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4,08

sur 2075 notes

Critiques filtrées sur 4 étoiles  
Marie-Laure Leblanc et Werner Pfennig ne se connaissent pas. L'un est un jeune allemand ayant grandi avec sa soeur dans un orphelinat jusqu'à être remarqué par la Wehrmacht pour ses talents de mécanicien et d'électricien, tandis que l'autre est une jeune française aveugle, vivant seule avec son père, conservateur au musée d'histoire naturelle de Paris. Pourtant leurs routes vont se croiser dans le Saint-Malo bombardé de l'année 1944…

De flashback en flashback, on va progressivement découvrir quelle a été la vie des deux adolescents et ce qui les a conduit dans la cité malouine, si éloignée de chez eux… Mais derrière la volonté de fuir la guerre ou de prouver sa valeur à travers des actes de résistance, se cache une quête bien plus grande, qui dépasse l'entendement des deux enfants et qui consiste à soustraire aux allemands un diamant d'une valeur inestimable…


Entre récit d'apprentissage, récit de guerre et roman d'aventures, « Toute la lumière que nous ne pouvons voir » se révèle être une histoire foisonnante et passionnante, comme pouvait l'être « Au revoir là-haut » de Pierre Lemaître, prix Goncourt en 2013 ! Si j'associe les deux, c'est tout simplement parce qu'ils m'ont procurée le même plaisir de lecture, le même attachement pour leurs personnages, le même intérêt pour leur intrigue et la même frustration à chaque fois qu'il m'a fallu interrompre ma lecture !

Anthony Doerr nous livre une fresque captivante et parfaitement rythmée sur la base de chapitres alternés, donnant tour à tour le premier rôle à Marie-Laure puis à Werner. Les deux enfants, que l'on voit évoluer et grandir dans des univers complètement différents, se révèlent être des personnages attachants et lumineux qui, malgré un contexte difficile, font preuve d'une humanité et d'une bonté des plus touchantes. le sujet quant à lui, bien que traité de manière très romanesque, s'avère, grâce à ses descriptions riches et précises, particulièrement intéressant et instructif et parvient à nous passionner pour cet épisode de l'histoire de Saint-Malo. L'écriture par ailleurs est fluide et agréable, faisant du roman un « page turner » pour le moins efficace !

Couronné du prestigieux prix Pulitzer, « Toute la lumière que nous ne pouvons voir » est donc un excellent roman, idéal pour ceux qui recherchent une lecture plaisante, prenante et intéressante ! Une très jolie découverte pour ma part !
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Pendant la seconde guerre mondiale, deux destins que tout oppose, celui de Marie-Laure, jeune aveugle réfugiée chez son oncle à Saint-Malo, et celui de Werner, orphelin recruté par la Wehrmacht pour son génie des transmissions électromagnétiques, finissent par se croiser sous les bombes de la Libération qui pilonnent la cité malouine.


Vaste fresque épique et foisonnante, cette histoire très romanesque centrée sur deux adolescents est un récit d'aventures et d'apprentissage sur fond de guerre. Alternant entre le Paris de l'Occupation qui tente de sauver ses trésors, comme ceux du Museum d'Histoire Naturelle où travaille le père de Marie-laure, et une Allemagne jetée dans une folie meurtrière et dévastatrice qui n'épargne pas sa population, embrigadée, exploitée et terrorisée, la narration converge vers la cité corsaire de Saint-Malo, dans un décor magique de pierre et de mer bientôt voué à l'enfer du feu et de la destruction lors des bombardements de la Libération.


Dans ce maelström, Marie-Laure et Werner sont deux galets roulés et usés par la tempête, tous deux emportés malgré eux dans une vague qui leur dérobe leur innocence. Les confrontant au pire et à ce qui devrait les dresser l'un contre l'autre, elle finit par les pousser aux choix les plus essentiels, ceux qui préserveront leur humanité, et, à travers elle, l'avenir du monde. Un curieux mélange de poésie et de réalisme imprègne les pages de ce roman aux multiples niveaux de lecture. Derrière la restitution historique pleine d'exactitude et de discernement, où les populations, y compris allemandes, se retrouvent toutes victimes du conflit qu'elles subissent, se dessine une fable symbolique, porteuse d'espoir et de réconciliation, comme celle qui unira les descendants respectifs des familles de Werner et de Marie-Laure.


S'accrochant coûte que coûte aux beautés d'un monde qu'on croirait pourtant devenu fou, l'auteur s'émerveille de curiosités autant naturelles que scientifiques : oiseaux, diamant fabuleux, ingénieuses maquettes de villes pleines de compartiments secrets, magiques transmissions radio… Habité par Jules Verne dont les Vingt mille lieux sous les mers jalonnent le récit, ce roman historique teinté de poésie fabuleuse, où la lumière refuse de céder le pas à l'ombre, m'a aussi parfois évoqué Marina de Carlos Ruiz Zafon. C'est d'ailleurs avec le même étrange envoûtement que l'on parcourt chez l'un la cité de Saint-Malo, et chez l'autre la ville de Barcelone.


