Gabriel Dimisianu
EAN : 9789735038007
humanitas (01/01/2011)
/5
1 notes
humanitas (01/01/2011)
Résumé :
Les portraits contenus entre les pages de ce livre bénéficient de la plume d'un observateur aussi attentif que clément. Gabriel Dimisianu envoie des ondes positives sur tous ceux sur lesquels il écrit, car l'enjeu du présent volume n'est pas la revanche, mais la simple évocation. Même ceux qui ont (ont eu) assez à se reprocher sur la route de leur vie, trouvent l'auteur en bonne disposition pour leur accorder des circonstances atténuantes. Gabriel Dimisianu déterre ... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (1)
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Pour ceux qui aiment se laisser guider par des signes (y compris ceux "extérieurs de richesse") je signale non sans quelque orgueil innocent l'identité d'initiales que je souhaite de bon augure, GD. C'est mes recherches sur Ovid S. Crohmălniceanu qui m'ont conduite vers ce livre de témoignages littéraires (littéralement : Souvenirs et portraits littéraires).
Son auteur m'apparaît comme un critique raffiné, érudit et reconnaissant envers ses maîtres, qu'il évoque ici avec déférence lucide et émue à la fois. Il y a bien sur Ovid S. Crohmălniceanu (p. 68-74) mai aussi Ury Benador (p. 19-27), Georgeta Mircea Cancicov (p. 16-18) qui croisa jadis Proust dans les allées du jardin du Luxembourg ou le jeune Sorin Titel (p. 80-94) pour n'en citer que quelques-uns.
Photos anciennes comme affirme modestement le critique, mais au charme encore intact, pour moi, tout du moins. Je salue la bienveillante neutralité de ton de ce critique que je compte suivre de prés, même si me procurer ses livres relève du parcours du combattant.
Son auteur m'apparaît comme un critique raffiné, érudit et reconnaissant envers ses maîtres, qu'il évoque ici avec déférence lucide et émue à la fois. Il y a bien sur Ovid S. Crohmălniceanu (p. 68-74) mai aussi Ury Benador (p. 19-27), Georgeta Mircea Cancicov (p. 16-18) qui croisa jadis Proust dans les allées du jardin du Luxembourg ou le jeune Sorin Titel (p. 80-94) pour n'en citer que quelques-uns.
Photos anciennes comme affirme modestement le critique, mais au charme encore intact, pour moi, tout du moins. Je salue la bienveillante neutralité de ton de ce critique que je compte suivre de prés, même si me procurer ses livres relève du parcours du combattant.
Citations et extraits (1)
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La bonne réception médiatique de "Subiectul banal" [Sujet banal], a, à l'époque, incité Ury Benador à réécrire le même drame du point de vue de l’héroïne ("Hilda", 1936), avec moins de succès, selon G. Călinescu. Eugen Ionescu trouvait cependant le livre "exceptionnel. Voilà ce qui peut être dit clairement et sans problème”.
[Buna întâmpinare, în epocă, a "Subiectului banal" l-a îndemnat pe Ury Benador să rescrie, în alt roman, aceeași dramă din perspectiva eroinei ("Hilda", 1936), cu mai puțin succes, după G. Călinescu. Eugen Ionescu găsea totuși cartea "excepțională. Lucrul acesta îl putem spune liniștit și limpede."
(p. 24, "Ury Benador")
[Buna întâmpinare, în epocă, a "Subiectului banal" l-a îndemnat pe Ury Benador să rescrie, în alt roman, aceeași dramă din perspectiva eroinei ("Hilda", 1936), cu mai puțin succes, după G. Călinescu. Eugen Ionescu găsea totuși cartea "excepțională. Lucrul acesta îl putem spune liniștit și limpede."
(p. 24, "Ury Benador")
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