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Critique de olivberne
Georges Drumeaux a été pendant plusieurs années mon inspecteur de lettres et c'est avec surprise et plaisir que j'ai découvert ses écrits qu'il a fait paraître à sa retraite.
C'est peut être un recueil qui ne dépassera pas le cercle restreint des initiés du sérail guadeloupéen, pourtant les textes réunis dans ce livre, construit selon la logique du mouvement, traduisent la volonté d'un livre plein : il y a de la poésie, du théâtre, et des récits, d'aventures ou autobiographiques.
Le tout est traduit en créole, si ce n'est l'inverse car les deux langues, parallèles sur la page, sont d'une richesse complémentaires. le mot est précis, recherché, l'humour, la sensualité ou la colère présentes et la construction d'ensemble réfléchie.
Certains trouveront peut-être un style pompeux, un langage trop complexe et opaque, moi, j'ai pris du plaisir à lire cet univers créole, à rencontrer cet anoli au couteau jaune (l'anoli est un petit lézard local qui gonfle le cou en une petite excroissance jaune).
C'est peut être un recueil qui ne dépassera pas le cercle restreint des initiés du sérail guadeloupéen, pourtant les textes réunis dans ce livre, construit selon la logique du mouvement, traduisent la volonté d'un livre plein : il y a de la poésie, du théâtre, et des récits, d'aventures ou autobiographiques.
Le tout est traduit en créole, si ce n'est l'inverse car les deux langues, parallèles sur la page, sont d'une richesse complémentaires. le mot est précis, recherché, l'humour, la sensualité ou la colère présentes et la construction d'ensemble réfléchie.
Certains trouveront peut-être un style pompeux, un langage trop complexe et opaque, moi, j'ai pris du plaisir à lire cet univers créole, à rencontrer cet anoli au couteau jaune (l'anoli est un petit lézard local qui gonfle le cou en une petite excroissance jaune).