Aucun temps mort ne vient rompre le rythme de cet épais roman qui se dévore avec le plus grand plaisir. Entre Histoire, aventure et fable, il emporte le lecteur dans une intrigue originale, pleine d'intelligence et de sensibilité, dont le point d'orgue est sans aucun doute son extraordinaire évocation de la cité malouine et de sa libération en août 1944.

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L'enfance envolée.

Marie Laure est aveugle et fuit le Paris de l'Occupation pour se réfugier à Saint Malo avec son père dépositaire d'un étrange trésor de Musée parisien.
Werner, orphelin sans avenir, petit génie des maths et de la physique est enrôlé pour son talent de télégraphiste dans l'armée allemande, dérivant dans la furie nazie, pistant sans relâche par triangulation des ondes radio les poches de résistance.
Par une narration temporelle imbriquée, le fil rouge qui les relie nous conduit dans une cité corsaire de nuit, brouillard et fracas des armes, site hallucinant des bombardements alliés de 1944.

Livre historique, roman d'apprentissage et de perte de l'innocence, expérience poétique et sensorielle, ce livre apporte plusieurs niveaux de plaisirs littéraires. Les expériences croisées des deux jeunes enfants grandissant dans un monde de furie et de pertes personnelles nous sont relatées avec une intelligence de structure romanesque, une distanciation qui évite le pathos dans la dramaturgie. Il y a comme un filtre qui nous fait vivre ces années de guerre par procuration, par les yeux, les sentiments et l'extrême maturité de l'enfance envolée trop vite.

Cette mise en hauteur de l'occupation, pourtant très réelle, meurtrière et bruyante, est bien illustrée par la passionnante approche du monde impalpable des ondes radio, par la magie de la compréhension des choses par les sens, par l'écho des événements en parallèle avec un livre de Jules Verne. J'ai vécu le bombardement de Saint Malo par la perception de la cécité de Marie Laure, expérience effrayante.

De très beaux personnages, soigneusement construits, décalés, attachants, une toile de fond magnifique de remparts et de bord de mer martyrisés. Rythmé par des chapitres courts jamais pesants, une écriture aisée, c'est un roman un peu mystérieux, lyrique, musical, coloré, qui renouvelle le genre Seconde Guerre mondiale, par son originalité et sa sensibilité.
Et un coup de chapeau pour un écrivain américain qui, par son travail de documentation, a su si bien me faire vibrer à la lecture de la destruction d'une ville qui me ravie toujours autant.
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Anthony Doerr nous propose de suivre le destin croisé de deux adolescents, d'origines différentes et de milieux différents. L''un allemand, Werner, jeune orphelin élevé avec sa soeur dans un village de la Ruhr, enrôlé par les nazis pour son talent en radio et en transmissions.
L'autre, Marie-Laure, jeune française, fille d'un serrurier du Muséum d'Histoire Naturelle de Paris, gardien d'un diamant maléfique. Marie laure devient aveugle très jeune et trouve refuge à Saint Malo chez son vieil oncle Etienne.
Et ainsi l'on entre dans la peau de ces enfants bousculés dans un monde en guerre.
L'auteur nous emporte, dès les premiers chapitres. Happés par le destin et les hasards heureux ou malheureux ce jeune garçon et cette petite fille seront des « héros sans le savoir ». Mêlant à la fois poésie et lucidité, c'est un roman de vie, passionnant, profond, sensible avec une bonne dose de science et d'histoire parfaitement maitrisés.

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A plusieurs reprises j'ai abandonné Toute la lumière que nous ne pouvons voir pour d'autres lectures. Trop de descriptions, un texte trop fragmenté pour s'attacher aux personnages, bref, trop de mots et pas assez de concision ont failli avoir raison de ma volonté de poursuivre. Pourtant je ne regrette pas d'avoir persévéré. L'histoire de Marie-Laure Leblanc et Werner Pfennig en vaut la peine.

Pendant l'Exode, Marie-Laure, une jeune aveugle, quitte Paris pour Saint-Malo avec son père, serrurier au Muséum d'histoire naturelle. Quatre ans plus tard, quand la ville est bombardée par les Américains, sa route croise celle Werner Pfennig, un jeune Allemand surdoué des transmissions. C'est un instant de grâce dans un monde dévasté par la guerre.

