Toujours aussi désargenté, Giacomo C oeuvre pour séduire la riche nièce ( mais fort laide, il faut le dire ) d'une ancienne connaissance.
En parallèle, il est amené à s'interroger sur des meurtres mystérieux qui semblent avoir un lien avec Angelina.
Angelina, ancien agent du marquis de San Vere, se retrouve condamnée à mort. En, effet, lors de l'arrestation de Parmeno, elle avait essayé d'aider se dernier et a par ce geste trahi son employeur, c'est à dire la république de Venise.
Venise est toujours aussi bien reconstituée , les dessins permettant vraiment au lecteur de s'évader dans cette ville magnifique.
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Giacomo est totalement désargenté et monte une petite escroquerie pour séduire la riche nièce de Bagratino, son ancien protecteur. le premier problème est que ladite nièce est très laide. le second est qu'il a dû utiliser les services du Chevalier et qu'ils ne sont pas du tout gratuits. Conséquence, il est encore plus pauvre et doit mettre dans son lit la mocheté.
A la fin de "La bague des Fosca", Angelina, croyant que Parmeno était mort, a tué le moine fanatique et se retrouve maintenant à son tour en prison, mal défendue par un avocat de pacotille. Elle risque la pendaison, lâchée par son chef le marquis de San Vere. D'autant que ce dernier a fort à faire car de mystérieux cadavres sont découverts un peu partout à Venise, tous porteurs d'un étrange message…
Le même cycle depuis "Le maître et son valet" continue avec cet album intitulé "Angelina". Maintenant que Parmeno est sorti de prison, c'est Angelina que Giacomo doit sauver. Il lui faut faire vite car elle risque d'être condamnée à mort. Pour cela il lui faut de l'argent et il se mêle donc de l'enquête que mène le marquis de San Vere.
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Dufaux lève un peu le pied dans ce tome 7 où plusieurs intrigues s'entrecroisent sans que l'on voie réellement un fil rouge se détacher.
Angelina, pour avoir poussé un moine inquisiteur dans un puits d'où il n'est pas ressorti, est emprisonnée. Son procès se déroule mal et Giacomo essaie de payer les services d'un avocat davantage intéressé par les ducats que par la remise en liberté de sa cliente.
En même temps, on assiste à une série de meurtres. Les victimes n'ont pas de rapport entre elles. Des hommes, des femmes... On retrouve dans leur gorge un papier avec deux lettres, différentes. N, A, E, I, A encore...
A court d'argent, Giacomo essaie tout ce qu'il peut pour faire rentrer le nerfs de la guerre, secondé par Parmeno qui se mortfie toujours un peu d'avoir été "presque Duc"...
Un tome sympathique, qui flotte un peu. le dessin est toujours très précis, fidèle à la Cité des Doges.
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Après avoir tué le bourreau de Parmeno, Angelina passe devant les juges....elle risque la peine de mort. le sang de Giacomo ne fait qu'un tour et il va chercher à la défendre !
Pendant ce temps, plusieurs meurtres particulièrement odieux, ont lieu et semblent avoir un lien avec Angelina.
Giacomo toujours aussi désargenté, cherche à séduire une fille fort peu jolie...pour y gagner une bonne bourse, rembourser une dette et éviter ainsi quelques trucs qui lui pendant au nez.....
Une série aux notes humoristiques certaines !
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Tes gages ? Mais bougre d’âne, puisque je te dis que je n'ai plus un sou ! Mes poches sont percées, mes perruques sont mitées, mes souliers crottés ! Et voilà comment je dois me présenter devant le monde !
Avec son nez qui vous éborgnerait une girafe, ses dents de belette affairée, sa poitrine plate, ses yeux de toupie folle...Et cette haleine de taupe crevée...Ah ! Il fait une bonne affaire, mon maitre...A l'office ! A l'office, moi !!! Un ancien duc !...Enfin...presque !!!
- Giacomo C : Parmeno… Je suis ruiné ! Ne souris pas. Jamais je n’ai connu situation plus dramatique… Me reste le déshonneur ou la mort… J’ai du mal à choisir…
- Parmeno : Pour le déshonneur, je ne sais pas. Pour la mort, j’aimerais que vous payiez mes gages avant…
- Parmeno, d'ici la fin de la semaine, la fille se trouve dans mon lit et sa bourse dans mon armoire.
- Il vaudrait mieux le contraire, mon bon maitre.
Murena - la série historique culte