AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Le Bois des Vierges tome 1 sur 4
EAN : 9782221107270
56 pages
Robert Laffont (14/02/2008)
3.81/5   96 notes
Résumé :
" Laissez-moi vous inviter à une certaine noce en vous prévenant toutefois que rien ne se déroulera comme prévu... Ce devait être un moment historique entre les Bêtes et les Hommes... "
Que lire après Le Bois des Vierges, tome 1 : HacheVoir plus
Isabellae, tome 1 : L'Homme nuit par Gabor

Isabellae

Gabor

3.08★ (260)

6 tomes

Stonehenge, tome 1 : Erin par Corbeyran

Stonehenge

Éric Corbeyran

3.29★ (43)

2 tomes

Prophet - Intégrale par Lauffray

Prophet

Mathieu Lauffray

2.93★ (305)

6 tomes

Critiques, Analyses et Avis (25) Voir plus Ajouter une critique
3,81

sur 96 notes
5
6 avis
4
17 avis
3
1 avis
2
1 avis
1
0 avis
Des lois qui n'acceptent pas la différence.
-
Ce tome est le premier d'une trilogie qui constitue une histoire complète et indépendante de toute autre. Sa première édition date de 2008. Il a été réalisé par Jean Dufaux pour le scénario, et par Béatrice Tillier pour les dessins et les couleurs. Il s'agit de leur première collaboration. Par la suite, ils réaliseront le cycle des Sorcières pour la série La complainte des landes perdues.

C'est un récit que le narrateur doit révéler. Il invite le lecteur inviter à une certaine noce en prévenant toutefois que rien ne se déroulera comme prévu. Ce devait être un moment historique entre les bêtes et les hommes. Ce ne le fut aucunement. Par une froide nuit de janvier… Une immense propriété seigneuriale recouverte d'un manteau de neige, des badauds s'en approchent, la torche à la main. Les fenêtrent déversent de la lumière vers l'extérieur. À l'intérieur, Loup-de-Feu, un haute-taille, s'éponge la joue : la tête de ce jeune marié lui tourne. Aube, la mariée, elle, semble se porter mieux. À une question d'une servante, elle répond que cela doit être les habits qui incommodent son époux. Il faut qu'il prenne patience, ils lui seront bientôt ôtés. Maître Arcan, un humain, propose à Loup-de-Traille de porter un toast à leurs enfants, jeunes mariés, qu'ils puissent connaître belle et longue vie. Pour Loup-de-Feu, il a fait percer cinquante tonneaux de son meilleur vin. le beau-père répond qu'il a fait pendre dix gueux, dix bêtes de basse taille qui encombraient les chemins du domaine de son hôte et qui semblent, à présent, amuser la populace. En effet, celle-ci a entonné une ritournelle moqueuse sous lesdites bêtes.

Dans le renfoncement d'une des fenêtres de l'escalier, Salviat, le frère d'Aube, regarde la populace en s'échauffant. Il se dit qu'ils dansent pour quelques pendus, sans comprendre que des bêtes mortes, il n'y en a pas assez, il n'y en aura jamais assez. Deux nobliaux viennent le quérir. Ils l'informent que le chambellan va donner le signal de la danse. Sa soeur ouvre le bal. Il n'y a pas de quoi se morfondre, et ce moment était tellement attendu. La paix enfin signée entre bêtes de haute taille et humains ! Il y a peu encore, c'était impensable. le sang coulait, personne n'entendait raison. Salviat acquiesce : oui, le sang coulait, qui sait il peut couler encore… le chambellan effectue son discours : il demande aux seigneurs, aux bêtes de haute taille, aux gentes dames de prêter attention au pacte nouveau. Que semblables et différents s'accordent ! Que poil et peau s'unissent ! le jeune couple de mariés ouvre le bal. Les autres invités les rejoignent sur le grand espace entre les deux rangées de tables. Dans l'assistance, deux loups regardent le couple danser avec regret : c'est une tristesse que Loup-de-Feu danse ainsi avec cette peau froide, blanche, sans poils, c'est par trop de sacrifices. Son interlocuteur, loup aussi, lui répond que cette nuit son époux n'en fera qu'une bouchée, il en faut plus pour l'appétit d'une bête. Deux seigneurs humains se font une réflexion miroir : une si jolie demoiselle dans les bras de ce monstre et elle ne paraît même pas dégoutée. le dégoût viendra sûrement avec la nuit…

