AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
EAN : 9781718115828
227 pages
Auto édition (11/08/2018)
3.42/5   43 notes
Résumé :
"Il n’y a rien devant. La forêt et les collines, loin loin loin, et c’est tout. Ils ont laissé la voie ferrée derrière eux et sont partis vers la gauche, dans les plaines. Ils suivent les courbes molles du relief au milieu de rien. Pas de chemin ou de route, quelques arbres tordus, des ordures éparses, et de la terre aux herbes sombres pleine de pierres creuses qui craquent sous leurs semelles.Une heure passe. Ou Deux.La lune dans sa phase descendante éclaire le déc... >Voir plus
Que lire après Voir plus
Critiques, Analyses et Avis (29) Voir plus Ajouter une critique
3,42

sur 43 notes
5
6 avis
4
7 avis
3
7 avis
2
4 avis
1
2 avis
Comme tous les jours, Francis prend le métro pour se rendre à son travail. Comme tous les jours, il sait déjà comment sa journée va se dérouler : boulot, métro, dodo...
Alors, quand sa rame de métro s'arrête au milieu du tunnel, Francis au lieu de faire comme tous les jours et d'attendre que tout se remette en place... il décide de descendre de sa rame et de remonter le tunnel. Une marche de quelques minutes qui deviennent des heures....


🐴 HÜ est une sorte d'Alice aux pays des merveilles sans les couleurs bonbon, l'ambiance déjantée et drôlissime. Ici, l'auteur nous offre un univers aux antipodes avec des couleurs sinistres, des personnages étranges et dangereux. Dans ce roman, notre personnage, Francis, être débonnaire et effacé se retrouve dans un monde dangereux où les règles ne sont plus de mises. Entre Oscar, un gamin de quelques années maniant le couteau et aimant tuer ; Sasha, le "prêtre" appréciant les animaux et ayant des pulsions sexuelles dérangeantes ; une Reine pyromane et procréatrice ; Artémius poète et philosophe et, Pénélope, une jeune femme belle, mais spéciale.


David Dolo nous offre dans ce roman une métaphore poussée à l'extrême de l'Homme en général. Francis incarne l'homme lambda, se soumettant et se satisfaisant de sa vie. Son arrivée dans cet univers qualifié de "Poubelle du monde" et le masque de cheval dont Oscar l'a affublé permettent de transposer cette personnalité soumise à sa version animale. Petit à petit, ses désirs les plus cachés comme la liberté, courir, faire ce que bon lui semble vont se révéler au travers de l'attitude équine qu'il va sentir monter en lui.🐴


Le roman dans son ensemble est bon, avec de bonnes idées, mais cette plongée dans un autre univers manque de panache. de nombreuses maladresses sont présentes, le roman par moment manque de dynamisme. Par contre, le côté absurde et décalé est vraiment sympathique.
Personnellement, ce n'est pas trop mon genre de littérature, mais j'ai apprécié ce moment de lecture.


Je remercie David Dolo pour cette découverte ainsi que Masse Critique de Babelio. Comme toujours, des lectures inattendues qui permettent d'ouvrir les yeux sur d'autres univers.🐎
Commenter  J’apprécie          1030
Je suis assez embêtée.

Reçu dans le cadre d'une masse critique, je dois remplir ma part du marché et donc faire un retour sur cette lecture, chose que je n'aurais pas fait habituellement, car Hü est un roman, qui de par son intrigue assez abstraite, ne m'a pas parlé et je suis malheureusement restée totalement extérieur à cette histoire. En même temps, il ne faut pas m'en vouloir, avec une intrigue aussi singulière, difficile de parler à tout le monde.

J'ai même de grandes difficultés à résumer cette histoire. On y découvre un héros assez lambda, transparent et a la vie professionnelle et personnelle assez fade. Un jour, il se lance un défi personnel, histoire de mettre un peu de piquant dans son quotidien. Son trajet de train quotidien se retrouve aujourd'hui bloqué sans raison apparente. Allez hop, notre héros prend son courage à deux mains et saute du train pour finir son trajet à pied. Alors qu'il connait son trajet maison-boulot par coeur, notre protagoniste se retrouve perdu dans un monde inconnu avec pour seul guide, un jeune garçon avec un sac sur la tête qui le force à porter une tête de cheval mort.

