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EAN : 9782070338085
112 pages
Gallimard (11/05/2006)
3.43/5   231 notes
Résumé :
Au coeur des Carpathes dans le sombre château de Brankovan, les princes Grégoriska et Kostaki s'affrontent pour conquérir la belle Hedwige. Or Kostaki est un vampire qui revient chaque nuit assouvir sa soif de sang auprès de la jeune femme devenue l'objet d'une lutte sans merci entre les deux frères. Une étrange histoire pleine de romantisme et de fantastique où l'angoisse le dispute au romanesque.

angelina masson
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Critiques, Analyses et Avis (52) Voir plus Ajouter une critique
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Tiens donc, Alexandre Dumas a donc tâté du fantastique.
Il nous raconte ici une histoire slave, une noble polonaise fuyant les Russes, parcourant les Carpathes et se retrouvant « accueillie » dans un château par deux frères forts différents d'aspect et d'esprit, et leur mère énigmatique.
Bien sûr, dès qu'on associe « Carpathes » et « fantastique » on sait à quoi on a affaire. Je ne vais pas vous faire un dessin. Et si vous en avez besoin, regardez plus attentivement la couverture du livre.

Ainsi la légende du vampire n'est pas née avec Bram Stoker ; Dumas père l'avait exploitée presque cinquante ans avant lui dans cette nouvelle. N'ayant pas lu le chef d'oeuvre de Stoker, je ne peux comparer et c'est peut-être un bien. Je suis ainsi moins exigeant.

Le récit est court et n'a pas le temps de lasser. Il reste cependant pour moi un peu trop dans la suggestion et dans l'anticipation. Il nous maintient dans l'expectative quasiment jusqu'aux dernières pages. Cela malmène beaucoup la patience. Je me suis demandé nombre de fois quand les dents longues allaient enfin se montrer, cela m'a poussé à lire l'histoire au plus vite.

Stratégie d'auteur sans nul doute très efficace donc. Ce genre de fantastique très suggéré a un certain charme. Mais j'en suis quand même ressorti un peu frustré.
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Bien qu'elle fut écrite avant le roman de Bram Stoker, découvrir "la dame pâle" après le récit de l'illustre irlandais ne joue pas en sa faveur.

La nouvelle d'Alexandre Dumas ne manque pourtant pas de qualités. L'écriture est très agréable, belle et élégante tout en étant fluide.
L'atmosphère est très bien rendue à travers de magnifiques descriptions. Tous les éléments classiques d'un récit gothique sont là : paysages brumeux, château lugubre, personnages mystérieux et romantiques... Cela ne manque pas de charme mais en le lisant aujourd'hui, on ne peut s'empêcher de penser que c'est du déjà vu. L'intrigue se suit sans aucun ennui et est même plutôt plaisante mais ne recèle aucune surprise.

En bref, une lecture agréable mais complètement dispensable.

Challenge Petits plaisirs 42
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Quand on pense à Alexandre Dumas, ce sont d'abord les titres des Trois Mousquetaires ou du Comte de Monte-Cristo qui viennent en tête. Pourtant, l'auteur a également redonné un souffle au fantastique avec "La Femme au collier de velours" et le recueil des "Mille et un fantômes" d'où est extrait l'histoire de "La Dame Pâle".
Dans cette histoire, des personnes sont regroupées dans un salon et s'écoutent raconter des histoires. C'est au tour de la dame pâle...Polonaise, elle avait trouvé refuge dans un château au fin fond des Carpathes pour échapper aux Russes qui envahissaient son pays. Là, elle fut recueillie par deux frères, Grégoriska et Kostaki, qui tombèrent tous les deux amoureux d'elle. Ceux-ci vont se mener une guerre impitoyable pour séduire la jeune femme; or l'un d'entre eux est un vampire.
Cette histoire, agréable à lire, est néanmoins sans surprise. le résumé de la 4ème de couverture révèle assez d'éléments pour donner toutes les clefs aux lecteurs. J'ai finalement été déçue de constater que l'histoire de vampire n'arrivait que dans les 10 dernières pages...sur 100! Malgré cela on passe un bon moment, l'ambiance est caractéristique de ce genre d'histoire: un château isolé dans les Carpathes, des personnages ténébreux et inquiétants.
Il serait intéressant de se pencher sur le reste du recueil pour avoir une vue d'ensemble.
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J'ai découvert par hasard La Dame pâle, dont le titre a suscité ma curiosité. Dès les premières lignes, je me suis laissée embarquée par ce récit fantastique, extrait du recueil de nouvelles Les Mille et un fantômes publié en 1849.