Anthony Doerr évoque sans chronologie l'enfance et l'adolescence des deux jeunes gens, l'Exode, Paris, Saint-Malo, le front est, l'Occupation, la Libération, les bombardements, la Résistance, l'Allemagne nazie. Un diamant d'une taille et d'une beauté exceptionnelles constitue le fil conducteur de ce récit dédaléen qui s'est éclairé progressivement pour livrer son message ; il faut croire en l'homme, même quand les ténèbres submergent le monde, il existe une lumière que nous ne pouvons voir.
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Inutile d'ajouter quelque chose aux multiples commentaires: que dire?

Simplement, voici un beau récit historique rythmé tel un thriller, un riche travail documentaire!, un texte inattendu.

L'auteur, américain, parvient à nous passionner du Paris de l'occupation aux joies de la libération, en passant surtout par les remparts de Saint- Malo, battus par les vents dans la tourmente et les ténèbres de la guerre..

Une histoire passionnante se déroule: récit de vie, profond, sensible, récit de guerre, récit d'aventures et d'apprentissage, doublé d'une dose de science !
L'intrigue, foisonnante, est parfaitement maîtrisée à l'aide de courts chapitres bien calibrés, pour nos deux héros, Marie- Laure Leblanc, , une jeune aveugle réfugiée à Saint- Malo avec son père, serrurier en chef du Muséum d'Histoire Naturelle à Paris et Werner, orphelin, génie des maths, orfèvre dans les transmissions électromagnétiques dont les talents seront exploités par la Wehrmacht pour briser la Résistance !
On les voit évoluer et grandir dans des univers radicalement différents .
Se révèlent des personnalités attachantes, vraies, authentiques et lumineuses à l'aide de descriptions instructives, fort intéressantes.
L'écriture fluide , sensible, pétrie de tendresse n'est jamais pesante , même si j'ai préféré de beaucoup la deuxième partie du livre, très prenante .
Une oeuvre colorée, lyrique, musicale qui nous emporte à travers L'Histoire, et nous amène à réfléchir sur la communauté des destins et la condition humaine!
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C'est un beau roman dont la majeure partie se passe durant la seconde guerre mondiale dans la ville de Saint-Malo bombardée. Nous suivons parallèlement la vie d'une jeune aveugle française éduquée par son père et passionnée de coquillages et celle d'un orphelin allemand féru d'appareils radiophoniques.
L'auteur nous montre toute la dureté de la guerre, l'embrigadement du nazisme, la cruauté des hommes...
L'attente est longue pour les protagonistes aux milieu des décombres, le danger rôde en la personne d'un ennemi avide qui recherche un trésor à double tranchant, cette pierre précieuse qui à la fois protège et porte malheur à ceux qui la possèdent.
J'ai trouvé la fin du roman un peu abrupte mais j'ai beaucoup aimé le style "impressionniste", fait de petites phrases lumineuses.
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Toute la lumière que nous ne pouvons voir a reçu le prix Pulitzer en 2015. J'y ai trouvé en germe ce qui m'a fascinée dans La cité des nuages et des oiseaux, mais j'ai nettement préféré ce dernier.

Marie-Laure, douze ans, est aveugle. Elle vit avec son père, serrurier du Muséum national d'histoire naturelle. Il a construit une maquette de son quartier que Marie-Laure explore avec les doigts. Elle devient ensuite suffisamment autonome pour s'aventurer à l'extérieur.
Werner a perdu ses parents, son père est mort dans un accident de mine. La mine, son avenir. Sauf que Werner découvre comment réparer les radios, il est alors repéré par les nazis.
Lorsque la guerre arrive, Marie-Laure et son père se réfugient à Saint-Malo. Werner, après quelques années dans une école d'élite, est envoyé sur le front pour localiser les radios ennemies.
J'ai trouvé le roman long ; les flashbacks incessants qui concernent non seulement Marie-Laure et Werner, mais aussi un nazi à la recherche d'un diamant mythique rompent la fluidité de la lecture.

Lien : https://dequoilire.com/toute..
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Auréolé du prestigieux prix Pulitzer (et non Sulitzer), choix des libraires, des critiques élogieuses… Oulà, n'en jetez plus ! Vu les récompenses, ce roman pouvait faire pchiiittt ou m'emporter. C'est toujours ma crainte avant de commencer un tel livre.

La construction du récit est faite d'alternances entre les personnages de Marie-Laure Leblanc, française, et de Werner Pfening, jeune orphelin allemand. Deux jeunes enfants, deux destins différents, diamétralement.

L'auteur a aussi choisi de déconstruire son récit et de faire des bons dans le temps et l'espace, ce qui donne aussi une alternance entre ce qu'il se passe en août 44, à Saint-Malo (rangez votre maillot, il pleut des bombes) et des retours dans le passé, avec les années 30 et le début des années 40, expliquant le destin de ces deux jeunes, ainsi que ceux d'autres personnes.