Hü est donc un roman singulier qui ne parlera pas à tout le monde. Je n'ai malheureusement pas réussi à m'intéresser à ce que je lisais, je n'ai d'ailleurs pas réussi à finir le roman. Je suis consciente d'être surement passée à côté de nombreuses métaphores ou messages. de nombreuses critiques élogieuses ont été faites et je suis heureuse de voir que le roman ait plu et ait réussi à parler à d'autres personnes, car il est plutôt bien écrit et j'admire le cran de l'auteur !

Je tiens malgré tout à remercier Babelio et à David Dolo pour l'envoi de ce roman dans le cadre d'une masse critique.
Commenter  J’apprécie          322
Vous souvenez-vous de la série télévisée "Alfred Hitchcock présente" qui passait en noir et blanc ? Remarquez, chez moi à cette époque le poste télé n'avait que du noir et blanc... Il y avait toujours un truc bizarre dans cette série. Ah c'est dingue, je me rappelle encore la musique du générique "palapala pam pam" (je ne suis pas douée en musique, toutes mes excuses. C'est pour l'ambiance) et le petit accent british de la voix du doubleur qui assurait l'ouverture de l'épisode sur les paroles d'Hitchcock. Eh bien ce petit roman a le même charme. Il ouvre sur un univers qui ressemble au nôtre, à quelques détails près. Et le personnage principal Hü, enfin je veux dire cet homme, Francis, va passer dans la twilight zone sans comprendre ce qui lui arrive. de l'autre côté... Enfin, presque pas tout, parce qu'il va bien sentir la lourdeur de ses jambes après des kilomètres de marche, harcelé par la faim et la soif. Ce grassouillet banlieusard ("Merci mon Dieu je suis toujours laid, je suis toujours moi."), marié avec Daphné au comble du bonheur ("Le moins que l'on puisse dire à voir la grimace amère de sa bouche peinturlurée, c'est qu'elle ne semble pas ravie de le voir") est content d'avoir une vie bien rangée : métro boulot dodo. Jusqu'au matin où le train qui l'emmène au travail, s'arrête en pleine voie. L'inconscient. Il en descend. Et les consignes de sécurité, bordel ? Oups, pardon. Je m'égare.

Il va se retrouver pris dans une aventure qui ne lui ressemble pas, dans un environnement qu'il découvre hostile, moyenâgeux, peuplé d'individus qui vont lui rendre la vie intolérable, sauf Pénélope, qui aime bien les chevaux. Allez Hü ! Vole, saute et galope vers ton nouveau destin Francis... Euh ?! Tu ...galopes, trottes ? Etonnant. Est-ce que tu es certain de ne pas faire partie de ce monde ? Après tout il y a bien une reine qui s'accouple avec un rocher, des enfants qui aiment les lapins noirs et un vieil homme, philosophe et écrivain à ses heures, qui creuse, creuse pour rentrer chez lui. Ah oui, il y a aussi Oscar, le fougueux. Il t'as bien marqué ce petit. "Qui sait quand on est susceptible de se faire brûler le cul au fer rouge ?"

"Il se dit qu'il faudrait qu'il se fabrique une pancarte 'Je suis un homme' pour éviter les malentendus et ça le fait rire, jaune."

J'ai bien aimé ce roman, j'aime beaucoup l'idée de ce monde composé de nos poubelles, de tous nos déchets, ou présumés tels, que nous rejetons et espérons ne plus voir, de l'autre côté. Je remercie Babelio et David Dolo, pour ce cadeau, livre qui a reçu le prix du Jury des Plumes Francophones 2018.
Commenter  J’apprécie          282
Vous connaissez Francis ? C'est un brave gars. Il voudrait qu'on l'aime, mais qui, circonstance aggravante, s'intéresserait à un gros comme lui ? Qui ?

