Vous plaisantez, monsieur Tanner

Là Dubois a poussé un peu trop loin le bouchon  ce qui a donné un bouquin de très mauvais goût! Je ne suis pas contre le fait qu'un écrivain se laisse aller à la farce mais tout de même qu'elle soit de qualité ventrebleu ! Et qu'il ne prenne pas le lecteur pour un cornichon! Et qu'on ne vienne pas me dire qu'il l'a fait exprès Il a fait de l'alimentaire point à la ligne et même pour le prix modique d'un livre de poche c'est trop cher il aurait pu avoir le bon goût de l'offrir
Très déçu d'avoir été pris pour une nouille et de la part d'un anar c'est un comble Pas bien propre Monsieur Dubois pas bien propre. Quand on a de belles idées comme il semble en avoir on doit avoir plus de respect pour celui qui lit sa prose et refuser le système de produire absolument chaque année un livre quitte à ce que se soit une tambouille merdeuse Quand on a rien à dire on ferme sa g…  et surtout on ne sort pas sa petite merdouille pour toucher le chèque versé précédemment! Et on se rattrape la fois suivante

Même en période de vacances et donc de relâchement extrême j'ai les zygomatiques qui ont refusé systématiquement de s'étirer même en coin
Du convenu, du même pas réaliste, du même pas du clownesque, ça ne ressemble à rien, c'est tout très mauvais !
Les cornes Monsieur Dubois (car qui aime bien châtie bien!) et je ne plaisante pas
Je n'ose même pas le donner à Emmaüs! Je viens de comprendre pourquoi il y a des autodafés de livre: c'est dire!

Très déçu. L'humour a du rester au fond d'un pot de peinture ou collé sous la lame d'une truelle. Un livre d'humour? Vous plaisantez, Monsieur Dubois
Disons pour en terminer là que c'est comme un livre d'humour...avec l'humour en moins.

Vous plaisantez, Mr Dubois! Superviser des travaux ou écrire, il fallait choisir. Etre simplet ou romancier. Comme une poutre n'est pas un madrier, un livre (qui se respecte) n'est pas la brochure d'un crétin pour prévenir les nigauds. A moins de la faire sponsoriser par Messieurs Leroy et Merlin. Ou par ce cher Casto chez qui y a tout ce qu'il faut pour éviter l'artisan.
Franchement, Mr Dubois, sur votre chantier, vous n'aviez que du contreplaqué marin en guise de papier et un tournevis pour y graver vos pittoresques aventures de naïf du bâtiment? Vos neurones s'étaient dissoutes dans le white-spirit? La vision d'un seau vous rendait cruche par mauvais mimétisme?

D'accord, d'accord; les premières pages m'ont vu sourire d'autant qu'une entreprise de peinture dûment déclarée, elle, venait de saccager les chambres de mes enfants. Il n'y a pas de hasard: une amie me prêta votre opuscule après avoir écouté mes péripéties.
N'empêche! Avec tout le respect que je vous dois, vous n'avez pas honoré les Lettres comme vos artisans n'ont pas redoré le blason du bâtiment.

J'ai gratifié mes doigts de quelques coups de marteau pour avoir étiqueté votre ouvrage "littérature française" dans ma bibliothèque babelio.

Je n ai pas accroché.le sujet ne m a pas intéressé
Je me demande même comment on peut ecrire sur les déboires d une rénovation de maison!
Je n ai pas pu finir le livre.

Je découvre Jean Paul Dubois, #prixgoncourt2019 par ce récit léger, mené par une plume fort agréable. J'ai trouvé cette série d'anecdotes sympathiques mais n'aurais-je dû adopter une lecture moins 1er degré, ou faire des pauses pour ne pas avoir finalement, un condensé caricatural

Succession de péripéties ayant lieu pendant la rénovation d'une maison.... Lu sans plus....

souvenir de lecture...
pas aimé ce livre... ressemble trop à celui de Peter Mayle et ses déboires lors de la construction de sa maison...
je n'irai pas jusqu'à dire plagiat... mais franchement ça y ressemble.
Lien : http://mazel-livres.blogspot..