Il est probable que mon affection particulière pour les hérissons vienne de cet album !
Parce que le trait minimaliste de Domitille de Pressensé laisse toute sa place aux personnages d'
Emilie et d'Arthur sans les noyer dans un décor envahissant, le charme de leur caractère transparaît avec encore plus de force.
La frayeur d'
Emilie à la pensée d'avoir perdu Arthur est très touchante. Avec l'aide de son frère Stéphane,
Emilie va tout mettre en oeuvre pour retrouver son compagnon familier, un animal réputé piquant et nuisible et qui s'avère être en réalité un concentré de tendresse à la manière d'un doudou.