Francis, c'est métro, boulot, dodo ! Bref ! Francis est un personnage, certes gentil, mais terne. Rien de remarquable ! Aucun talent exceptionnel ! Rien qui mériterait qu'on s'y intéresse.

Et puis, ne voilà-t-il pas qu'un beau jour, ce train qu'il emprunte depuis dix ans, s'arrête à 200 mètres du prochain quai. Francis a chaud, le chauffage de la voiture où il se trouve dégage une chaleur qui le déshydrate. Il se sent mal. Il est près d'une porte. N'en pouvant plus, se faisant violence car Francis tient à son train-train quotidien, il appuie sur le bouton qui permet d'ouvrir la porte… Et celle-ci cède sous son gros doigt… L'air froid s'engouffre. Les autres passagers râlent. Francis décide l'impensable dans une vie de Francis : il descend de la voiture et décide de rejoindre le quai à pied. En deux minutes, ce devrait être chose faite… Mais ne voilà-t-il pas que la porte du train se referme et que celui-ci démarre, noyant Francis dans un tourbillon de poussière. Qu'à cela ne tienne : Francis peut marcher. Deux minutes et il sera sur le quai… Les minutes passent, Francis ne reconnaît plus le décor le long de cette voie qu'il emprunte depuis une dizaine d'années… Des heures se sont écoulées. Aucun train n'est passé et ce maudit quai où est-il ? Francis a faim. Francis a soif. Francis décide de faire demi-tour. Cela fait des heures qu'il marche. La nuit est tombée. Pas âme qui vive alors que Francis suit toujours les rails. Mais où donc tout cela va-t-il le mener ?


Critique :

Hü est le livre le plus étrange qui me soit passé entre les mains depuis des décennies. Ce n'est pas un roman à proprement parler, ou alors, un roman fantastique. Je le verrais plutôt comme un conte ubuesque. En tout cas, une oeuvre hors norme. Kafka n'est pas loin…

L'auteur, David Dolo, a une écriture qui parvient à retransmettre parfaitement les émotions de ses personnages et à les rendre si pas attachants du moins humains, alors même qu'ils n'ont rien qui plaide pour eux ! Francis est un individu sans la moindre personnalité qui est au sommet de la jouissance parce qu'il dispose d'un bureau et de sa propre machine à café.
Oscar est un individu dont la croissance s'est arrêtée lorsque ses parents l'ont abandonné dans un lieu désert où il s'est retrouvé cruellement seul. C'est devenu un assassin de personnes égarées, non dénué de cruauté, qui n'éprouve aucun remord de ce qu'il fait subir aux malheureux, perdus, qui atterrissent dans cet univers parallèle où l'on peut marcher des jours sans rencontrer personne. Chaussette est aussi grand qu'Oscar est petit. C'est le seul ami de ce dernier. C'est lui qui lui a donné ce canif exceptionnel, doté d'un ressort qui fait jaillir une lame aux reflets bleutés qui coupe et découpe les chairs comme s'il s'agissait de vulgaire papier.
Et puis, il y a Pénélope, tombée du ciel ! Elle est belle. Oscar et elle s'aiment. Ils partagent une cabane qui est un vrai petit paradis. Oscar ferait n'importe quoi pour Pénélope ! Vraiment n'importe quoi pour la rendre heureuse.

