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Critiques filtrées sur 5 étoiles  
Sherlock Holmes n'est plus, il a disparu lors de sa confrontation avec Moriarty. Les quatre de Backer street s'interroge sur leur avenir de franc tireur.. mais la peine les pousse à se disputer et la séparation est inévitable.

Un épisode très dense et très fort en sensation. L'amitié se brise face au chagrin et les amis repartent chacun de leur côté. on en apprend plus sur eux, sur leur force de caractère et voir sur leur passé, mais également sur la vie de l'époque.
Malgré out le suspens est là puisque un homme cherche a se venger de la fine équipe et il les mettra en danger comme jamais.

Je suis toujours épatée par le talent des scénaristes à se renouveller et a réussir a monter les tome un par un en intensité.. celui-ci ne fait pas exception.
C'est franchement un régal de lire cette BD... que je conseille à tous
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Les orphelins de Londres porte bien son nom. Sherlock Holmes vient de déchoir à Reichenbach et les quatre de Baker street traversent – chacun de son côté – des épreuves douloureuses. Les allusions posées dans le rossignol de Stepney donnent ici des fruits intéressants. Ce quatrième album est radicalement différent des trois précédents.

L'ambiance n'est cette fois-ci plus à la légèreté : l'East End est exposé dans un quotidien qui nous était jusque-là épargné. Et pour ne rien arranger, un personnage particulièrement sanguinaire, rencontré il y a peu, vient mettre en oeuvre une vengeance qui rajoute encore à la noirceur ambiante.

Malgré ce contexte qui est perceptible dans chaque planche, les pages se tournent avec grand plaisir. Les dessins illustrent des situations qui ne sont pas gaies : le monde de la rue, une Workhouse, des cambriolages… La douleur, le désespoir, la colère se lisent sur les visages de nos jeunes héros : il en émane une force qui nous interpelle et nous interdit de lâcher cette bande dessinée. Assurément c'est du grand art.

Voici une histoire qui s'adresse davantage à un public adulte. le cap avait déjà annoncé et semble ici durable. La disparition du grand détective peut interroger sur l'avenir des quatre. Des pistes sont pourtant laissées pour un avenir qui ne cesse d'offrir des promesses. Si elles restent timides, elles suscitent une grande curiosité qui se traduit par de l'impatience… Vous voilà prévenu(e) !
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Vérole ! Holmes est mort dans les chutes du Reichenbach, laissant les Quatre de Baker Street orphelins. Plus de mentor, plus de raison de rester ensemble... les quatre se séparent et se retrouvent confrontés à des situations infernales. Et comme si ça ne suffisait pas, un ancien ennemi refait surface.

Ce quatrième tome est splendide. L'histoire est d'une grande richesse : il y a beaucoup d'émotion, des rebondissements et on apprend énormément de choses sur les moeurs de l'époque.

Et les dessins de David Etien sont toujours aussi beaux, remplis de détails et hyper soignés.

Décidément, cette BD est une réussite !
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La nouvelle est tombée, une catastrophe pour Billy: Sherlock Holmes est mort !! Pour Charlie et Black Tom ce n'est pas la fin, il faut avancer et surtout trouver un autre moyen de subsistance. Ils se disputent et se séparent. Black Tom retourne à Kilburn dans sa famille irlandaise composée de ses cousins voleurs avec qui il fera de plus gros coup jusqu'à échapper de justesse à la police et le reste de la famille coffrée.
Charlie se retrouve enfermée dans une institution pour jeune fille tenue d'une main de fer par une femme qui n'a aucun scrupule à laisser une enfant malade sans soins et mourir. Charlie réussit à s'échapper. Billy quant à lui se retrouve face à Bloody Percy ...

Encore un tome où l'action ne manque pas, ces jeunes débrouillards n'en perdent pas une, en fin limier qu'ils sont aucun danger ne peut les arrêter. Une BD qui peut facilement plaire aux plus jeunes, des enquêtes dignes des meilleurs détectives, des cascades qui plairaient à tous les casse-cous ... des aventures qui régalent.
J'aime énormément cette série et ma bibliothécaire en est aussi très fan ;)
Lien : http://stemilou.over-blog.co..
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Les trois premiers tomes étaient montés en puissance de manière crescendo, le suivant étant encore mieux que le précédent, l'apothéose étant le numéro trois au point de vue de son scénario.

