Un recueil de sentences et de proverbes à l'intérêt limité. L'ajout de notices explicatives plus fournies sur les courants de pensée de l'époque, les auteurs, le contexte historique auraient mérité leur place dans ce livre. Dommage.
C'est un livre à lire par petites touches. Son intérêt, comme tous les recueils de proverbes, de citations, est qu'il oblige le lecteur à y revenir toujours un peu.
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J'étais furieux de n'avoir pas de souliers ; alors j'ai rencontré un homme qui n'avait pas de pieds, et je me suis trouvé content de mon sort.
Celui qui demeure avec un homme de bien est comme celui qui fréquente une maison parfumée ; avec le temps il se transforme et lui devient semblable.
Kia – Iû, sage chinois
P.41
Il est plus facile de déplacer un fleuve que de changer son caractère.
Proverbe chinois
P.31
On ne fera pas vivre en solitude celui qui est fait pour converser avec les hommes ; on ne fera pas converser avec les hommes, celui qui est fait pour la solitude.
Tchouang – Tseu, sage chinois
P.31
Le plus grand conquérant est celui qui sait vaincre sans bataille. Lao-Tseu