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Livre dans lequel je n'ai jamais réussi à entrer.
Je connais de nom la série mais n'est jamais vu un seul épisode.
Numéro Six décide de se retirer à la campagne du côté du Pays de Galles. Arrivé au village rien ne correspond à une quelconque réalité ou semblant de normalité. Il tente de s'en échapper mais des sphères le prennent en charge pour l'en empêcher.
Trop complexe pour moi, il ne faut forcément se fier à ce que l'on lit pour découvrir la vérité et les dialogues sont à tiroir ou à contre-sens.
Abandonné à la moitié je ne pense pas réitérer plus tard.
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Ce roman est une novélisation de la célèbre série télévisée "Le prisonnier" créée, interprétée et en partie écrite par l'acteur Patrick MacGoohan.
Plus qu'un travail de commande, c'est la rencontre entre un prestigieux écrivain de science-fiction et une série mythique originale qui échappe à tout genre.
Thomas Disch signe une magistrale adaptation.
Vingt chapitres, tous pourvus d'un titre, racontent les aventures du numéro 6, un as des services secrets, retenu prisonnier dans une étrange et artificielle petite station balnéaire.
Alors qu'il faisait ses valises, après avoir brusquement démissionné, un gaz se répandant dans la chambre de son appartement londonien, il a sombré dans l'inconscience.
A son réveil, tout ne semble qu'illusion et jeux de miroir.
Quand l'individu devient la proie des techniciens du rêve, existe-t-il encore une réalité ?
Ce livre n'est pas une anodine adaptation de scénario, c'est un véritable roman écrit dans un style soigné et très littéraire. le texte s'appuie, parfois un peu lourdement, sur des citations de Kafka et de Borges.
Une place importante est donnée aux dialogues tous teintés d'une touche "so british" et une froideur affectée dans le ton apporte le détachement calculé et une certaine objectivité qui transparait dans la série.
Comment numéro 6 peut-il faire confiance à qui que ce soit ?
Comment peut-il se fier à sa mémoire quand la mystérieuse entité se cachant derrière le village truque le réel et va même jusqu'à lui greffer de faux souvenirs pour savoir pourquoi il a brusquement démissionné de son poste ?
Au final, cette magnifique adaptation est un roman passionnant, inattendu, original et indispensable.
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Statut : Abandonné

Le roman « Génocides » m'avait bien hanté après ma lecture, preuve de la qualité de l'auteur. J'ai depuis cherché à continuer ma route avec Thomas Disch. « Le prisonnier » m'a semblé être une lecture incontournable. Ce court texte a donné naissance à la série télévisée culte des années ‘60, dont je n'ai jamais vu une seule seconde.

Je me suis arrêté en plein milieu du livre, au début de la troisième partie. Je n'ai jamais réussi à rentré dans l'histoire, ni à comprendre quoi que ce soit, tans le texte est étrange. Pourtant ce très court roman dispose de très grandes qualités, à commencer par son écriture. C'est fluide et surtout, c'est riche, même trop riche. Certains mots sont absents du dictionnaire de mon cerveau comme “goitreux” (goitre : cou proéminent ou sorte de kyste énorme, je vous déconseille de faire des recherches d'images) et bien d'autres mots dont je n'ai pas noté la page pour en faire mention ici. Les échanges verbaux entre n°2 et n°6 sont excellents. J'ai adoré le cadre. J'imagine très bien ce village britannique au coeur d'une campagne verdoyante et fleurissante en été.

Le roman est dans son jus. En soi, cela ne me dérange pas, je trouve que ça lui donne du charme. Les technologies sont d'époque. Difficile de nos jours d'imaginer que les communications téléphoniques devaient se faire par l'intermédiaire d'une opératrice qui jouaient avec des fiches.
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Retour en 1969 (1977 pour la traduction française) avec le roman qui préfigure la série culte du même nom.
On y retrouve globalement l'ambiance de la série, certaines phrases mémorables (je ne suis pas un numéro, je suis un homme libre), et le phrasé so british.
L'histoire de numéro 6, ou une critique du totalitarisme et une défense de la liberté individuelle.
Malheureusement pour moi le roman a pas mal vieilli, et (même si les thèmes abordés sont toujours d'actualité), le style parfois psychédélique propre à l'époque (et à la série) m'ont vite fatigué. Au point de gâcher ma lecture d'une histoire pourtant passionnante.
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Après la série, le roman ou...inversement ? on nage en pleine manipulation mentale ou est le rêve ? ou est la réalité? ...à méditer
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Je voulais "revoir" ce feuilleton et je n'ai pas été déçu. Je trouve surtout que la fin est plus claire que dans la série télévisée originale mais cela se lit vite presque trop vite.
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