Pouvaient-ils faire aussi bien que le troisième ? Ou, du moins, ne pas sombrer, comme d'autres avant eux, dans la médiocrité ?

J'avoue que je les attendais au tournant... Ils ne m'ont pas déçus. le tome 4 tient la route et je me suis régalée.

Pourtant, j'avais eu de la crainte en lisant le résumé qui abordait un hiatus célèbre...

Et oui, Sherlock Holmes n'est plus ! Il a disparu lors d'une ultime confrontation avec le diabolique professeur Moriarty et les journaux annoncent que le célèbre détective aurait trouvé la mort dans les Chutes de Reichenbach…

Nos trois francs-tireurs de Baker Street sont en plein désarroi : leur pygmalion, Sherlock Holmes, est mort. le plus atteint est Billy Fletcher qui considérait le détective un peu comme un père de substitution.

Ce drame crée des tensions entre eux, au point qu'ils se séparent après une bagarre.

Catastrophe, le trio vole en éclats : Billy, Black Tom et Charlie (accompagnée de son fidèle matou) vont suivre chacun un chemin séparé qui va les mener très vite dans de terribles ennuis.

Le salopard de Bloody Percy, incarcéré, va jouer les filles de l'air, bien décidé à retrouver ces maudits gamins qui l'ont fait arrêter...

Et nos trois compères qui se sont séparés ! Suspense...

Les deux scénaristes ont eu mille fois raison de farfouiller dans les nombreux flous littéraires qui parsèment l'oeuvre de Conan Doyle.

Tout en reprenant la référence canonique des Francs-Tireurs de Baker Street et en changeant les noms des personnages, ils nous en ont inventé trois bien sympathiques et ils ont l'art de nous conter les aventures de ces gamins aussi débrouillards qu'attachants.

Nous avions déjà suivi avec eux, dans les tomes précédents, un enlèvement, une série de meurtres et une mission d'infiltration. Pas mal pour des gamins des rues.

Ici, nos trois détectives en herbe sont confrontés à la dure réalité de la vie.

Bon, déjà que l'époque victorienne n'est pas tendre avec les enfants... et les auteurs vont nous en faire découvrir un autre pan avec les larcins qu'il faut commettre pour vivre, la haine viscérale entre Anglais et Irlandais, les "pensionnats" pour jeunes filles, où elles sont exploitées et moins bien considérées que du crottin de cheval écrasé dans la rue.

En tout cas, je tire mon chapeau au dessinateur qui nous retranscrit, d'une manière formidable, l'époque.

Le trait du dessin est toujours aussi pointilleux et les planches de l'album sont, une fois de plus, superbes. Pas de surcharge, un trait clair et de belles couleurs. Des décors aux personnages, rien n'est laissé au hasard.

Quand au scénar, c'est une véritable réussite et je ne me suis pas ennuyée une seule minute.

Il y a du rythme, il est soutenu, l'humour est toujours présent et le fait de suivre les trois - pardon - les quatre parcours de nos amis est un régal. Même le chat Watson a ses cases rien que pour lui.

Avec Percy sur les traces de Billy, Charlie dans son pensionnat, plus les flics sur les talons du "satané noiraud d'Irlandais", pas moyen de s'embêter.

Comment vont-ils s'en sortir ? Les trois amis se remettront-ils ensemble ? Non, pas de spoiler, je resterai muette.

Lisez-le, vous le saurez. Et pas besoin d'être une aficionado du détective de Baker Street pour lire ces bédés. Elles sont pour tout le monde.


Lien : https://thecanniballecteur.w..
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Ça fait un moment que je voulais lire ce quatrième tome, mais le temps m'a manqué. Je me suis bloquée une petite demi-heure pour le lire et je regrette presque de ne pas l'avoir fait plus tôt.

Ça commence fort : les francs-tireurs de Baker Street apprennent dans la presse que Sherlock Holmes est mort à Reichenbach. Ils sont malheureux et le chagrin les rend méchants : ils se disputent et se disent des horreurs.
Le groupe explose :
– Tom retourne vivre chez ses cousins et reprend les cambriolages.
– Charlie est embarquée par la police et finit à l'orphelinat.
– Watson est livré à lui-même.
– Billy erre dans les rues jusqu'à ce qu'il tombe sur Bloody Percy. Ce dernier s'est évadé de prison et veut se venger du docteur Watson ainsi que du trio.

