Ce 'drôle' de carnet est bien sombre, puisqu'il raconte les derniers mois de
Max Jacob, grand artiste mort à Drancy en 1944.
Je ne connais pas son oeuvre mais ce récit à la première personne nous donne un très bel aperçu de Monsieur Max : poésie, humour féroce, esprit enjoué et pensées profondes parsèment son journal. Ses amitiés fortes sont également évoquées.
Des passages particulièrement poignants portent sur sa soeur ou sur son attachement à un jeune homme raflé avec lui.
Un carnet que l'on remercie
Bruno Doucey d'avoir 'retrouvé'.
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