Je connaissais les livres pour enfants de D. Dorrie...intriguée par ce qu'elle pouvait écrire pour les adultes, je suis tombe sur ce petit livre de 200 pages qui m'a touché ! ...pas difficile finalement, quand on a soi-même vécu une situation similaire..mais le style naïf de Dorrie sert très bien le récit. le deuil et le chagrin ne supportent pas de grandes phrases...reste la volonté de renouer avec la vie, l'amitié et l'amour...l'histoire de Babette qui a perdu son mari dans un accident de voiture et celle de Florian qui voit son amant mourir dans ses bras après avoir longtemps lutte contre un cancer...finissent dans les étincelles (certes un peu trop romantiques) de l'espoir ...
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Sans avoir été transportée par ce roman, je salue la qualité de l'écriture, fluide et agréable, mais regrette les changements inopinés de points de vue des personnages. Ils rendent parfois difficile la compréhension de l'histoire. C'est l'histoire d'une perte, d'un deuil : l'un perd un conjoint d'un cancer long et douloureux, l'autre pert un mari subitement et tragiquement. Par hasard, ces deux âmes esseulées se retrouvent et se servent de leur douleur commune pour en faire une force, une béquille, et s'appuyer l'un sur l'autre, pour essayer d'avancer, d'essayer d'avancer désormais sans leur moitié, et d'en trouver, chacun à leur manière, une autre, pour essayer d'enfouir les souvenirs. Ils sont touchants, mais si mélancoliques que le rendu final donne un aspect triste. On aimerait les pousser, les secouer, les voir évoluer mais finalement je n'ai pas ressenti le positif, peut-être un espoir naissant, une lueur peut-être, mais qui rend finalement le roman assez terne à mon sens.
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Bof... déçue. Une romance sans intérêt.
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