Car c'est ainsi que ça se passe, à notre âge. Nous sommes des hommes de la génération Y. Coincés entre le féminisme et le machisme, debouts sur les orteils, à tenter de nous maintenir en équilibre. Le coeur toujours en miettes, les couilles toujours trop pleines. Incapables d'aimer convenablement, inaptes à survivres à la solitude. Nous sentons les choses comme nos mères et nous les canalisons comme nos pères.