Ce scénariste écrit parfois pour l'artiste qui met en images son histoire, en prenant en compte ses points forts, ses envies de dessin. le lecteur éprouve tout de suite la sensation qu'il en est allé ainsi pour la présente collaboration. La couverture ne livre pas beaucoup d'informations sur l'histoire. Les premières pages mettent tout de suite en place le contexte général et l'enjeu. L'histoire se déroule dans une sorte de bas moyen-âge dans lequel plusieurs races d'animaux disposent d'une conscience et de la capacité de se mouvoir sur leurs antérieurs comme des hommes : les loups, les lynx, et il est fait mention des ours et des renards. le règne animal semble divisé en deux catégories : les basses-tailles et les hautes-tailles, les loups, les lynx et les renards faisant partie de cette seconde catégorie. Un mariage qui se termine par un assassinat, un pacte rompu entre humains et bêtes. Une fois cette première phase passée, la guerre se déchaîne dans toute sa létalité. Chaque camp va dépêcher un émissaire pour rallier un meneur capable de galvaniser leurs troupes. Sur ce territoire, se trouve un lieu préservé des combats : le Bois des Vierges. Cela donne une lecture facile et simple, où tout semble se dérouler avec un naturel aussi évident qu'inéluctable, des aventures baignant dans le fantastique de ces animaux dotés de conscience et capables de postures anthropoïdes, dans un passé alternatif.

Le regard du lecteur est attiré dès la couverture : une superbe illustration finement ouvragée, que ce soit dans l'édition de Robert Laffont ou dans la réédition de Delcourt. Une très belle femme avec un visage à la géométrie très pure, et un regard pas commode, un soin minutieux porté aux étoffes. Les pages sont réalisées par une artiste complète, dessins et couleurs. Chaque dessin repose sur des traits de contour fins et assurés, pour une qualité descriptive avec un niveau élevé de détails, tout en conservant une lisibilité immédiate. Les couleurs viennent étoffer les dessins, à la fois pour l'ambiance lumineuse, pour rehausser le relief de chaque surface, pour donner des indications supplémentaires sur la texture d'un matériau. Dès la première case, le lecteur peut se projeter dans le lieu : une longue plaine recouverte de neige, avec une somptueuse et vaste demeure à quelques dizaines de mètres. Tout du long du récit, il peut ainsi éprouver la sensation de se trouver à côté des personnages et de regarder autour de lui pour mieux observer le lieu, en intérieur comme en extérieur. La vaste salle du banquet avec les deux fauteuils en bois finement ouvragés pour les mariés, les longues tentures le long des montants des fenêtres, les lustres, les tables chargées de mets fumants. Les couloirs et les escaliers du château avec les pierres de taille, les tentures, les colonnades, les porte-bougies, le lit à baldaquin, les portes massives.

Par la suite, le lecteur peut pénétrer avec les personnages dans la salle de commandement du prince des armures en charge des armées des humains, puis dans celle des loups. Il accompagne un émissaire dans le château de Loup-Gris à Rocaille, et l'autre dans un monastère, puis dans une église, celle des trois-pendus. Il est visible que l'artiste aime les belles pierres et qu'elle prend plaisir à représenter ces constructions pour les rendre plausibles et consistantes afin qu'elles soient le plus réelles possible pour le lecteur. Béatrice Tillier apporte le même soin à représenter les tenues vestimentaires : les magnifiques robes du bal des mariés, les pourpoints des seigneurs, les armures des hommes à la guerre, les habits plus adaptés au mouvement des loups, le riche habit du prince des armures, les chauds vêtements de voyage de Loup-de-Traille, les vêtements plus simples de Hugo, chevalier d'aventures et de conseils. le lecteur se régale des caractéristiques et des spécificités de ce monde si concret grâce aux dessins.

