Les brûlures d’estomac sont, entre autres, un symptôme de reflux gastrique. Il s’agit de renvois de suc gastrique vers l’œsophage déclenchant ainsi une inflammation chronique et des douleurs en bas de la poitrine. Ce reflux est fréquent lorsque le muscle constricteur entre l’estomac et l’œsophage ne fonctionne pas correctement. Il est conseillé aux patients souffrant de brûlures d’estomac d’éviter les aliments qui stimulent la production de suc gastrique, comme l’alcool, le chocolat ou le tabac. La plupart des traitements médicamenteux sont à base de substances qui inhibent la production d’acides gastriques ou qui les neutralisent. Dans certains cas, une intervention chirurgicale est réalisée afin d’améliorer la fonction du muscle constricteur.
Le fait de fumer de la marijuana n’entraîne pas une dépendance au sens médical du terme. La vente et la distribution de cannabis ne sont pas du ressort d’un seul et même groupe organisé. La consommation de marijuana ne conduit pas à une dépendance à la morphine, à l’héroïne ou à la cocaïne, et il n’existe pas d’intention de création d’un marché pour ces drogues qui développerait la consommation de marijuana. La marijuana ne fait pas office de facteur déterminant pour commettre un crime. Fumer de la marijuana n’est pas largement répandu chez les écoliers. La délinquance juvénile n’est pas associée à la consommation de marijuana.
« Le cannabis contribue à calmer mes problèmes musculaires, à atténuer mes douleurs, à améliorer mon humeur, à me stimuler, à augmenter mon appétit, à me sentir mieux en général et à améliorer la qualité de mon sommeil. Pour le consommer, je confectionne des biscuits en ajoutant du cannabis dans la pâte. Je fais très attention au dosage puisque je réagis mieux à de petites doses, qui me suffisent. Il arrive qu’au début des sensations de vertiges et de perte de l’équilibre, accompagnées de tensions musculaires s’accentuent, mais elles diminuent ensuite rapidement ».
L'idée d’être en parfaite harmonie avec la nature et avec tout l'univers prend forme. Ni le corps physique, ni l’individu n’existent. (...) Ce qui est présent, c’est un monde fait de merveilleuses images colorées où dominent le bleu, le pourpre et le vieil or, le tout accompagné d’effets d’ombres extrêmement délicats. (...) Peu à peu, le sommeil m’a envahi et j’ai très bien dormi jusqu’à l’heure à laquelle je me lève d’habitude. Au réveil, pas de sensation particulière à signaler. Je me sens, tout au plus, mieux reposé que les autres jours.
Le terme de marijuana (herbe de cannabis) vient du mexicain. Il désigne les feuilles et les sommités de la plante. Il y a environ trente à quarante ans, la teneur en THC de la marijuana était significativement plus faible que celle du haschich. Aujourd’hui, il existe des variétés de cannabis pouvant atteindre des concentrations en THC de 10 à 25 %. C’est la raison pour laquelle il est possible de trouver aujourd’hui de la marijuana contenant 10 à 25 % de THC.