hui.

[…]

Je veux que la plus effacée,
La plus oubliée aujourd’hui,
Sente, un instant, que ma pensée
À côté d’elle me conduit,

Et sache, la pauvre petite,
Qu’en terminant j’écris tout bas,
– Comme une fleur qu’on ressuscite –
Son nom, que je ne connais pas !


// Rosemonde Gérard
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Le retour.

Je revins dans ma famille,
Non sans avoir voyagé,
Un soir de mélancolie.
les lieux avaient bien changé.

Se peut-il que la terrasse
Ne soit plus au même endroit ?
La cheminée est plus basse
Le corridor n'est plus droit.
Une véranda touffue
que je ne connaissais pas
Donne dans la chambre nue
Au mystérieux coffre plat.
Ici chacun continue
Son monologue sans moi,
Dans cette étrange atmosphère
Où je ne reconnais rien.
Tout à coup s'ouvre une porte
sur le souffle de la nuit,
l'air des feuillages m'apporte
la solitude et son bruit.

Édith BOISSONNAS ( 1904-1989)

page 281.
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Mélodie

Tes yeux se posent dans mes yeux
Jamais ma vie n'a eu de si forte attache
Jamais n'a-t-elle été autant ancrée en toi
Éperdument ancrée.

À l'ombre de tes rêves, la nuit venue,
Mon coeur d'anémone s'abreuve de vent,
Et je traverse, florissante, les jardins
De ta paisible solitude.

Else Lasker-Schuler ( extrait de " Secrètement, à la nuit")
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Souvent accusée de conservatisme et de bigoterie, Christina Rossetti a pourtant fait montrer d'une excentricité et d'une subversion insoupçonnées. Certes, elle a refusé de signer une pétition en faveur du droit de vote des femmes, mais en précisant que le suffrage seul ne suffirait pas à protéger les intérêts des femmes, et que "la représentation des femmes au Parlement serait plus conforme aux objectifs du mouvement des femmes".
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Videos de Diglee (16) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de  Diglee
Dans ce nouvel épisode des Éclaireurs de Dialogues, nous vous proposons une plongée dans l'univers de Diglee.
"Si je ne les écris pas, les choses ne sont pas allées jusqu'à leur terme. Elles ont été seulement vécues." Cette phrase d'Annie Ernaux, présentée en exergue de son livre le Jeune Homme, résonne pour notre invitée, qui pratique elle aussi une écriture de l'intime.
Artiste aux multiples talents, Diglee s'exprime par le dessin et les mots, par l'humour et le sérieux, et ne cesse de nous surprendre de livre en livre. Elle est aussi une autrice engagée et une passeuse de livres. Au fil de la conversation, il est question notamment de l'importance des traces, de harcèlement de rue, de poétesses oubliées et d'une retraite en Bretagne. Et trois libraires de Dialogues, Nolwenn, Laure et Marine, présentent chacune un livre de Diglee qui les a marquées.
Bibliographie :
- Atteindre l'aube, de Diglee (éd. La ville brûle) https://www.librairiedialogues.fr/livre/22262120-atteindre-l-aube-diglee-la-ville-brule
- Ressac, de Diglee (éd. Points) https://www.librairiedialogues.fr/livre/20654146-ressac-diglee-points
- Je serai le feu, de Diglee (éd. La ville brûle) https://www.librairiedialogues.fr/livre/19776423-je-serai-le-feu-diglee-la-ville-brule
- Libres ! Manifeste pour s'affranchir des diktats sexuels, d'Ovidie et Diglee (éd. Delcourt) https://www.librairiedialogues.fr/livre/11420971-libres-manifeste-pour-s-affranchir-des-dikt--diglee-delcourt
- le Jeune Homme, d'Annie Ernaux (éd. Gallimard) https://www.librairiedialogues.fr/livre/20614397-le-jeune-homme-annie-ernaux-gallimard
- Se perdre, d'Annie Ernaux (éd. Folio) https://www.librairiedialogues.fr/livre/586873-se-perdre-annie-ernaux-folio
- L'occupation, d'Annie Ernaux (éd. Folio) https://www.librairiedialogues.fr/livre/161352-l-occupation-annie-ernaux-folio
- La Force des choses, de Simone de Beauvoir (éd. Folio) https://www.librairiedialogues.fr/livre/16283-la-force-des-choses-simone-de-beauvoir-folio
- Les Grands Cerfs, de Claudie Hunzinger (éd. J'ai lu) https://www.librairiedialogues.fr/livre/16878883-les-grands-cerfs-roman-claudie-hunzinger-j-ai-lu
- Mon corps de ferme, d'Aurélie Olivier (éd. du commun) https://www.librairiedialogues.fr/livre/21689916-mon-corps-de-ferme-aurelie-olivier-ed-du-commun-rennes
- Ligne de fuite, de Sarah Baume (éd. Notabilia) https://www.librairiedialogues.fr/livre/21661963-ligne-de-fuite-sara-baume-les-editions-noir-sur-blanc
Au cours de la conversation sont aussi citées plusieurs autres autrices : Virginia Woolf, Siri Hustvedt, Marie Darrieussecq, Édith Boissonnas, Benoîte Groult.
Et l'émission que Diglee écoute tous les soirs depuis ses 13 ans est Parlons-nous, de Caroline Dublanche, sur RTL !
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