Malgré l'invraisemblance de l'histoire, je me suis laissé prendre au jeu et ai vécu les émotions de Francis, mais je doute que tout le monde se laisse emporter par ce conte fantastique qui conduit à une métamorphose. Je comprends parfaitement que cette histoire puisse déplaire à de nombreuses personnes qui n'iront pas jusqu'au terme de l'histoire. Ça passe ou ça casse ! David Dolo a produit une oeuvre pour le moins originale et je comprends qu'il ait été récompensé par le Prix du Jury 2018 « Les Plumes francophones ».
Commenter  J’apprécie          210
J'ai reçu le roman de David Dolo, Hü dans le cadre d'une masse critique spéciale. Après ma lecture je n'ai pas été surpris que ce livre ait obtenu le prix du jury 2018 du concours Les plumes francophones. Publié chez Amazon en autoédition, il n'en a que plus de mérite.
En effet, selon moi, le livre est réussi. Je m'explique.
A partir d'un fait banal emprunté au quotidien que chacun connait, David Dolo construit un conte philosophique reprenant des symboliques empruntées à la mythologie grecque, à la religion, aux auteurs de fantastiques, à l'absurde.
L'auteur emprunte sans plagier, il est important de le préciser et amène le lecteur, non sans ironie ni dérision à se poser les questions essentielles sur le sens de la vie et l'intérêt que l'on accord parfois et souvent à des questions mineures.
Un autre aspect du roman est d'éclairer à sa façon le questionnement sur la relation entre l'homme, les autres espèces vivantes et la nature.
Le pitch est simple, Francis vit avec Daphné une histoire d'amour hanté par le quotidien et mise à mal par leur différence sociale. le père de Daphné traite d'ailleurs Francis de Jean Foutre. « Daphné avait séché en même temps que les ambitions de Francis. »
Francis se contente de ce qu'il a, son bureau, son fauteuil en simili cuir, son café le matin, dans cette firme de la grande distribution où il est en charge de la logistique. « C'est un peu grâce à lui que certains rayons sont pleins ; biscuits, bonbons, chocolat…dans trois magasins, des hypermarchés, pas moins (…) »
Un matin, alors qu'il est dans le train celui-ci s'arrête entre deux gares et, la chaleur aidant, Francis ouvre la porte, puis sort laissant le train lui filer sous le nez. Confiant, il sait que sa gare d'arrivée n'est qu'à quelques kilomètres qu'il décide de franchir à pied.
Oui mais voilà, en sortant du train il est sorti du monde et l'environnement dans lequel il marche n'est plus celui qu'il voit depuis les fenêtres du wagon où il s'assied habituellement.
Les ennuis commencent lorsqu'il rencontre Oscar et Pénélope. Celle-ci rêve d'un cheval qui parle et Francis, selon Oscar, a la tête de l'emploi, une fois qu'il l'aura affublé d'une tête de cheval séchée et tannée par ses soins. Dès lors il s'appellera Hü.
Francis est un héros kafkaïen. Contraint par les autres lorsqu'il se conforme à leur volonté, il subit les pires avanies lorsqu'il décide d'agir selon sa propre volonté.
On voit Francis accepter l'indicible pour survivre dans cette nouvelle communauté formée par Oscar Pénélope et Sacha dit Chaussette. Au chapitre 13 une scène rappelle cette célèbre scène du film Délivrance de John Boorman adapté du roman de James Dickey. Je n'en dis pas plus.
Dans ses pérégrinations Francis rencontrera Artemius, un poète et philosophe qui lui apprend qu'il existe une voie entre les deux mondes celui dont vient Francis et celui dans lequel il vit actuellement.
Mais Célestine et ses enfants, qu'elle a enfanté de la terre et qui ne deviendront jamais adulte l'attendent au tournant. Celestine est à la fois l'image de Gé la terre et celle de la Vierge Marie enfantant du Saint Esprit.
Au contact de ces différents personnages, Francis finira-t-il par comprendre qui il est et ce dont il rêve vraiment. Sortira-t-il indemne d'une telle aventure ?
Le questionnement de Francis n'est pas loin de celui du Candide de Voltaire chassé du meilleur des mondes possible qui se trouve confronté au mal et à la cruauté d'autrui. Il n'est pas loin de notre questionnement sur le sens de notre vie, notre engagement ou non dans la société et les conséquences de nos actes.
Je le redis, un roman initiatique empruntant aux nombreux symboles de notre patrimoine littéraire et philosophique sans tomber dans la pâle copie ou le sinistre plagiat, un roman facile et agréable à lire, un roman dont on aimerait savoir d'où il sort et comment l'idée en est venue à l'auteur.
Merci encore à Babelio et à Amazon de m'avoir permis de lire Hü.
Deux remarques matérielles : le lecteur regrettera l'absence de numérotation et quelques coquille à signaler dans le texte comme par exemple au chapitre 14 « Il s'est écarté d'un bon…. »
Péchés véniels…comparés au plaisir de la lecture.