« Vous voulez savoir pourquoi je suis si pâle ». Au cours d'un dîner, Hedwige prend la parole. Les événements qu'elle narre se sont déroulés en 1825. Hedwige est polonaise. Son pays est enlisé dans un conflit contre la Russie au cours duquel ses deux frères trouvent la mort. Inquiet, son père décide de la mettre à l'abri : « Mon père, qui ne craignait rien pour lui, tremblait pour moi. En effet, pour mon père, il ne s'agissait que de la mort, car il était bien sûr de ne pas tomber vivant aux mains de ses ennemis ; mais, pour moi, il s'agissait de l'esclavage, du déshonneur, de la honte. » L'escorte d'Hedwige se dirige vers le couvent de Sahast, un endroit où la jeune femme pourra être mise en sûreté. Sans trop en connaître les raisons, j'ai apprécié ce personnage dès le commencement du récit et surtout sa manière de conter son histoire.

Alexandre Dumas dépeint avec poésie les paysages des monts Carpates plongeant ainsi le lecteur dans une ambiance particulière. Après dix jours de marche, le convoi est attaqué par une horde de bandits menée par le jeune Kostaki. Fort heureusement, (et oui un peu de romanesque! ), Grégoriska le demi-frère de ce dernier, surgit de nulle part et porte secours à Hedwige. Il l'installe au château familial de Brankovan, une vaste demeure moldave datant du XIVème siècle. Hedwige rencontre la mère des deux hommes, Smérande, avec qui la communication est limitée en raison de la langue. Les deux frères tombent amoureux d'Hedwige. Smérande ne cache pas vraiment sa préférence pour Kostaki.

Mon ressenti diffère un peu de ce que j'ai pu lire dans plusieurs critiques (cela dit, je tiens à préciser que je suis complètement novice en matière d'histoires de vampires). Personnellement, j'ai beaucoup aimé les 3/4 du livre : l'aspect mystérieux, l'ambiance.... Je trouvais qu'il y avait une certaine tension dans le récit, j'avais très envie de connaître la suite : que va-t-il arriver à la jeune femme ? Qui sont ces mystérieux frères ? J'étais également intriguée par le personnage de la mère dont la description m'avait plu. J'étais suspendue au récit, mais la fin m'a un peu moins séduite : on assiste à une accélération des évènements, un enchaînement d'actions peut-être un peu trop rapides qui vient contraster avec le rythme général du récit. Jusqu'à présent, je n'avais jamais eu l'occasion de lire Alexandre Dumas père. Dans l'ensemble, j'ai vraiment apprécié la qualité de l'écriture.
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De Alexandre Dumas, je n'avais lu, il y a quelques années, que Les Trois mousquetaires que j'avais alors adoré (vive Athos !). Malgré la présence de plusieurs ouvrages dans ma PAL, je ne m'étais pas encore replongée dans le style de l'auteur français. Il aura fallu attendre que Lynnae m'offre cette petite nouvelle en novembre dernier et propose une lecture commune pour que je me lance.
J'avoue que j'étais curieuse de découvrir Alexandre Dumas dans un texte fantastique. Je suis plutôt habituée aux classiques anglophones dès qu'il s'agit de la figure du vampire au XIXe siècle (Stoker, Le Fanu…), j'avais donc très envie de lire ce que proposait un auteur français sur le sujet.
J'ai apprécié cette courte lecture, bien écrite et à l'ambiance bien rendue, même si elle n'offre rien de très surprenant au niveau de l'intrigue.

Hedwige, encouragée par son père, fuit sa demeure polonaise bientôt assiégée pour se réfugier dans un couvent lointain en Roumanie. Sur le chemin, elle rencontre deux frères, chacun voulant la ravir. Ramenée au château familial, elle fait la connaissance de Smérande, la mère des deux hommes. Les jours passent, Hedwige reçoit froidement les déclarations d'amour de Kostaki, le cadet au caractère emporté, et s'attache de plus en plus à Grégoriska, l'aîné discret et silencieux. Les deux frères (en fait, demi-frères, comme on l'apprend au fil du récit), déjà ennemis de longue date, s'affrontent à nouveau, cette fois pour l'amour d'une jeune femme. Hedwige et Grégoriska, amoureux, veulent s'enfuir mais un malheur se produit… désormais, chaque nuit, la jeune femme reçoit une visite étrange qui la paralyse et, ne pouvant réagir, est chaque fois blessée au cou. Chaque jour elle se lève plus faible et plus pâle que la veille…
Je me suis permise de développer un peu l'intrigue pour vous expliquer qu'elle ne m'a pas surprise outre mesure. La belle jeune fille fragile et désirable, les deux frères ennemis qui se battent pour elle, l'affrontement qui tourne mal… et le dénouement que je ne vous révèle pas. Tous ces éléments, assez « convenus », ne m'ont pas vraiment étonnée. L'ensemble est donc assez « classique » mais reste agréable et est bien mené.

