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Giacomo C. tome 12 sur 15

Griffo (Illustrateur)
EAN : 9782723437271
48 pages
Glénat (16/05/2002)
3.64/5   29 notes
Résumé :
Tout commence par un duel à l'épée entre une belle comédienne, la Fiammina, et le Prince Floriano di Gazzi. Le traité établi est simple : Si le Prince désarme ou touche la Fiammina, elle lui appartiendra pour 10 jours, de corps et d'esprit. En revanche, si la demoiselle désarme ou touche le Prince, il renonce à poursuivre la troupe de la Fiammina. Mais, sans pitié aucune et dès le premier coup d'épée, elle tue froidement le jeune Prince. C'est sa manière à elle de r... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (4) Ajouter une critique
Mais qui est donc la Fiammina ?
Jolie et talentueuse comédienne ou redoutable bretteuse ?
Cette jeune femme tourmentée tue froidement les jeunes nobles qui veulent la séduire en les provoquant en duel.
La République de Venise va missionner Giacomo C pour arrêter cette série de morts . Ce dernier va d'abord jouer le rôle d'observateur pour essayer de comprendre et d'en savoir plus sur qui est La Fiammina.
Les dessins sont toujours aussi beaux, que ce soit les paysages ( Venise bien sur ) et les personnages qui sont représentés avec minutie et des jeux d'ombre et de lumière qui donnent un cachet unique à cette série.
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La Fiammina est une jeune comédienne qui défie en duel tous les hommes qui veulent coucher avec elle. Mal leur en prend car elle gagne à chaque fois et les tue. le doge s'en émeut car elle décime la fine fleur de l'aristocratie vénitienne. Il ne peut exiler la troupe de théâtre car elle est protégée par un membre de sa propre famille et charge donc le marquis de San Vere de dégoter une fine lame qui pourra vaincre la Fiammina. L'on sait tous quel va être le choix du marquis, mais Giacomo sera-t-il vraiment à la hauteur ?

Sur une trame assez similaire à celle de « La dame au coeur de suie » (aristocratie vénitienne en danger ; Giacomo prié de venir à la rescousse), « La Fiammina » est le premier épisode d'un diptyque très important dans la série puisque de nombreuses révélations sont faites sur le passé de Giacomo et sa famille.
Dufaux et Griffo ne nous avaient pas pondu un aussi bon album depuis quelque temps déjà. Peut-être que la série ne va finalement pas sombrer dans la médiocrité au fil des tomes, comme beaucoup d'autres !
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La fiammina, c'est une actrice d'une grande beauté. Elle est experte en escrime et défie les nobles qui veulent la séduire en duel. Ils gagnent, elle couche... ils perdent, ils meurent. A ce "jeu", la fiammina ne perd jamais, au point que cela énerve le doge qui mandate San Vere. Celui-ci doit s'arranger pour mettre fin à l'hécatombe de nobles.

Le "volontaire chinois" est tout trouvé. Giacomo... On efface ses dettes et il efface la fiammina. Mais les choses ne sont pas aussi simples. Surtout quand Giacomo tombe amoureux de la fiammina, et vice versa.

Un dessin impeccable. Un scénario très bien pensé, avec une tension et une progression. C'est habile et réfléchi.

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Ce tome est le premier d'un diptyque.
Encore une fois, San Vere va profiter que Giacomo C. est désargenté, pour lui donner une mission : mettre fin à la série de duels qui opposent une Fiammina, une habile comédienne, à de nobles serviteurs de la sérénissime.
San Vere compte sur le charme de Giacomo C. pour approcher la jeune fille et compte sur son son habileté à l'épée, pour la supprimer.
Deux problèmes majeurs : le jeune fille est particulièrement habile.....et surtout, avant de l'affronter, Giacomo C. découvre que le jeune fille n'est autre que ...sa demi-soeur !
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Citations et extraits (4) Ajouter une citation
Un amant est libre ! Un amant s’offre, se prend. Votre sœur l’a bien senti qui s’est donnée dans un bel élan. Votre femme l’a bien senti qui s’est émue de mes regards… Et votre mère, vaillante pour ses 99 ans, l’a bien senti également qui m’a ouvert sa couche. Ah ! L’abominable odeur de putréfaction qui en sortit ! Je vacillai mais une belle ardeur me reprit qui me fit escalader des monts et des fosses auxquels je n’étais point habitué.
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- Ah ! je ne serais donc jamais un homme libre ? Mais non ! Le spectre de la ruine est là, qui me tend les bras!
- Oh ! il les a déjà laissés tomber depuis longtemps, mon maitre. Vous l'avez lassé à force de jouer au vrai pauvre ou au faux riche...à moins que ce ne soit aux faux pauvre ou au vrai riche !
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- Vous rêvez peut être d'un palais, de draps de satin ?
- Ce n'est pas la coquille qui fait l'œuf, signorina.
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il n'existe pas de femmes farouches, mais incomprises, oui...
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