Lien : http://desecrits.blog.lemond..
Commenter  J’apprécie          180

Citations et extraits (13) Voir plus Ajouter une citation
- Ce… trou, vous êtes certain qu’il mène là d’où vous êtes arrivé bien sûr ?
- Certain ? Mais monsieur, avec des certitudes nous n’en serions pas là ! Hier vous vous promeniez cul nul dans la forêt déguisé en bourricot, et aujourd’hui vous exigez des certitudes ? Si vous voulez des certitudes, pourquoi n’allez-vous pas en demander aux détraqués qui vous ont cuit l’arrière-train ? Et allez-y au trot tant que vous y êtes, parce que j’ai bien vu votre petit manège, monsieur se prend vraiment pour un cheval ! Alors des certitudes, non mais franchement !
- C’est que… Je n’aime pas les trous ! répond Francis, piqué au vif.
- Vous n’aimez pas les trous ? Il n’aime pas les trous ! Jésus Marie Joseph ! Ce n’est pas un trou mon ami, c’est une sortie ! Est-ce que vous voulez passer le reste de votre vie ici ?
- Non, non, évidemment, je vais y aller, vous avez raison… Pardon… Je…
- À la bonne heure !
Commenter  J’apprécie          370
Au cours d’une de leurs dernières discussions, elle lui avait expliqué avec excitation avoir déjà trouvé le nom pour sa bête à venir.
« Ah ? » avait-il demandé, lassé de cet inépuisable sujet.
« HÜ !
- U ?
- Avec un H, et un tréma sur le U, pour faire les yeux.
- Un tréma ?
- Deux points.
- HÜ ?
- Oui ! C’est joli, non ?
- Qu’est-ce que ça veut dire HÜ ?
- Rien, ça ne veut rien dire, les noms n’ont pas besoin de vouloir dire quelque chose. Est-ce qu’Oscar veut dire quelque chose ? Et Pénélope, ça veut dire quelque chose ?
- Je sais pas. Mais si ça te plait…
- Oui ça me plait, et ça sonne bien…HÜ et Pénélope. Pénélope et HÜ. C’est très joli. HÜ, Pénélope et Oscar… Oui, très joli. »
Et la discussion avait été close.
Commenter  J’apprécie          370
« Être mort, ce serait un peu comme un long sommeil. » se disait-il.
Et à sa connaissance on n’avait jamais entendu un dormeur se plaindre d’être endormi, ça non. Les dormeurs dorment, ce sont les éveillés qui se plaignent, ceux qui ont les yeux ouverts.
Commenter  J’apprécie          380
Il ne l'avait pas vraiment cru, parce qu'il savait quand même que les filles ou les femmes ne tombaient pas du ciel, mais c'était sans importance.
Commenter  J’apprécie          180
Mais qu'est-ce qui m'arrive ?
Là-dessus il a bien sa petite idée, bien simple à formuler, moins à accepter.
Je suis fou.
Est-il fou ?
Comment savoir ?
Commenter  J’apprécie          160

autres livres classés : glauqueVoir plus
Les plus populaires : Imaginaire Voir plus

Autres livres de David Dolo (1) Voir plus

Lecteurs (72) Voir plus



Quiz Voir plus

Ce film d'horreur et d'épouvante est (aussi) un roman

Jack Torrance, gardien d'un hôtel fermé l'hiver, sa femme et son fils Danny s'apprêtent à vivre de longs mois de solitude. Ce film réalisé en 1980 par Stanley Kubrick avec Jack NIcholson et Shelley Duvall est adapté d'un roman de Stephen King publié en 1977

Le silence des agneaux
Psychose
Shinning
La nuit du chasseur
Les diaboliques
Rosemary's Baby
Frankenstein
The thing
La mouche
Les Yeux sans visage

10 questions
965 lecteurs ont répondu
Thèmes : cinema , horreur , epouvanteCréer un quiz sur ce livre

{* *} .._..