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La "Vallée de la peur" est le quatrième (et dernier) format long consacré à Sherlock Holmes.
Dans cette aventure, nous aurons deux histoires pour le prix d'une, l'auteur nous avait déjà proposé ce parti pris narratif dans "Le signe des Quatre", et ma foi, j'ai bien apprécié le procédé.
La première partie sera consacrée à l'enquête proprement dite, le scénario est bon, les dialogues extras, cela dit, le tout est sans surprise quand on commence à bien connaître notre ami Sherlock Holmes, j'irais même jusqu'à dire que le dénouement est très prévisible dans la mesure où cette conclusion ne se révèle pas très originale.
En fait, j'ai plus apprécié la seconde partie qui nous emmène en Amérique, elle est la suite logique de l'enquête et puisqu'il n'est pas dans mes intentions de divulgâcher, je n'en dirai rien (désolé).
Ce qui est sûr, c'est que j'apprécie toujours autant l'univers proposé par Monsieur Conan Doyle, on est bien évidemment loin des standards actuels en terme de thriller ou autres polars, mais cela n'en reste pas moins un classique qui se laisse lire avec plaisir.
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"La vallée de la peur" ou comment justifier, presque vingt ans après, l'existence du Tout Grand Méchant qu'on avait sorti un jour de son chapeau !

Là, tout de suite, je vais plus vous parler des coulisses de ce livre que d'autre chose, les autres critiques étant là pour vous aider à vous faire votre propre avis (sinon, lisez-le et faites-vous vraiment votre propre avis).

Petit retour en arrière : lorsque Conan Doyle en eu plus que marre de ce détective qui lui pourrissait la vie (lui qui ne rêvait que d'écrire des romans historiques), il décida de le tuer.

Oui, mais, problème : il fallait un Méchant à la hauteur du détective, pas un minable voyou des rues. Il fallait un final digne du héros qui lui avait fait gagner assez d'argent que pour se déplacer en fiacre s'il le voulait. Un écrivain qui vivait de sa plume, c'était assez rare à l'époque.

Que fit-il ? Un truc d'auteur : il inventa le Grand Méchant Napoléon du Crime Organisé de Londres. Un mec qui régnait en maître sur la pègre de la City, mais le faisait tout en se cachant derrière son métier de professeur de mathématiques. Un type tellement bien camouflé que personne n'avait entendu parler de lui, sauf Holmes.

La preuve ? Watson ne savait même pas qu'il existait ! Noir sur blanc dans "Le dernier problème".

Bref, Conan Doyle met tout ça en place et se débarrasse de l'encombrant détective en le faisant tomber lors d'un combat au corps à corps dans les chutes de Reichenbach. Fin de l'histoire.

"The Adventure of the Final Problem" fut publié en décembre 1893 dans "The Strand Magazine"… Mauvais Noël que pour ses nombreux fans puisque certains portèrent même un brassard noir (et dans les hautes sphères).

Cédant juste un peu à la pression, de août 1901 à mai 1902, Conan Doyle fit publier "The Hound of the Baskervilles", toujours dans "The Strand Magazine".

Conan Doyle s'en tira avec une pirouette en faisant dire à Watson qu'il publiait une enquête jamais encore publiée (sans faire revenir Holmes à la vie puisque publiée du vivant du détective, mais avec un temps de retard). Rusé, l'homme !

Il pensa même ne pas faire intervenir son diable de détective, mais lui donna tout de même un petit rôle… Voilà pourquoi Holmes est si peu présent dans ce roman là.

En septembre 1903, dans le "Collier's Weekly" paraît le retour tant espéré de Holmes : "The Adventure of the Empty House". Et c'est reparti pour un tour pour le plaisir de tous.

Et puis, un jour, Conan Doyle, voulant sans doute donner un peu plus de légitimité à Moriarty, le Grand Méchant dont personne n'avait entendu parler, décide de le faire intervenir dans une enquête de Sherlock, censée se passer bien avant le Grand Hiatus (hiatus = période entre sa fausse mort, le 4 mai 1891 et son retour en 1894).

Voici donc "The Valley of Fear" (La vallée de la peur) publié entre septembre 1914 et mai 1915 dans "The Strand Magazine". 21 ans après la publication où Holmes parlait de Moriarty !

Tout s'éclaire-t-il donc ? le Grand Méchant est légitimé ? Que nenni ! Ça ne résout rien, que du contraire, cela soulève encore plus de questions.

Dont une importante : dans "Le dernier problème" (qui est censé se passer APRÈS "La vallée de la peur" – même si publié avant), Watson ne connaît pas du tout Moriarty !