Le format « nouvelle » ne permet pas un long développement, notamment des personnages auxquels il est difficile de s'attacher, mais j'ai bien aimé le choix du récit enchâssé : la première page nous présente une dame pâle qui s'apprête à raconter son histoire à une audience captivée. On découvre ainsi ce qui lui est arrivé quelques années plus tôt ainsi que le pourquoi de sa pâleur. Les deux dernières lignes du texte concluent l'histoire en repassant au tout premier point de vue. 99% du récit est donc conté à la première personne du singulier (le point de vue interne est celui d'Hedwige) et nous permet de plonger directement dans l'action.
Alexandre Dumas a un style classique, évidemment (vu la date de publication, ce n'est pas étonnant), mais ce n'est pas alambiqué, pompeux ou incompréhensible. C'est au contraire fluide et agréable à parcourir, ne vous inquiétez donc pas de « l'âge » de cette nouvelle !

Ce que je retiendrai surtout de ce court texte (comme je l'ai fait quelques années plus tôt avec Carmilla de Sheridan le Fanu), ce n'est pas tellement l'intrigue en elle-même, ni les personnages, ni la plume… mais bien le contexte, l'ambiance de l'histoire. Ici, point de Louisiane ou de Nouvelle-Orléans, mais bien les montagnes mystérieuses des Carpates, la brume, les vieux châteaux et les superstitions des villageois !
Dès les premiers mots du récit d'Hedwige, on se sent transporter dans ce contexte bien particulier, dans un univers fantastique/gothique (pour que vous ayez une idée plus claire, je vous cite la définition trouvée dans les dernières pages : « L'univers gothique apparaît dans des romans anglais de la fin du XVIIIe siècle qui trouvent leur source d'inspiration dans le macabre et l'horreur. Plus terrifiant que le fantastique, l'univers gothique obéit à un certain nombre de points obligés comme la présence de personnages surnaturels (vampire, diable…), l'ancrage dans un univers médiéval ou encore la présence d'une malédiction à laquelle le héros ne peut échapper qu'en se plaçant sous une protection divine. »), et c'est là, la grande force et l'intérêt de cette nouvelle, à mon goût. Evidemment, c'est assez particulier, mais pour les fans du mythe vampirique, La Dame pâle est un des premiers textes mettant en scène la créature… un incontournable !


Pour conclure. La Dame pâle est un court texte mettant en scène la figure du vampire dans sa plus pure tradition : vieux château dans les Carpates et superstitions des habitants. Difficile de s'attacher aux personnages avec si peu de pages, mais l'ambiance est bien établie, la plume est fluide et agréable et l'intrigue est bien menée, même si pas extraordinairement surprenante.
Lien : http://bazar-de-la-litteratu..
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Citations et extraits (47) Voir plus Ajouter une citation
Nos monts Carpathes ne ressemblent point aux montagnes civilisées de votre Occident. Tout ce que la nature a d'étrange et de grandiose s'y présente aux regards dans sa plus complète majesté. Leurs cimes orageuses se perdent dans les nues, couvertes de neiges éternelles; leurs immenses forêts de sapins se penchent sur le miroir poli de lacs pareils à des mers; et ces lacs, jamais une nacelle ne les a sillonnés, jamais le filet d'un pêcheur n'a troublé leur cristal, profond comme l'azur du ciel; la voix humaine y retentit à peine de temps en temps, faisant entendre un chant moldave auquel répondent les cris des animaux sauvages : chant et cris vont éveiller quelque écho solitaire, tout étonné qu'une rumeur quelconque lui ait appris sa propre existence. Pendant bien des milles, on voyage sous les voûtes sombres de bois coupés par ces merveilles inattendues que la solitude nous révèle à chaque pas, et qui font passer notre esprit de l'étonnement à l'admiration. Là le danger est partout, et se compose de mille dangers différents; mais on n'a pas le temps d'avoir peur, tant ces dangers sont sublimes. Tantôt ce sont des cascades improvisées par la fonte des glaces, qui, bondissant de rochers en rochers, envahissent tout à coup l'étroit sentier que vous suivez, sentier tracé par le passage de la bête fauve et du chasseur qui la poursuit; tantôt ce sont des arbres minés par le temps qui se détachent du sol et tombent avec un fracas terrible qui semble être celui d'un tremblement de terre; tantôt enfin ce sont les ouragans qui vous enveloppent de nuages au milieu desquels on voit jaillir, s'allonger et se tordre l'éclair, pareil à un serpent de feu.
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Puis après ces pics alpestres, après ces forêts primitives, comme vous avez eu des montagnes géantes, comme vous avez eu des bois sans limites, vous avez des steppes sans fin, véritable mer avec ses vagues et ses tempêtes, savanes arides où la vue se perd dans un horizon sans bornes ; alors ce n'est plus la terreur qui s'empare de vous, c'est la tristesse qui vous inonde ; c'est une vaste et profonde mélancolie dont rien ne peut distraire ; car l'aspect du pays, aussi loin que votre regard peut s'étendre, est toujours le même.
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Alors elle commença, en moldave, un discours de bienvenue, auquel sa physionomie donnait un sens facile à expliquer. Elle me montra la table, m’offrit un siège près d’elle, désigna du geste la maison tout entière, comme pour me dire qu’elle était à moi ; et s’asseyant la première avec une dignité bienveillante, elle fit un signe de croix, et commença une prière.
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Je restai dans cette chambre immense, dont ma lumière, en se déplaçant, n'éclairait que les parties que j'en parcourais, sans jamais pouvoir en éclairer l'ensemble. Singulier jeu de lumière, qui établissait une lutte entre la lueur de ma bougie et les rayons de la lune, qui passaient par ma fenêtre sans rideaux.
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Le chanteur était en même temps le poète. Quant à l’air, il faudrait être un de ces hommes des montagnes pour vous le rendre dans toute sa sauvage tristesse, dans toute sa sombre simplicité.

