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EAN : 9782330081751
304 pages
Actes Sud (16/08/2017)
3.61/5   222 notes
Résumé :
Miraculé du massacre des 43 disparus d’Iguala dans la nuit du 26 septembre 2014, le jeune Álvaro qui n’a plus rien à perdre fuit le Mexique dans une course poursuite avec le destin pour finir par se jeter dans la gueule d’un grand fauve de la Silicon Valley versé dans le transhumanisme.
Roman rhizome, exploration tentaculaire des réseaux qui irriguent et reformulent le contemporain, "L’invention des corps" prend le réel en filature pour mieux nous ... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (60) Voir plus Ajouter une critique
3,61

sur 222 notes
Quelle histoire folle, terrible, technique, scientifique, dure et réjouissante aussi !

Pierre Ducrozet m'avait déjà étonné avec Eroica, roman consacré au peintre Jean-Michel Basquiat. Ici, avec L'invention des corps - merci à Simon au passage – l'écrivain français qui vit à Barcelone, fait encore plus fort.
S'il décompose son roman en quatre mouvements, c'est d'abord et surtout l'histoire d'Álvaro qui m'a passionné. C'est pourquoi, j'ai été frustré un bon moment quand le jeune Mexicain, professeur d'informatique a été délaissé pour m'emmener dans les méandres d'internet, sur les pas des pionniers du net libre, luttant par tous les moyens contre ces géants qui confisquent tout pour leur seul profit : Google, Facebook, Netflix, Apple, Amazon, Uber…
Terrible, cette histoire l'est d'entrée avec ces étudiants d'Ayotzinapa, de l'état du Guerrero, à six heures au sud de Mexico. Chaque année, ils se regroupent, réquisitionnent des bus pour se rendre à la capitale, le 2 octobre, afin de rendre hommage à leurs camarades fusillés en 1968 par l'armée républicaine. Hélas, le 26 septembre 2014, les bus sont attaqués par la police et des bandes armées. C'est hyper violent. Les étudiants ont beau affirmer leurs intentions pacifiques, le but est clair : il faut les éliminer.
Álvaro échappe de peu au massacre et sa fuite est terrible, sa marche épuisante car il est blessé et profondément traumatisé. Sans se retourner, il n'a qu'une idée, fuir le plus loin possible de ce cauchemar. Il marche vers le nord, vers les États-Unis.
L'auteur m'a fait vivre tous les affres des personnes qui tentent de franchir la frontière, d'échapper à la police, aux douaniers, à la rapacité des passeurs et à la menace des propriétaires terriens, côté USA, qui chassent, au sens propre, les migrants.
Los Angeles puis San Francisco et voilà Álvaro qui rencontre la folie d'un homme, Parker Hayes, qui a bâti une fortune colossale grâce à internet et n'a qu'une obsession, créer un homme nouveau, éternel, en commençant par lui-même puisqu'il se sent si important…
Par des chemins assez compliqués qui m'ont dérouté un temps, Pierre Ducrozet remonte le cours de plusieurs vies pour des personnages qui auront ensuite un rôle important. Il détaille très bien toute l'histoire de ce qui fait maintenant notre quotidien, le web, la toile, sans jamais occulter les menaces, les dérives que nous devons absolument connaître.
Enfin, il y a Adèle, cette chercheuse en biologie moléculaire et cellulaire de Strasbourg qui aboutit à San Francisco et rencontre Álvaro. C'est là que le roman prend toute son ampleur, redevient palpitant sans que Pierre Ducrozet oublie les pionniers des logiciels libres, ces informaticiens géniaux qui réussissent à mettre à jour toutes les bassesses des puissants et retrouvent persécutés, emprisonnés.
L'invention des corps est un roman plein d'enseignements qui détaille un monde fascinant et dénonce toute l'absurdité de ceux qui tentent, ne sachant pas quoi faire de leur fortune, d'accéder à l'immortalité en utilisant, pour leurs essais, ceux qui sont dans la plus grande misère.

C'est un sujet important à connaître à l'heure où une pandémie mobilise quantité de chercheurs et des appétits féroces soucieux, avant tout, de bénéficier en premier des éventuelles découvertes.
Lien : http://notre-jardin-des-livr..
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Comment peut-on en 304 pages aborder autant de thèmes (de la Shoah à Hiroshima, en passant par le massacre d'Iguala au Mexique, et l'intérêt des cellules souches, l'arrivée d'internet et des réseaux sociaux dans notre monde moderne, de l'histoire, des réflexions sociologiques, et et tout ça sur une base de polar scientifique, au coeur du transhumanisme?