La partie la plus haletante se déroulera à Saint-Malo, deux mois après le Débarquement. Cela ne sous-entend pas que les autres moments sont dénués d'intérêt, que du contraire, car l'auteur réussi à nous plonger, comme si nous y étions, dans ces années noires de montée du nazisme, des jeunes hitlériennes, de l'exode et de la vie dans une France occupée, avec tickets de rationnements et délations comprises.

Les personnages de Marie-Laure et de Werner sont lumineux, profonds, travaillés. Werner, comme dans la chanson de Cabrel, voulait vivre d'autres manières dans un autre milieu, notamment celui des radios. Il voulait trouver mieux que descendre dans la mine. Trouver mieux que la douce lumière du soir près du feu…

Il ne savait pas… Il pensait que son incorporation dans une école pour former de parfaits petits Allemands serait une chance… Il y a appris à fermer les yeux, à être lâche, à suivre la meute, à faire ce qu'on lui ordonnait de faire. Ne le jugeons pas trop vite, ni trop durement, nous-mêmes avons tendance à suivre des meutes sur les Rézo Sossio…

C'est un roman de guerre, oui, mais sans pour autant que le récit soit violent, remplis de tripes ou autre. L'auteur est resté assez sobre dans ses descriptions, que ce soit de l'antisémitisme en Allemagne, sur l'exode des Français, sur les camps de prisonniers… le récit reste soft (malgré un passage plus violent avec un pauvre prisonnier dans le cadre de l'endoctrinement des jeunes nazillons).

Quant à sa plume, sans être exceptionnelle, elle est très agréable à lire. Une fois la première phrase entrée dans mon cerveau, mes yeux ont couru tous seuls sur les pages et j'en avais dévoré 200 sans même m'en rendre compte. Les chapitres sont courts, cela donne du rythme au récit.

Mon seul bémol ira au fait que la rencontre entre Marie-Laure et Werner ait été trop brève, bien trop rapide. J'aurais aimé qu'ils fassent plus qu'un bout de chemin ensemble, j'aurais aimé un autre destin pour ce gamin aux cheveux blancs, enrôlé dans une machine de guerre. Ah, s'il avait écouté Jutta, sa petite soeur…

C'est un beau roman, c'est une belle histoire, c'est flamboyant, c'est beau, doux et violent par moment (c'est la guerre tout de même). Il est facile, de nos jours, de juger les actes de celles et ceux qui était présents dans ces moments sombres, mais à leur place, qu'aurions-nous fait (mon éternelle question) ?

Il est agréable de rire aux dépens des Allemands, de jouer des petits tours, mais lorsque les punitions arrivent, sous forme d'assassinats ou de tortures, là, plus personne ne rigole. Aurions-nous eu le cran de résister ? de risquer notre vie sans savoir si ce que nous faisions servait à quelque chose ? Je me le demande, encore et toujours…

Anybref, ce roman a été une belle découverte pour moi. Sans posséder un rythme trépident ou de l'action à gogo, il a su me charmer de par sa lenteur, de par ses deux personnages d'enfants que tout sépare, de par sa thématique et ces alternances entre les deux personnages et le temps.

Lien : https://thecanniballecteur.w..
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Des regards d'enfants sur la Seconde Guerre mondiale, un roman de plus sur cette période troublée du vingtième siècle.

Il s'agit d'un récit discontinu, avec des sections alternant les années et de courts chapitres où on retrouve tantôt l'histoire d'un jeune Allemand orphelin, tantôt celle d'une jeune Française devenue aveugle qui vit avec son père. En Allemagne, c'est l'école d'élite pour les jeunes nazis que Werner peut suivre grâce à ses talents en électronique et en France, c'est Paris occupée, puis la fuite vers Saint-Malo et le bombardement de la ville.

En plus des héros, on retrouve une pléthore de personnages secondaires, par exemple : le serrurier, brillant artisan qui construit pour sa fille des maquettes de la ville afin qu'elle puisse apprendre à s'y retrouver malgré la cécité, les savants du Muséum d'histoire naturelle, l'infatigable Frau Elena qui s'occupe des orphelins et leur donne confiance en la vie, le courageux Frederick qui refuse de contribuer à la torture ou celui d'une petite fille qui ne croit pas à la propagande, la bonne madame Manec qui prend soin de Marie-Laure et fait sa part pour la résistance avec l'oncle Étienne, un vétéran éprouvé par l'autre Grande Guerre.

Même si toutes les aventures ne sont pas toujours tout à fait crédibles, on se laisse facilement emporter, on craint pour les enfants dans l'adversité et on se réjouit des bons moments. Les sections finales de 1974 et 2014 ne m'ont cependant pas séduite et c'est bien dommage, car la chute est importante pour l'appréciation globale du roman.

Au final, c'est une brique de plus de 600 pages qui coulent facilement malgré le sujet peu réjouissant.
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