En voici les paroles :

Dans le marais de Stavila,

Où tant de sang guerrier coula,

Voyez-vous ce cadavre-là ?

Ce n’est point un fils d’Illyrie ;

C’est un brigand plein de furie

Qui, trompant la douce Marie,

Extermina, trompa, brûla.

Une balle, au coeur du brigand

À passé comme l’ouragan,

Dans sa gorge est un yatagan.

Mais depuis trois jours, ô mystère,

Sous le pin morne et solitaire,

Son sang tiède abreuve la terre

Et noircit le pâle Ovigan.

Ses yeux bleus pour jamais ont lui,

Fuyons tous, malheur à celui

Qui passe au marais près de lui,

C’est un vampire ! le loup fauve

Loin du cadavre impur se sauve,

Et sur la montagne au front chauve,

Le funèbre vautour a fui.
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RÉFÉRENCE BIBLIOGRAPHIQUE : Jean Delacour, Tout l'esprit français, Paris, Albin Michel, 1974.
IMAGES D'ILLUSTRATION : Jean Cocteau : https://filmforum.org/film/jean-cocteaus-orphic-trilogy-testament-of-orpheus Armand Salacrou : https://lotincorp.biz/creation-affiches-publicitaires-etats-des-lieux-ville-douala-1/ Pierre Reverdy : https://lamediathequepatrimoine.files.wordpress.com/2022/09/p5-pr-jeune.jpg Maurice Chapelan : https://www.cambridgescholars.com/news/item/book-in-focus-the-poems-and-aphorisms-of-maurice-chapelan Félicité de Lamennais : https://en.muzeo.com/art-print/felicite-robert-de-lamennais-ecrivain/ary-scheffer Jules Noriac : https://fr.wikipedia.org/wiki/Jules_Noriac#/media/Fichier:Jules_Noriac_Nadar.jpg Jean de la Bruyère : https://www.ecured.cu/Jean_de_La_Bruyére#/media/File:Bruyere.jpg Henri Duvernois : https://www.delcampe.net/en_GB/collectables/programs/theatre-des-nouveautes-paris-la-guitare-et-le-jazz-de-henri-duvernois-et-robert-dieudonne-1928-1929-1034826850.html Frédéric II : https://www.calendarz.com/fr/on-this-day/november/18/frederick-ii-of-prussia Saint-Évremond : https://fr.wikipedia.org/wiki/Charles_de_Saint-Évremond#/media/Fichier:Charles_de_Marquetel_de_Saint-Evremond_by_Jacques_Parmentier.jpg Louis-Désiré Véron : https://fr.wikipedia.org/wiki/Louis-Désiré_Véron#/media/Fichier:Louis_Véron_-_engraving_-_Mirecourt_1855-_Google_Books.jpg Romain Coolus : https://picclick.fr/Portrait-Romain-Coolus-René-Max-Weill-Scénariste-Cinéma-225296515824.html#&gid=1&pid=1 Comte de Voisenon : https://www.abebooks.fr/art-affiches/Claude-Henry-Fusée-Voisenon
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