Pourtant j'ai cru devoir renoncer après les premières pages. Cette historie de prof d'informatique traqué et de massacre d'étudiants ne correspondait pas du tout à ce que j'espérais y trouver. le test des 80 pages a vaincu mes réticences , et même avant les 80 pages. Car rapidement on est entrainé dans une intrigue foisonnante, qui permet à l'auteur de très adroitement développer des chapitres d'histoire récente de notre civilisation et de les replacer dans un contexte temporel qui démontre bien la vertigineuse accélération des savoir-faire technologiques, pour le meilleur et pour le pire.

Deux camps, deux visions du monde, les nouveaux Robin des bois bousillent les réseaux informatiques des riches en quête d'immortalité, pour un thriller déjanté et hyperpointu, avec en trame de fond le thème du corps humain, de ses limites, celles même que l'on essaie de repousser en s'appuyant sur les avancées scientifiques , pour le meilleur e pour le pire.

A noter également une solide documentation tant dans le domaine de l'informatique que de la biologie.



Récompensé par le prix de Flore en 2017, et sélectionné pour le prix du roman d'écologie, ce roman est une vraie réussite tant sur la forme que sur le fond.
Lien : https://kittylamouette.blogs..
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La richesse des sujets abordés et la densité de son écriture sont telles que je ne sais par où commencer ma note sur ce roman ... Alors je résume : Alvaro Beltran est un jeune professeur mexicain de programmation informatique, en 2014, il échappe, traumatisé, au massacre de 43 étudiants par la police mexicaine. Il s'enfuit en Californie, où il rencontre Parker Hayes, un milliardaire de la Silicon-Valley qui lui propose de devenir le cobaye d'une expérience transhumaniste. Là, il retrouve aussi Adèle Cara, une biologiste recrutée par Hayes pour ses compétences en manipulations génétiques ... Cette fiction est le prétexte à une mise en abîme sur la naissance et l'Histoire d'Internet, et des questions qui découlent de cette modernité ; Transhumanisme et Utopie libertaire, ces deux termes étant contradictoires et antagonistes. On y croise donc des personnages en opposition, certains inventés et d'autres à l'identité avérée (voir Wikipédia, je sais ! On n'y échappe pas).
L'écriture est dense, sans fioriture, tous les mots ont un sens, pourtant la poésie émerge parfois ; une poésie biologique, organique (on est pourtant loin de Baudelaire). Quelques maladresses, comme des larsens. Les chapitres sont alternativement de factures littéraire classique, des flash-back datés ou comme des clins d'oeil au Web ; des sortes d'hypertextes rappelant l'Histoire de la « Toile » ou les fantasmes de l'immortalité. Il y a, certes, plus de questions que de réponses (personnellement je préfère ça), et l'ironie n'est jamais loin. C'est à la fois un roman actuel (je n'aime pas le mot Moderne), un road-trip, un roman d'amour, une réflexion sur notre société hyper connectée et sur un Humanisme qui reste éternellement à construire.
J'ai beaucoup aimé ce bouquin, et je pense (ou j'espère) que je l'aurais longtemps en mémoire, donc 5*. Allez salut.
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Non, ce livre n'est pas un chef d'oeuvre. Beaucoup de maladresse et de confusion Une écriture un peu facile, une construction qui peut déboussoler. Pourtant, la lecture reste passionnante en raison des sujets traités. On suit avec grand intérêt la fuite d'Alvaro du Mexique vers la Californie.On apprend beaucoup sur la politique et la vie mexicaine. Notre héros, brillant informaticien, va ensuite se retrouver dans la Silicon Valley ,non pas pour devenir hacker mais pour servir de cobaye , uniquement attiré par l'argent.C'est l'occasion d'une digression pour nous faire découvrir une histoire rapide de l'histoire de l'informatique à travers tous les grands noms qui font maintenant notre quotidien Google ,Facebook et les autres y compris les pionniers de cette épopée sans fin. Ces gens célèbres, riches et blasés qui , pour certains , n'ont qu'une seule peur, celle de la mort et qu'une seule ambition: créer l'immortalité. Nous ne sommes pas dans la science fiction, Nous rentrons dans le concret avec de découvertes bien réelles notamment sur les cellules souches .C'est tout à fait passionnant car tout à fait plausible. Il y a déjà beaucoup de chercheurs qui travaillent sur le sujet au quotidien avec , comme but ultime, de rajeunir nos cellules , de trouver des traitements en cancérologie ou dans d'autres maladies invalidantes. Avec ,bien sûr, le risque réel, à moyen terme, d'aller plus loin jusqu'à une immortalité mythique.