Extrait "Le dernier problème" :
– Vous n'avez probablement jamais entendu parler du Pr Moriarty ?
– Jamais ! dis-je.
– C'est bien là ce qu'il y a de merveilleux et de génial chez cet homme ! s'écria-t-il. Il règne sur Londres et personne n'a entendu parler de lui. C'est ce qui fait de lui le criminel des criminels. Je n'hésite pas à vous déclarer, Watson, en toute sincérité, que, si je pouvais réduire ce Moriarty à l'impuissance et délivrer de lui la société, je considérerais que ma carrière a atteint son apogée et que je serais tout prêt à adopter un genre de vie plus calme. [...]

Hors, dans "La vallée de la peur", publiée APRÈS "Le dernier problème" mais se passant AVANT, Watson connaît Moriarty !

Extrait "La vallée de la peur" :
– Vous m'avez entendu parler du professeur Moriarty ?
– le célèbre criminel scientifique, qui est aussi connu des chevaliers d'industrie…
– Vous allez me faire rougir, Watson ! murmura Holmes d'un ton désapprobateur.
– J'allais dire : « Qu'il est inconnu du grand public. »

Imaginez mon trouble, mon désarroi, lorsque étant gosse (j'avais 14 ans) je découvris le canon holmésien et que je tombai sur une erreur de logique pareille : un coup il le connait, un coup il ne le connaît pas du tout !

Ce serait correct si "la vallée de la peur" avait été publiée avant "le dernier problème" (puisque Moriarty meurt) et que dans la "Vallée" Watson ne sache pas de qui on parle et que la seconde fois que Holmes cite Moriarty, il sache de qui on cause. Pas le contraire !

Et comme Moriarty était mort dans les chutes et que "la vallée de la peur" se passait AVANT leur face-à-face mortel, j'y ai perdu mon latin.

Watson avait-il des troubles de mémoire ou bien l'auteur avait-il fumé un truc pas net ? Voilà ce qui donne des cheveux blancs aux holmésiens… Conan Doyle avait sans doute envie que l'on s'arrache les cheveux sur cette erreur de logique, 100 ans après sa mort.

Et le livre, qu'est-ce que j'en ai pensé ? Ben, c'est pas mon préféré…

Bon, on cause de Moriarty mais il n'apparaît pas ! Remboursez ! Sherlock Holmes enquête sur le meurtre d'un nommé Douglas, et c'est un homme qu'il suppose faire partie de la bande de Moriarty qui l'a renseigné, mais de Moriarty, même pas l'ombre d'un poil de ses gambettes !

La solution du meurtre, elle est révélée à la fin de la première partie… pourquoi donc s'esquinter à lire la suite qui n'a pas vraiment d'intérêt ?

C'est comme dans "Une étude en rouge" et "Le signe des quatre", il y a une histoire dans l'histoire, mais si les deux autres étaient intéressantes, là, bof, mitigée.

La seconde partie aux États-Unis, dans une vallée minière style trou du cul du monde, où les forces de l'ordre jouent à règlements de compte à O.K Corral avec une bande de malfrats, version société secrète "imitation maçonnique" mais eux, ils sont gore.

Ça nous éclaire sur le passé du quidam, mais c'est assez lourd. Alors que je n'ai jamais ressenti cet ennui dans "Une étude en rouge" ou "Le signe des quatre". Là, l'auteur aurait pu trancher un peu et limiter la seconde partie.

Holmes est peu présent dans le roman. On le voit, lui et Watson uniquement dans la première partie et dans l'épilogue…

Mention minimale de Moriarty dans l'épilogue : on le soupçonne d'être l'expert du crime qui joue les nettoyeurs pour l'organisation américaine, mais rien n'est prouvé…

Bref, ce roman aurait pu se contenter d'avoir la taille d'un nouvelle avec deux fois plus de page qu'une autre, mais un format "roman", il y a trop de temps mort que le plus petit retournement de situation vous fait sursauter.

Et puis, quel affrontement avec Moriarty ?? Bref, un coup d'épée dans l'eau et à trop vouloir bien faire 20 ans après, on fait des boulettes.

Lien : http://thecanniballecteur.wo..
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Si on m'avait dit un jour que je m'ennuierais à la lecture d'une aventure de Sherlock Holmes, je ne l'aurais jamais cru. Et pourtant, cette "Vallée de la peur", non seulement ne m'aura pas fait peur mais elle m'aura de plus fait bayer aux corneilles.

Bien que n'étant pas une fan de la première heure, j'apprécie d'ouvrir régulièrement un récit signé Sir Arthur Conan Doyle et jusqu'à présent, j'avais rarement été aussi peu intéressée par ce que je lisais.

