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Citations sur Le cas Jack Spark, tome 1 : Été mutant (13)

Je dois dire que je ne connais rien au monde de plus stressant qu'un réveil. Simplement, si la plupart des gents ont peur de se réveiller trop tard, ma hantise à moi est de réveiller trop tôt.
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On n’est pas obligé de comprendre l’autre pour l’accepter : l’amitié ne part pas de la raison, elle part du cœur.
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Et les fées des contes? On rabâche aux enfants que les fées sont gentilles et dévouées. [...]
- Propagande! [...] Ces balivernes ne sont que propagande et désinformation, une mascarade organisée par les Fés eux-mêmes et colportée par les conteurs de tous les pays. Leur stratégie a toujours été d'avancer masqués, sous le vernis de la religion à l'époque païenne, puis sous celui de la légende après l'avénement du Dieu vivant.

Chapitre 22, page 291
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A présent, je ne peux plus le nier. Mon corps change. Je change. Je me transforme. En quoi? En quelle sorte de monstre? Une créature qui aspîre l'énergie de ceux qui l'entourent; un prédateur dont tous les sens sont affûtés pour la chasse; un phénomène de foire capable de tordre des barres de fer, avec autant d'aisance que Monsieur Muscle des cirques itinérants.

Chapitre 8, page 111
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Ma dernière vision, avant de quitter la salle emmené par Buffalo, est une vision d'horreur. Au moment où la Fée dépose un baiser de ses lèvres glossées sur la joue de Ross, je vois celle-ci se creuser tels les berlingots de lait concentré que me donnait Mum pour mon goûter quand j'étais petit, et que je m'amusais à aspirer sans reprendre mon souffle.
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"Je dois dire que je ne connais rien au monde de plus stressant qu'un réveil. Simplement, si la plupart des gens ont peur de se réveiller trop tard, ma hantise à moi est de me réveiller trop tôt."
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"Voyons, voyons, voyons, grommelle-t-elle d'une voix chevrotante. Qu'est-ce qui s'est passé encore? Vous deux, là, emmenez-moi ce pauvre gars à l'infirmerie."
Les deux pensionnaires qu'elle a hélés se précipitent aussitôt sur Doug, le saisissent chacun sous une aisselle et le traînent jusqu'au manoir, tel un boxer K.O. hors du ring.
"Bill, ce que vous avez fait est totalement inacceptable!..." gronde le petite vieille en agitant son doigt crochu sous le nez de Buffalo.
Enfin un peu de bon sens! Je respire : ce tortionnaire va être dénoncé et traduit en justice, il en prendra au moins pour cinq ans!
"... vous savez bien que le docteur Krampus nous a dit de limiter les frais d'infirmerie, pas comme l'hiver dernier où vous avez démoli la moitié de la colonie. Il faut que cette affaire demeure rentable, que diable!
-Mais... bredouille Buffalo. Ce jeune homme avait besoin d'une correction...
-Eh bien la prochaine fois, trouvez une punition moins coûteuse! Je ne sais pas, moi : attachez-les au radiateur, privez-les d'eau et de nourriture, obligez-les à écouter l'intégralité de votre collection de musique country. Faites preuve d'imagination : c'est vous le surveillant général, pas moi!
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Comment leur expliquer les journées entières à se trainer dans les couloirs du collège, à se concentrer tellement fort pour ne pas fermer les paupières qu’on oublie tout le reste, les profs, leurs exposés et leurs questions ?
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On est pas obligé de comprendre l’autre pour l’accepter : L’amitié ne part pas de la raison, elle part du cœur.
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J’ai peur de la journée qu’il faut affronter, celle qui vient et aussi toutes les autres qui suivront. J’ai peur de l’avenir. J’ai peur de l’avenir et je n’ai que quinze ans !
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