L'intérêt de ce livre foisonnant et un peu confus est de nous faire comprendre qu'il ne s'agit pas d'élucubrations d'un auteur de science-fiction mais bien d'une hypothèse certes encore lointaine mais pas si farfelue .L'avenir nous dira si c'est un livre prémonitoire
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Ce livre fait partie de la sélection du Prix des Lecteurs de la Fête du Livre de Bron 2018.
Il court, il court, Alvaro, pour échapper à l'horreur d'Iguala où furent massacrés 43 étudiants, pour échapper aussi à son pays, le Mexique !
Et moi, je cours , je cours, je cours derrière lui. Il a soif, j'ai soif ; il a faim, j'ai faim ; il a peur, j'ai peur.
Et lorsqu'il s'arrête enfin, je m'arrête aussi.
Est-il content d'être arrivé en Amérique ? Non. Alors, je ne le suis pas non plus.
Sa vie, soudain, s'est arrêtée. J'attends qu'elle redémarre pour le suivre à nouveau, pour courir à nouveau.
En attendant, Alvaro s'ennuie... et moi aussi.
Puis l'auteur quitte celui que je considérais comme le héros de l'histoire et part un peu dans tous les sens, avec de nouveaux personnages, et, surtout, de nouvelles technologies qui sont loin, très loin de ma compréhension.
Je m'égare donc un peu, dans la chronologie, dans les personnages etc mais je patiente.
Forcément Alvaro va se remettre à courir.
Et bien non, mais il va faire mieux et j'applaudis !!!
Conclusion : pour moi, très peu de bons moments de lecture, juste quand Alvaro est présent. Et ce n'est, hélas, pas souvent.
Sentiment très mitigé donc pour ce livre...
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critiques presse (4)
Actualitte
16 août 2018
Véritable road movie des temps modernes, écrit dans une langue époustouflante d’inventivité et d’originalité, ce très grand roman se dévore avec avidité.
Lire la critique sur le site : Actualitte
LeFigaro
20 octobre 2017
Les livres sur le projet transhumaniste d'« améliorer » l'homme par la génétique et la technologie fleurissent en librairie. Des romanciers s'emparent aussi du sujet avec des intrigues réalistes et contemporaines, notamment Pierre Ducrozet.
Lire la critique sur le site : LeFigaro
Bibliobs
02 octobre 2017
Evolution d'Internet, expériences transhumanistes... “L'Invention des corps” fait à la fois chaud aux neurones et froid dans le dos.
Lire la critique sur le site : Bibliobs
LeMonde
25 août 2017
Pour « L’Invention des corps », le romancier a composé un récit en réseau qui brasse informatique, génétique, transhumanisme – et violence. Ebouriffant.
Lire la critique sur le site : LeMonde
Citations et extraits (72) Voir plus Ajouter une citation
Lin trace des chiffres et des points, des virgules, des tirets, des lettres sur une feuille de papier. Deux jours plus tard, son père revient avec un ordinateur. [ ...] Lin commence à taper sur les touches et découvre que c'est encore mieux en vrai. Le code, c'était beau par écrit, mais en actes, c'est magique.
Il se penche sur le clavier.
Tim Berneers-Lee, lui, se relève, il veut relier tous les ordinateurs du CERN entre eux, non seulement au sein du bureau de Genève, mais dans le monde entier. Il pianote sur le clavier de son ordinateur NEXT. Comment faire accepter le système qu'il vient d'imaginer à tous les utilisateurs, sans l'imposer par la force, ce qui serait totalement contraire à l'éthique de ce réseau ? Si tout le monde ne suit pas, ça ne marchera pas.
Si ton système est le meilleur, il s'imposera de lui-même, dit le directeur.
Depuis qu'Arpanet a été créé par les dirigeants de l'armée américaine, en 1969, un réseau a lentement pris forme autour de quelques noeuds, reliant en premier lieu les centres militaires et quelques universités. Très peu de personnes ou d'institutions y ont accès, la structure tient la route mais elle est intrinsèquement limitée.
- On pourrait se déplacer comme dans une rue, et les vitrines présenteraient toute la mémoire du monde, dit Tim Berneers-Lee.
Lin commence à créer son propre code, celui d'avant l'ennuyait.
- ça y est, dit Tim Berneers-Lee. J'ai le nom.
Plusieurs mois ont passé, on est en mai 1990.
- Le World Wide Web. WWW, c'est effrayant, c'est bien.
Un an plus tard, en septembre 1991, alors que le projet World Wide Web vient d'être annoncé publiquement et mis en ligne en libre accès, Tim Berneers-Lee reçoit un message d'un certain Lin Dài, onze ans, qui lui propose ses services: " Je maîtrise le langage HTML, écrit-il, je veux participer à cette aventure, c'est la mienne aussi." Tim Berneers-Lee relit le message. Le langage HTML, basé, comme il l'a dit dans son intervention, sur le langage SGML, n'est accessible nulle part, comment ce gamin peut-il l'avoir appris ,