Il apparaît également que le scénariste ne se focalise pas uniquement sur les points forts de l'artiste : il a également pensé le déroulement de son récit en termes visuels. Il évite les discussions trop longues ou trop statiques, et il intègre des moments purement visuels. le lecteur se surprend à ralentir son regard pour mieux apprécier une image ou une séquence sortant de l'ordinaire : les animaux basses-tailles pendus pour divertir les gueux l'envol d'une chouette des neiges pour attraper une musaraigne dans ses serres, le motif d‘une tapisserie, une double page conçue sur des cases de la largeur des deux pages, la mise en parallèle des deux pages consacrées à la prise de décision du prince des armures, et les deux consacrées à la prise de décision du seigneur des loups, les jeux et la curiosité des enfants de Loup-Gris et Dame Goupil en voyant arriver leur grand-père, la découverte de la nature de Porel et Galvain, la progression à cheval de Hugo sur un chemin de pavés dans la campagne, l'étrange cérémonie cultuelle dans la cathédrale en ruine sous un ciel rouge, et bien sûr la mise à mort de la dernière séquence. Grâce au talent de l'artiste, tout cela apparaît comme allant de soi dans ce monde Fantasy, le lecteur éprouvant le plaisir de l'émerveillement premier degré et de l'effroi devant les morts.

Une petite trilogie de Fantasy fort alléchante de prime abord. Une lecture délectable grâce à une narration visuelle délicate et minutieuse, sans être précieuse ou maniérée. le lecteur se laisse prendre au charme de ces pages dès la séquence d'ouverture, grâce aux dessins qui lui donne à voir un monde pleinement réalisé, solidement concrétisé, avec un goût pour lui donner de la consistance, de la crédibilité, pour favoriser une suspension consentie d'incrédulité. L'histoire se révèle être linéaire et d'une simplicité la rendant immédiatement accessible et appréciable. Deux forces en place qui se livrent la guerre alors que le pacte de paix semblait gagné. Les hommes et les loups s'affrontent dans une guerre meurtrière. Il existe des individus qui ne souhaitent pas y participer, mais la guerre se propage partout, contraint tout le monde à prendre parti. Lors des batailles causant des morts innombrables, le commentaire souhaite Force et courage pour les bêtes qui se jettent à corps perdu dans la bataille. Jusqu'au sacrifice final où chair et poil se couchent dans la boue au nom de lois caduques et imbéciles. Des lois qui n'acceptent pas la différence.
Commenter  J’apprécie          332
Ce soir, c'est jour de noces. La belle Aube va épouser Loup-de-Feu et cette union va celer la paix entre humains et bêtes. Hélas, la belle repousse la bête et s'enfuit laissant son futur époux baignant dans son sang. La guerre va renaitre avec encore plus de fureur.

Ce premier tome est une très bonne introduction.
Dans cet univers fantasy, les loups s'opposent aux humains et le mariage devant conclure une paix durable est un échec. Aube, qui est la cause de cette guerre, s'enfuit et se cache dans le bois des vierges. Une forêt sacrée, royaume des hybrides mi-humain, mi bête (centaure, sirène, harpie et faune) mais aussi des vierges. Pendant ce temps chaque clan essaie de renverser la tendance en s'offrant un combattant de choix. Ca sera Loup-gris pour les bêtes, et ça sera Clam pour les humains.
l'histoire se met en place maintenant que le décor et les personnages sont plantés.
Une jolie réussite qui tient aussi et pour beaucoup dans le très beau dessin de Beatrice Tillier qui a relevé le défi de l'anthropomorphisme tout en laissant aux bêtes de vrais gueules animales.
Commenter  J’apprécie          170
Entre les humains et les bêtes de haute taille, un pacte vient d'être signé pour mettre fin à la guerre qu'ils se livrent. Et c'est une noce qui va symboliser l'union nouvelle de ces deux peuples qui ne peuvent se souffrir car poils et peau ne vont pas ensemble. Elle doit unir deux héritiers : un seigneur loup et une princesse humaine, Aube. Mais Aube s'allie à son frère pour, au soir de son mariage, trahir et tuer son mari. Alors que ce meurtre rouvre les hostilités entre loups et humains, Aube s'enfuit pour trouver refuge dans le bois des vierges, où elle sera inaccessible …

