Peut-être que la justification de cette BD est de représenter Staline en vampire assoiffé éternellement de sang, ayant effacé-dévoré tous ceux qui l'ont aidé, soutenu, suivi...
Mais à part cela... ?
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Envoûtante, effrayante, répugnante, séduisante... Cette bande dessinée Koba joue sur les chauds et surtout sur les froids. Captivante, originale, belle, elle offre ce que deux artistes de grand talent savent faire ensemble. Autant dire un travail de grande qualité !
Lire la critique sur le site : Sceneario
Le message de cet album, sa morale, sont limpides : par sa soif du sang, par l’immortalité de son nom et de son "œuvre", Staline est un vampire, bien plus terrifiant et cruel que ces créatures qui ne font que se nourrir et vivre en marge d’une société qu’ils plaignent et méprisent à la fois...d’un point de vue formel, le dessin de Penet est superbe et retranscrit à merveille le contraste entre une URSS austère subissant le joug de Staline et une communauté de vampires immortels à l’érotisme omniprésent.
Lire la critique sur le site : Bedeo
Capitalisant sur le trait de Régis Penet, Koba reste avant tout un exercice de style dont la dimension allégorique, s'avère parfois discutable, notamment au regard de la dernière planche.
Lire la critique sur le site : BDGest
On referme ce one-shot avec un drôle de sentiment, entre l’envie de rire jaune face à une idée si saugrenue et mal mise en scène, et l’énervement de voir deux talentueux auteurs se rater à ce point.
Lire la critique sur le site : BoDoi
Murena - la série historique culte