Citations sur Karine après la vie (23)
La justice divine n’est donc pas en cause puisque personne ne peut y échapper, c’est la justice terrestre qui nous préoccupe. Et là, il s’agit bien du libre arbitre que Dieu a laissé aux hommes.
« C’est Dieu qui détermine la justice, pas moi. » Il est évident que si nous parlons de justice divine, Dieu fixe les règles, mais, sur terre, la justice est faite par les hommes. Un juge est nommé pour cela, c’est lui qui rend la sentence.
Nos amis arrivent bientôt. Par dizaines. Le « téléphone arabe » a fonctionné. Nous nous appuyons sur leur affection, la chaleur du partage nous évite de sombrer.
La vie est merveilleuse, nous avons une fille admirable et intelligente, qui est notre orgueil, et qui s’épanouit en parfaite harmonie avec nous.
Mourir est tout simplement déménager dans une plus belle maison, symboliquement s’entend].
Dans le langage que j’utilise pour de très jeunes enfants mourants, je dis que la mort physique de l’homme est identique à l’observation que nous pouvons faire lorsque le papillon quitte son cocon. Le cocon et sa larve sont le corps humain passager. Ils ne sont toutefois pas identiques à vous, n’étant qu’une maison provisoire, si vous pouvez l’imaginer ainsi.
Au lieu de penser que tout se termine avec la mort physique, nous prenons en compte maintenant l’existence de la vraie vie qui nous attend tous. Nous savons que nous sommes ici pour apprendre, pour évoluer spirituellement et nous préparer à retrouver nos êtres chers, dans cette autre vie qui est la vraie vie.
...si les gens ont choisi de naître malheureux, pauvres et malades dans cette vie parce qu’ils étaient méchants dans celle d’avant, alors pourquoi les soulager du fardeau nécessaire à leur évolution ?
Ce n’est pas tant qu’elle soit précoce, ni qu’elle ait sauté des classes ; elle dit elle-même que ce qui la stimule, lui « donne des ailes », c’est notre façon tonique de croire en sa survie, de penser à elle au présent, de l’associer à nos joies.
Ce n’est pas tant qu’elle soit précoce, ni qu’elle ait sauté des classes ; elle dit elle-même que ce qui la stimule, lui « donne des ailes », c’est notre façon tonique de croire en sa survie, de penser à elle au présent, de l’associer à nos joies.