C'est Jean Dufaux, scénariste auquel on doit notamment « La complainte des landes perdues », qui est aux commandes de cette trilogie dont le premier tome démarre sur les chapeaux de roue. Nous voilà d'emblée plongés dans une ambiance moyenâgeuse où les humains affrontent les animaux (anthropomorphisés), lesquels s'opposent entre eux : les bêtes de haute taille méprisent celles de basse taille (lynx et renards, entre autres), auxquelles elles refusent de s'allier face aux hommes devenus encore plus dangereux depuis qu'ils se sont équipés d'armes à feu, les arcs-de-buse.
Le pacte était censé mettre un terme à des années de guerre, mais la haine raciale est toujours bien présente entre les humains et les bêtes et l'assassinat perpétré par Aube et son frère vient mettre le feu aux poudres.
On perd de vue Aube (bien qu'elle ait les honneurs de la couverture du volume) et le récit, plein de bruit et de fureur, nous narre les conséquences dramatiques de son acte de rébellion dicté par le dégoût. On découvre aussi le frère du seigneur loup marié-tué, exilé auprès de l'élue de son coeur, une Dame Goupil choisie malgré le rejet dont la race des renards est l'objet chez les loups.

Ce premier tome, riche en péripéties, s'achève sur la découverte d'un mystérieux personnage, le seigneur Clam, censé apporter son aide pour mettre un terme au conflit hommes-loups mais aussi ramener Aube à son père … Il nous présente un univers cohérent et sans manichéisme et le dessin de Béatrice Tellier (qui m'a rappelé celui de la série L'Epervier) en offre un rendu à la fois agréable et dynamique, très convaincant.
Et hop, me voilà suffisamment ferrée pour enchaîner sur le tome suivant (c'est l'avantage de lire une série parue il y a déjà quelques années, repérée en cherchant les auteures ou dessinatrices SFFF, pour participer au challenge multi-auteures SFFF).

Challenge multi-auteures SFFF
Commenter  J’apprécie          100
Une série que j'avais hâte de lire, tant pour les dessins de la très talentueuse Béatrice Tillier que pour cet univers fantastique.
Ce premier tome est très prometteur. Une histoire à laquelle je ne m'attendais pas vraiment. Une guerre entre humains et animaux, un espoir de paix, et la haine qui repart de plus belle. Un récit sur l'incompréhension, l'intolérance et des préjugés. Sans être moralisateur, une vision et une remise en question qu'on peut transposer à notre civilisation. Ce premier tome n'est pas léger comme on pourrait s'y attendre. On a de l'action, de la politique et des histoires de famille. le récit va aussi bien du côté des animaux que des humains pour avoir une vision complète et touts les enjeux. Sans prendre partie, sans avoir de méchants ou de gentils.
J'ai été assez surprise de ne pas vraiment avoir de personnages principaux dans ce tome. Il y a des personnages centraux qui ont des rôles plus importants mais Aube n'apparait que dans les premières pages. Pour autant on ne se sent pas perdus. On apprend à connaitre les acteurs principaux de cette guerre, une histoire, des sentiments et de la profondeur leur sont donnés. Ils sont tous intéressants et assez attachants.
Les dessins sont sublimes, très détaillés. Les animaux sont très réussis, expressifs, très animal avec une touche d'anthropomorphisme. Les couleurs sont douces et lumineuses. Pas de faux pas de Béatrice Tillier qu'on prend toujours plaisir à admirer son travail soigné.
Commenter  J’apprécie          90
L'éditeur Robert Laffont nous offre là un fabuleux conte épique qui ravira les grandes personnes. Orchestré par un duo terriblement efficace, Jean Dufaux au scénario et Béatrice Tillier au dessin, « le bois des vierges » nous emmène au coeur d'un conflit qui oppose les hommes aux bêtes de Haute Taille. Ce qui pourrait paraître burlesque tel les loups doués de parole et marchant à la façon des humains ne l'est point. Les auteurs ont l'art et la manière de rendre naturel ce qui ne l'est pas. Les dialogues sont judicieusement dans le ton de l'époque : la Renaissance tardive. le scénario est habilement mené jouant sur les points de vue des deux races. Les alliances se font et se défont, les anciennes rancoeurs ressurgissent conduisant à de furieuses scènes de batailles incandescentes. Dans ce récit haletant, le lecteur est balloté sans fin entre deux éclairages, deux visions, deux espèces luttant pour conserver leur suprématie.