Divisé en deux parties, le roman débute classiquement par une enquête dans laquelle le célèbre détective déploie son flair légendaire ; il se poursuit ensuite par un véritable western permettant de retracer la genèse du mobile ayant entraîné le crime, sujet de ladite enquête. Good bye England, good morning America ! Autant vous prévenir tout de suite, dans cette seconde partie, nulle trace ni de Holmes ni de Watson, ce qui, pour ma part, fut extrêmement frustrant.


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J'ose vous l'avouer, je connais Sherlock Holmes depuis des lustres, mais ce n'est que récemment que je l'ai découvert sous la plume d'Arthur Conan Doyle. Sherlock, c'est un mythe. Et dans ce roman, j'ai apprécié ce personnage qui correspond aux plus audacieuses adaptations, les plus iconoclastes sont paradoxalement les plus respectueuses, je pense par exemple à la série Elementary. Ce personnage est une formidable invention, son caractère secret, infatué, hautain avec ses interlocuteurs, fasciné et même drogué par les énigmes, à la répartie cinglante, un héros picaresque avec le flegme britannique, encore un délicieux paradoxe. Et dans ce roman, il y a quelques passages truculents. Maintenant, pour ce qui est de l'intrigue, ses enquêtes ont tellement été plagiées dans les série TV, qu'il n'y a plus de surprises pour un lecteur actuel, j'avais deviné l'astuce à la première scène de crime (suis-je plus intelligent que Sherlock ?), mais l'action est bien menée, bien rythmé, la lecture est addictive. Et au milieu du roman, on passe dans une seconde histoire qui va raconter le passé américain d'un des personnages de la première intrigue. Je me suis réjouis de cette audace littéraire, mais cette seconde aventure n'a rien de transcendante. le héros n'a pas l'étoffe de Sherlock, le rythme est moins enlevé, la romance sans saveur, c'est juste un western ordinaire, l'écriture se révèle assez plate, les envolées lyriques de Sherlock n'y sont plus pour mettre un peu de relief, l'aventure américaine sans Sherlok est tout juste distrayante. Mon emballement pour la première partie c'est dégonflé dans la seconde. Un lecture plaisante mais pas inoubliable. Ce que j'en retiens, c'est que le meilleur dans Sherlock Holmes se tient dans le mythe qu'il a suscité et qu'il continue de susciter aujourd'hui, le personnage à plus d'envergure que les romans qui le mettent en scène.
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La Vallée de la peur n'est pas l'aventure holmésienne que je préfère, loin de là, et ceci pour plusieurs raisons. A l'instar d'Une étude en rouge ou du Signe des quatre, le roman est divisé en deux parties distinctes. La première étant l'enquête proprement dite, la seconde faisant la part belle aux interminables explications du mobile du crime. Ainsi, dès la fin de la première partie, l'enquête est résolue ce qui rend la seconde beaucoup moins attractive.

D'autant moins attractive que Sherlock disparaît complètement ! Quand je lis une histoire de Sherlock Holmes, c'est pour voir mon héros à l'oeuvre pas pour le perdre de vue pendant 100 pages et suivre les errements de funestes inconnus.
Ajoutons une intrigue tarabiscotée et violente faisant intervenir Moriarty et vous obtenez une histoire médiocre.

Je ne peux pas dire pour autant que je me sois ennuyée à la lecture de ce roman puisqu'il est bien écrit et que la partie "western" m'a tenue en haleine. Il y a du suspense et un twist final sympa qui permet de ne pas s'endormir.
Par contre, l'épilogue prend le lecteur pour un crétin ce qui n'est pas agréable, vous en conviendrez aisément.

La Vallée de la peur est un roman deux en un auquel il manque beaucoup de Sherlock, de Watson et même de Moriarty !
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Bien que j'aie apprécié l'histoire, je regrette ce schéma récurrent, comme dans Une étude en rouge et dans le signe des 4. Un appel de la police pour un meurtre, les déductions de Sherlock Holmes, l'arrêt du coupable, et à cemoment-là, en plein milieu de roman, l'histoire et les mobiles du coupable racontés "hors-sol".
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Bon, bon, bon... Voilà je viens de finir ce livre et je suis plutôt déçue...
Il est vrai en ce moment j'enchaîne beaucoup avec Arthur Conan Doyle ! J'ai par conséquent lu les 4 romans de cet auteur rapidement mais là pour celui-ci... Ça a du mal à passer...

Le livre est en deux parties. La première est géniale nous y retrouvons Sherlock Holmes et Watson. Qui enquête sur une mystérieuse affaire. Mr Douglas est retrouvé mort dans "sa forteresse".
La première partie passe à une vitesse folle, nos amis sont égaux à eux même. J'ai beaucoup aimé le revirement auquel je n'y est vu que du feu !