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Tous les ans, le 2 octobre, place des Trois-Cultures à Mexico, les étudiants de Guadalajara, d’Oaxaca, de Veracruz et d’ailleurs se réunissent en hommage à leurs camarades fusillés en octobre 1968 par l’armée républicaine. Sur cette même place, Hernán Cortés et ses troupes avaient massacré les quarante mille derniers combattants aztèques le 13 août 1521, capturant leur chef Cuauhtémoc, avant de détruire entièrement la ville de Tenochtitlán et son fabuleux réseau de canaux et d’îlots pour y fonder Mexico, capitale du vice-royaume de Nouvelle-Espagne.
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L’Histoire et la société ont brutalisé leurs corps comme ceux des autres. Ce sont des siècles de force exercée contre leurs squelettes qui ont modelé leurs silhouettes. Des générations de coercition, de pliage, de froissement, de dilatation, d’expansion, de démolition. L’espace du dehors et du dedans sans cesse en opposition. Il s’agit pour eux de refaire tout le chemin en sens inverse pour retrouver l’agilité, la puissance, l’aisance perdue. Il faut remonter en soi jusque-là et c’est une route sans fin.
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Cette ville (L.A.) absurde, horizontale, démesurée, abasourdie de soleil et de fantômes, cette ville qui n’est pas une ville mais un chancre, une excroissance d’elle-même, finit presque par lui plaire. Il y a quelque chose de joyeusement désespéré qui le pousse à marcher à l’aveugle, à être les seuls à marcher à l’aveugle, à trouver cela fascinant.
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A travers cette folle histoire, aux allures à la fois de polar ou roman de science-fiction, l’auteur évoque les grandes découvertes scientifiques et techniques des XXème et XXème siècles : Internet, le réseau du Net, la science régénérative, les grandes expérimentations sur le cerveau, le transhumanisme, et même l’utopie de la création d’un nouveau pays.
Partout le corps est présent : corps mutilés ou morts , corps modifiés, transformés, corps bouillonnants de cellules, mais aussi corps libérés …
Des femmes et des hommes tentent de reculer les limites de la nature pour atteindre les limites de l’infini, conjurer la mort ; tandis que d’autres tentent de se réconcilier avec leur corps.
Il évoque également le San Francisco des années 70, et ses utopies, puis la progression vers un système marchand où l’argent et le profit sont rois, au détriment des valeurs prônées quelques décennies plus tôt.
L’écriture est très riche et dense, et aussi très variée. Elle change selon les évènements, les situations, les états d’âme des différents personnages.
Le déroulement de l’histoire est tantôt très rythmé, rapide, tantôt plus lent et descriptif.
Quelques pages sont consacrées à des « exposés » plus ou moins scientifiques.
Au plan de la structure, l’auteur a voulu rompre avec la linéarité du roman classique pour adopter ce qu’il désigne sous le nom « d’architecture rhizomique ».
Mon avis : c’est un ouvrage intéressant, très dynamique, à l’écriture très riche. Les thèmes abordés sont nombreux et intéressants ; cependant, l’auteur ne cite jamais ses sources lorsqu’il évoque des découvertes scientifiques et/ou technologiques, ce qui est gênant.
Quelques passages sont un peuennuyeux ; on note également certaines « redites ».
Au plan de la structure, l’idée théorique du rhizome est intéressante, mais son application pratique l’est moins : le roman reste confus, un peu brouillon, désordonné. Le lecteur a du mal à ne pas se perdre au milieu de tous ces rhizomes.
De même, il alterne les genres : roman d’aventures, polar, science-fiction, tout y est … là encore on s’y perd.
Le manque de sources scientifiques ajoute à la confusion : quand dit-il vrai et quand laisse-t-il son imaginaire s’emballer ?
On aurait aimé quelques chose de plus construit, de plus abouti, ou bien inversement un texte un peu fou, sans information documentaire.
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Vidéo de Pierre Ducrozet
Lecture par l'auteur accompagné de Rubin Steiner
Les variations, ce sont celles de la musique et du coeur, c'est le rythme de l'existence, ses résonances, ses échos, au sein de trois générations d'une même famille : Antoine le grand-père pianiste de jazz, Paul son fils, chasseur de sons, et Chiara, la fille de Paul, remixeuse des héritages. le lien d'amour et de filiation, ce qu'il crée de puissance et de malentendus, sont au coeur de ce roman. Porté par l'énergie et la sensualité propre à l'écriture de Pierre Ducrozet, c'est aussi une traversée incarnée d'un siècle de musique.
Le musicien électro Rubin Steiner accompagne cette lecture.
À lire – Pierre Ducrozet, Variations de Paul, éd. Actes Sud, 2022. À écouter – Rubin Steiner, « Say Hello to the Dawn of Paradox », Platinum records, 2019.
+ Lire la suite
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