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Critique de AuroreKarelle


J'ai lu ce livre dans le cadre d'un service presse et je remercie l'autrice pour sa confiance.

J'ai découvert ce livre et cette autrice, grâce à la talentueuse C. C. Mahon et je l'a remercie, car j'ai passé un excellent moment de lecture et je vais dorénavant suivre Mélanie Dufresne de près.

Nous allons suivre Ellie qui évolue dans le monde surnaturel sous la protection des Faoladhs, très vite, hélas les problèmes vont la rattraper bien malgré elle et la jeune femme va découvrir qu'elle n'est pas une humaine ordinaire.

J'ai adoré l'univers que l'autrice a créé mêlant diverses créatures surnaturelles, dont celle du folklore québécois, plus ou moins connu. L'univers est travaillé et bien construit, Mélanie nous happe dès les premières pages et nous tiens en haleine tout au long du livre.

J'ai apprécie que la protagoniste principale, bien que physiquement et naturellement plus faible que les êtres qui gravitent autour d'elle soit toutefois investit dans les problèmes que rencontrent sa famille adoptive, elle n'a pas peur de prendre des risques, j'ai trouvé Ellie, forte à sa manière et touchante, j'ai eu de la peine pour elle quand elle comprend certaines décisions prises par l'Alpha de la meute.


J'ai aimé découvrir l'identité du Windigo qui arrive ni trop tôt ; ni trop tard et qui donne une double intrigue à l'histoire.

J'ai adoré que l'autrice nous conte la légende du cet être original dans le monde urban fantasy et peu voir pas du tout connu, l'autrice n'hésite pas à garder le côté sombre de la légende, ce qui rend le personnage encore plus intriguant, car c'est un mangeur de chair alors pourquoi cette « fascination » pour la belle Ellie ? Quel est leur lien ?

Outre toutes les interrogations autour du Windigo et d'Ellie, il y a aussi manigances et les complots autour de la table des discussions des créatures surnaturelles nord-américaines et européennes qui rend le roman encore plus intriguant et addicif.

La plume de Mélanie est très agréable bien qu'au départ légèrement perturbant, car le langage québécois diverge un peu de notre langue à nous, mais une fois plongé dans le roman, on oublie ses différences.

J'ai hâte de lire le deuxième opus et de retrouver l'univers original que nous propose l'autrice.
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