Pour couronner le tout, Béatrice Tillier nous éblouit par un dessin au style très réaliste et une colorisation de toute beauté. Les décors sont minutieusement détaillés, en particulier l'architecture et les costumes inspirés de la renaissance. Les humains tout comme les bêtes de Haute Taille se révèlent d'une grande élégance. Des traits gracieux tout en finesse pour les uns, un faciès sauvage mais fabuleusement expressif pour les autres. Des illustrations dignes des contes de Charles Perrault défilent sous nos yeux émerveillés somptueusement mises en valeur par des couleurs lumineuses, chatoyantes ou relayées par des couleurs plus sombres selon le ton des scènes. Il serait vraiment dommage de bouder une lecture pareille ! Vous venez de découvrir le tome I d'une nouvelle série à suivre de près. Tome II prévue pour mars 2009.
Commenter  J’apprécie          60


critiques presse (1)
Auracan
13 mai 2013
Jean Dufaux écrit ce véritable conte, comme à son habitude, sur mesure pour Béatrice Tillier. La dessinatrice y met beaucoup d'elle-même - on reconnaît d'ailleurs ses traits dans l'héroïne. Elle transcende son dessin hyper expressif et donne une dimension fabuleuse au récit avec des personnages tous attachants...
Lire la critique sur le site : Auracan
Citations et extraits (8) Voir plus Ajouter une citation
Et ainsi la guerre se ralluma entre les bêtes et les hommes. Poil et peau mêlés en fureur, dans le goût du sang. Seul le bois des vierges fut épargné, tache sombre sur un linceul pourpre qui ne cessait de s’étendre. La guerre, ce sont des villes ravagées par le feu et par le fer. Craquements d’os, éclatement de chairs, crânes qui explosent, rivières polluées par les cadavres. Chaque parti présentant des avantages. Des armes pour les humains, comme l’emploi des fameux Arcs-en-buse. Force et courage pour les bêtes qui se jettent à corps perdu dans la bataille. Jusqu’au sacrifice final où chair et poil se couchent dans la boue au nom de lois caduques et imbéciles. Des lois qui n’acceptent pas la différence.
Commenter  J’apprécie          30
Jusqu’à présent, aucune bataille n’a été décisive. Nous épuisons nos forces à ce méchant jeu-là. Les humains, bien qu’inférieurs en nombre, résistent vaillamment grâce à leurs arcs-de-buse qui font des ravages parmi nos bêtes. Ce qui nous manque, ce qu’il nous faut, c’est un hardi capitaine qui puisse galvaniser nos troupes et nous conduire à la victoire. Votre frère était de cette trempe.
Commenter  J’apprécie          60
C’est un récit qu’il me faut révéler. Laissez-moi vous inviter à une certaine noce en vous prévenant toutefois que rien ne se déroulera comme prévu. Ce devait être un moment historique entre les bêtes et les hommes. Ce ne le fut aucunement. Par une froide nuit de janvier…
Commenter  J’apprécie          70
Mais méfiez-vous des monstres, monsieur. Ils peuvent parfois prendre belle apparence, on s’y tromperait.
Commenter  J’apprécie          70
Méfiez-vous des monstres, monsieur. Ils peuvent prendre parfois belle apparence, l'on s'y tromperait.
Commenter  J’apprécie          30

Videos de Jean Dufaux (65) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de Jean Dufaux
Murena - la série historique culte
autres livres classés : bande dessinéeVoir plus
Les plus populaires : Bande dessinée Voir plus


Lecteurs (165) Voir plus



Quiz Voir plus

Murena, Premier Cycle : Le Cycle de la Mère

Les auteurs, Jean Dufaux et Philippe Delaby, sont...

Belges
Français
Suisses
Italiens

12 questions
25 lecteurs ont répondu
Thème : Murena - Cycle 1 : Le Cycle de la Mère de Jean DufauxCréer un quiz sur ce livre

{* *}