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Citations sur Conquistador, tome 4 (20)

L’or mène à leur perte tous ceux qui le convoitent.
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- Notre ancienne captive s’est transformée en une redoutable guerrière à ce que je vois…
- Rends la liberté à une femme, elle te montrera ce qu’elle vaut.
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- Tout pouvoir est condamné à s’étendre. Sinon, il périt. C’est pourquoi il ne s’embarrasse guère de scrupules. On apprend ça très tôt dans mon pays. Comme on apprend à coucher avec ceux qui le détiennent pour survivre.
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On n’espère rien avec les traître. On prévoit juste le pire…
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Le bassin de la Huerde. Les guerriers de l’empereur Moctezuma progressent en silence. À leur tête se trouve Barbo Bezan, accompagné de son fidèle Zampero. L’homme de Dieu est prêt pour les carnages. Les carnages, c’est sa messe quotidienne. Cette fois-ci, il est aidé par l’ancien guerrier Hibura, banni par sa tribu, traître à son clan. Mais Mezago est inquiet, comme désorienté. Le village semble désert, rien ne bouge, rien ne s’entend. Où donc sont-ils partis, ceux qu’il appelait autrefois ses frères ? Ont-ils pris la fuite, ont-ils été prévenus de la venue de Barbo Bezan ? Celui-ci a rejoint Mezago et c’est toute la troupe, à présent, qui s’enfonce dans le village. Le regard des guerriers fouille le sol à la recherche d’indices. Jusqu’à ce que Mezago repère un Tichum au pied d’un arbre. Alors la mémoire lui revient… Trop tard cependant !
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Et la jungle vint à lui… Lui qui avait sucé la sève de l’Oqtal. Lui qui s’était emparé de l’esprit quoi bouge. Lui qui avait survécu. Et dans chaque tache du pelage des jaguars se dessinait une légende nouvelle… La légende du Dieu Txlaka qui s’appelait jadis Hernando del Royo.
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Et c’est ainsi que dans la nuit du 30 juin 1520 la petite armée de Cortés – ils n’étaient guère plus de 300 hommes – quitta la cité de Tenochtitlan sous une pluie battante car il semblait que même le ciel voulût les accabler de son courroux. Mais très vite la fuite devint une débandade.
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Servir Moctezuma est un honneur. Servir l’Espagnol est une servitude. C’est là toute la différence.
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C'est ainsi que dans la nuit du 30 juin 1520 la petite armée de Cortès -ils n'étaient guère plus de 300 hommes - quitta la cité de Tenochtitlan sous une pluie battante car il semblait que même le ciel voulût les accabler de son courroux.
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Et la jungle vint à lui. Lui qui avait sucé la sève de l’oqtal. Lui qui s’était emparé de l’esprit qui bouge. Lui qui avait survécu. Et dans chaque tache du pelage des jaguars se dessinait une légende nouvelle. La légende du dieu Txlaka qui s’appelait jadis Hernando del Royo.
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