Passons à la seconde partie... Et c'est là que ça ce complique. J'ai trouvé cette partie plate, longue de plus nos deux héros ne sont pas présents, c'est peut-être aussi ça qui fait que ce fut pas top... Car il faut admettre que ce qui fait le charme de ses romans et bien... C'est bien notre cher Sherlock !

Une chose est certaine, j'aurai commencé ma découverte de Sherlock par ce livre je n'aurai probablement pas continué mon aventure. Ce qui aurait été fort dommage car les trois autres sont géniaux.

Je vais m'attaquer aux nouvelles qui j'espère ne me décevront pas.😉
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Ce roman est à mes yeux le meilleur roman de Sir Arthur Conan Doyle, du moins, la meilleure enquête de Sherlock Holmes. Sa construction rappelle celle d'Une étude en rouge, en plus soignée, exploitant à nouveau les noirceurs de l'âme humaine.
Deux enquêtes, deux temps du roman. Nous sommes tout d'abord dans l'Angleterre victorienne, où un gentleman vient d'être assassiné dans d'atroces circonstances. il faut toute la ténacité, toute l'ingéniosité de Sherlock pour venir à bout de cette enquête, et démasqué le coupable, que je vous mets au défi de trouver. On me répondra que le lecteur n'avait pas tous les éléments en main. Il en avait tout de même beaucoup, et les principaux. Il devait simplement se fier aux faits, et non à leur interprétation, et autres idées préconçues.
Après le coup de théâtre que constitue l'identité du coupable, Sir Arthur Conan Doyle nous plonge dans la Californie de l'hiver 1875. Certes, Watson et Holmes sont loin, cependant l'enquête qui y est menée est toute aussi palpitante. Dans cette vallée, renommée « vallée de la peur » par ses habitants, une société secrète sème la terreur, et plus encore. le jeune McMurdo, qui a quitté précipitamment Chicago, découvre cette société et se fait rapidement accepter par ses membres les plus aguerris, tout en ménageant les plus timorés. Il a l'âme d'un chef, que l'on ne s'y trompe pas, et gare à ceux qui se mettent sur la route des « Eclaireurs ». Mieux ou pire qu'un western, comme vous voudrez, il faudra la présence d'un autre enquêteur, lié à une organisation qui ne cesse d'inspirer les auteurs – Pinkerton – pour que cette seconde affaire, à la hauteur de la première, soit dénouée.
Pour terminer ce billet, je mettrai simplement cette citation, encore d'actualité aujourd'hui :

La tentation de former des théories prématurées sur des informations insuffisantes est la maladie de notre profession.
Lien : http://deslivresetsharon.wor..
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Comme d'autres romans avec Sherlock Holmes, la vallée de la peur souffre un peu de la digression brutale aux États-Unis. Mais il faut reconnaître à ce récit dans le récit ses qualités : une belle atmosphère poisseuse d'une région minière, une bande d'une grande vilainie, une fin un peu prévisible mais digne d'un bon western, en somme un divertissement de haut vol. La première partie, portée par la figure de Holmes, est une enquête digne des plus courtes, comme d'habitude, bien construite et à la résolution élégante.
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Quatrième et dernier des quatre romans qui constituent les oeuvres les plus développées du canon de Conan Doyle, La vallée de la peur est une oeuvre à part. Personnellement, j'ai été déçu par ce revirement. Il peut être lu à la suite de l'Étude en rouge, du Signe des Quatre et du Chien des Baskerville sans qu'il soit nécessaire de mettre les yeux dans les différents recueils de nouvelles. Mieux vaut d'ailleurs les lire après.
Si l'ombre de Moriarty et de sa non moins mystérieuse organisation plane, elle apparait comme le prétexte pour accrocher le lecteur (et l'intrigue) à la geste de Sherlock Holmes. du moins cela se ressent après avoir lu le dernier problème. Dans cet épisode fort court (tout juste deux cent pages), le héros brille par son absence. Bon d'accord… il est bel et bien là, mais ne fait aucun effort pour conserver son rang. Il se contente de formules trop souvent lues et relues et devient cassant et franchement désagréable. C'est grande tristesse que de constater à quel point le célèbre détective se transforme de lui-même en cliché. A cet égard l'incipit est tout à fait révélateur.
Le récit est captivant d'un bout à l'autre, même s'il faut reconnaître qu'il est une variante (habilement conçue certes) d'autres scénarii développés par l'auteur. Deux temps sont clairement marqués. D'abord la résolution d'un meurtre dans une ambiance confinée, puis un récit d'aventures vécues sous d'autres cieux qui éclaircirent la première partie. Watson se voit crédité du privilège de servir de fil rouge. Pour autant de raisons, cet ouvrage s'adressera avant tout aux fans et ne sera pas conseillé aux non-initiés.
Lien : http://kriticon.over-blog.co..
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