Je ne vois pas trop ce que je vais pouvoir rajouter. Il ne se passe finalement pas grand-chose, mais l'intrigue est prenante. Je l'ai lu d'une traite, j'avais tellement envie de savoir ce qu'allaient advenir nos quatre héros. Il est évident qu'à la fin, le groupe se reconstitue et tout l'intérêt est le chemin qu'ils parcourent pour se retrouver.

Les dessins sont tout aussi chouettes que dans les premiers. Les décors sont superbes, mais il me semble que c'était aussi le cas précédemment. Les couleurs s'harmonisent et dans certaines planches, les jeux de lumières ressortent bien.
C'est un coup de coeur pour ce quatrième tome.
Lien : https://psylook.kimengumi.fr..
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Un album un peu plus sombre que les précédents et qui s'ouvre sur une bien triste nouvelle : la mort subite de Sherlock Holmes ! Ce décès va déclencher l'éclatement du groupe des Quatre de Baker street, ces trois enfants plus un chat, qui vivaient d'expédients et rendaient parfois service au grand détective dans ses enquêtes. Tom retourne chez son oncle, un voleur de bas étage qui est ravi de voir revenir un monte-en-l'air qui lui permettra d'accéder à de nouvelles richesses. Charlotte, alias Charlie est attrapée et envoyée en maison de redressement où elle devient blanchisseuse corvéable à merci sous le regard de la cruelle surveillante. Quant à Billy, il reste aux aguets et est le premier à découvrir que le terrible et sanguinaire Bloody Percy s'est échappé de prison et est à leurs trousses.
N'oublions pas le chat Watson qui, livré à lui-même, doit se bagarrer avec les autres chats de Londres pour survivre.
Dans cet épisode les Quatre sont donc séparés mais l'histoire reste parfaitement fluide et très agréable à lire. On attend avec impatience la fin pour savoir s'ils vont se retrouver et si Bloody Percy aura ce qu'il mérite.
Un tout petit bémol à cause de deux ou trois dessins qui sont complètement ratés comme par exemple la cousine de Tom qui a une grosse tête sur un petit corps disproportionné ou certaines postures des personnages dans les scènes d'actions, des mouvements impossibles qui les font ressembler à des pantins désarticulés. D'autant plus surprenant que d'habitude les graphismes sont très réussis...
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Ce qui m'a de suite attirée, c'est le titre, car forcément, on pense à Sherlock Holmes. Et même si ce dernier est relativement peu présent, j'ai beaucoup adoré lire les aventures de la « police auxiliaire, les francs-tireurs de Baker Street » (Sherlock Holmes). le résumé évoque seulement les événements du premier tome, mais je crois que tout est dit, nos apprentis policiers se lancent dans les rues de l'East End de Londres pour résoudre des intrigues aussi dangereuses que palpitantes.

Au cours des quatre premiers opus, nous faisons plus ample connaissance avec Black Tome, Charlie et Billy, trois enfants résolument soudés pour survivre dans cet endroit épouvantable : la rue. Leur soutien financier se nomme Sherlock Holmes qui leur confie des missions de surveillance, mais quand celui-ci ne peut leur prêter assistance, ces enfants se lancent eux-mêmes dans la course. Grâce aux précieux conseils de leur mentor, ils vont tenter de résoudre des affaires où se mêlent argent, politique, corruption et romance. J'ai trouvé que chaque tome allait en s'améliorant dans la conduite des énigmes, leurs péripéties et dans les dénouements. Les intrigues restent toutefois maîtrisées et fascinantes à suivre, j'ai enchaîné les quatre tomes avec plaisir.

L'univers est bien présenté, dès les premières pages, j'ai pu me plonger dans une ambiance très typée londonienne à l'époque victorienne. le côté historique, architectural, les moeurs, tout est marqué afin de créer une immersion totale. Si l'univers est aussi proche du réel, c'est en grande partie grâce aux dessins et à leurs colorisations. Les teintes employées sont douces et donnent un caractère très réaliste à l'ensemble ; quant aux lignes, elles sont fluides et jolies. le character design permet de reconnaître chaque personnage facilement, les décors sont très agréables à regarder, j'adore le design des maisons victoriennes, il existe un important travail dans le soin accordé au traitement des objets, des lieux, des vêtements aussi...

Le texte est de bonne qualité, j'ai adoré les répliques et la progression de l'enquête grâce aux dialogues. Dans un premier temps, le texte nous aide à la compréhension de l'intrigue, des problèmes à résoudre, des relations entre les différents protagonistes. Dans un second temps, il est utile pour appréhender les personnalités des personnages, on rit, on cherche, c'est un très bon texte. D'autant plus que le vocabulaire et les expressions sont typiques du 19e siècle, c'est incroyable de voir les mots précisément employés par les bas quartiers de Londres, s'opposant ainsi au langage plus sophistiqué des beaux quartiers.

Pour terminer cette chronique, j'évoquerais les personnages, ils sont utiles dans l'histoire et ils sont attachants, pour certains. Dans une enquête, il y a également les « vilains » et ces derniers sont variés et recherchés, ils présentent toute la bassesse humaine, sa corruption, ses mauvaises ambitions. Nos héros sont très adorables, ils ont une personnalité bien définie et surtout, j'ai beaucoup aimé leur individualité : ils ont une histoire, un passé, des soucis personnels que l'on apprend à connaître au fil des tomes. J'ai une préférence pour Charlie, mais je ne vous expliquerais pas pourquoi, c'est un personnage fort et mémorable. Billy arrive juste derrière, avec Watson. Tous les deux sont très intéressants à suivre et je les adore. Sherlock est peu présent, mais il est fidèle à l'image que je m'en faisais, je ne suis pas déçue et il est très sympathique.

En somme, c'est une très bonne bande dessinée, elle gagne en maturité et en complexité tome après tome. L'ambiance n'est pas forcément rose, ces héros sont à la rue, dans les quartiers les plus dangereux de Londres, mais leur solide amitié demeure touchante et formidable. Leurs aventures sont riches en réflexion et en action, je ne me suis jamais ennuyée, on rit autant que l'on frémit d'impatience à l'idée de connaître le dénouement. Il existe un fil rouge très important, Moriarty et j'ai très envie de lire le dernier opus pour savoir comment toute cette affaire va se terminer. C'est bien écrit, c'est très agréable à voir, c'est captivant, sincèrement, c'est une excellente découverte.
Lien : http://la-citadelle-des-livr..
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Sherlock est mort ! L'infâme Moriarty a eu raison de lui, même s'il y a aussi laissé la vie. le petit groupe apprend la nouvelle dans les journaux comme tout le monde. Sans leur patron, Black Tom décide de retourner dans sa famille, le groupe éclate. Charly se retrouve dans une institution pour jeunes filles après un larcin manqué, le chat Watson à la rue et Billy poursuivis par Bloody Percy qui a réussi à s'échapper de prison.
Un tome très sombre et assez triste avec la dissolution du groupe. Mais les enfants sont débrouillards et vont réussir à surmonter les épreuves que le destin met sur leur chemin. Et avec l'aide du Dr Watson, toujours bienveillant, le sort tournera en leur faveur.
Un très bon tome qui permet encore une fois de découvrir la dure vie dans Londres à cette époque et qui remontre que la loi du plus fort… échoue face à la loi du groupe.
J'ai adoré ce tome, très émouvant et plein d'action.
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Pour ceux qui connaissent déjà cette passionnante série, vous retrouverez avec un plaisir assuré ces personnages attachants que sont les francs-tireurs de Baker Street.
Pour les autres, je ne peux que vous conseiller de lire les trois précédentes aventures de ces gamins des rues.
Nous sommes à Londres en 1891. L'épisode commence par l'annonce terrible de la mort de Sherlock Holmes. Sous le coup de cette nouvelle, les trois enfants (Billy le fin limier, Black Tom le monte-en-l'air et Charlie le garçon manqué) se disputent et se séparent. Seuls, livrés à eux-mêmes dans l'univers impitoyable qu'est Londres, à cette époque, pour les sans-abris, avec la menace que représente l'évasion de prison d'un personnage qu'ils avaient réussi à faire enfermer avec l'aide de Sherlock Holmes, ils vont vite se retrouver chacun dans de graves ennuis.
Et c'est, à n'en pas douter, l'aventure la plus sombre des quatre parues, même si le dessin reste toujours aussi réaliste et lumineux que dans les précédents tomes.
Une véritable réussite !
A lire dès 10 ans !

Lien : http://www.reseau-colibris.fr
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