AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Les crimes célèbres (Dumas) tome 0 sur 4
Pocket (30/11/-1)
3.4/5   34 notes
Résumé :
En marge des évènements historiques, et parfois se confondant avec eux, les grandes affaires criminelles secouent pour un temps la chronique et éclairent d'une lueur trouble la société de leur époque.
Avec "Les crimes célèbres", de la Rome sanguinaire des Cenci, au Paris maléfique de la marquise de Brinvilliers, Alexandre Dumas, familier des intrigues et des complots, entraîne les lecteurs de de la période romantique dans une inquiétante promenade à travers l... >Voir plus
Que lire après Les crimes célèbresVoir plus
Critiques, Analyses et Avis (5) Ajouter une critique
Édition 2ème trimestre 1972 - PRESSE POCKET - Ce livre édité spécialement pour TOTAL ne doit pas être vendu. Il vous est offert par votre station-service Total.
Bien, bien... Mais ce n'est pas une raison pour le livrer truffé de fautes d'orthographe et d'accords ! Je pensais que ce je-m'en-foutisme était une caractéristique de certains "éditeurs" actuels et je viens de me rendre compte que ce manque de professionnalisme sévissait déjà il y a près de cinquante ans. Misère, misère !

Pour ce qui est de ces Crimes Célèbres, car là est bien l'essentiel, ils sont au nombre de quatre et la trame historique de ces récits est ce qui a motivé mon choix à priori. Je n'ai donc pas été déçue. Même si j'ai trouvé dans certains d'entre eux quelques longueurs dues soit à des répétitions, soit à des détails ne présentant pas un grand intérêt.
Je ne saurais clore ma chronique sans dire à quel point j'ai savouré le récit portant sur Murat. Quel homme ! Quel courage ! Quelle noblesse !
Commenter  J’apprécie          354
« Les Crimes célèbres » parus entre 1839 et 1841 sont ce qu'on pourrait appeler une oeuvre de jeunesse de Dumas. A cette époque-là nous savons que c'est le théâtre qui le motivait le plus : il y avait déjà remporté quelques succès notoires : « Henri III et sa cour » (1829), « Antony » (1831), « La Tour de Nesle » (1832) ou « Kean » (1836). le roman ne l'intéressait pas encore, bien que l'Histoire, déjà, occupait pleinement sa pensée (beaucoup de ses pièces étaient bâties sur un sujet historique) : ses premiers essais romanesques, entre la reconstitution historique et le roman à proprement parler, sont plutôt timides : Isabel de Bavière (1835), « le Capitaine Paul » (1838) ou « La Main droite du Sire de Giac » (1838). le déclic se fait en 1839 avec « acté » et ces « Crimes célèbres ».
« Les Crimes célèbres » ne sont pas un roman historique. Il s'agit là plutôt d'un travail d'historien, ou mieux de compilateur (sans effet péjoratif) de documents historiques, destiné à apporter au grand public des informations sur quelques grandes affaires du passé, mettant en cause des assassins et des victimes célèbres. « Célèbres », le mot est un peu exagéré, sans doute : si quelques noms parlent à notre oreille (Murat, Marie Stuart, les Borgia, la Marquise de Brinvilliers, Ali-Pacha – et encore, celui-là, c'est à cause de Monte-Cristo !), bien d'autres nous sont parfaitement inconnus. Dumas (aidé par quelques « collaborateurs ») s'est livré à un effort titanesque de documentation (ce que fera Emile Zola plusieurs décennies plus tard), avant de livrer un travail soigné, intéressant toujours, émouvant quelquefois, mais disons plus « universitaire » que romanesque : ici, ce sont les faits qui priment. Pas de psychologie, pratiquement pas de dialogue (et Dumas sans dialogue, ce n'est pas vraiment « notre » Dumas), et pas d'analyse générale pour commenter le crime, si ce n'est pour dire que l'origine de ces crimes concernent moins les individus eux-mêmes que la société qui les a créés (encore un concept pré-naturaliste, l'influence du milieu !).
Les crimes s'étalent (si on peut dire) depuis la Renaissance jusqu'à l'époque contemporaine de Dumas. Dix-huit crimes sont ainsi relatés : « Les Cenci », « La Marquise de Brinvilliers », « Karl Ludwig Sand », « Marie Stuart », « La Marquise de Ganges », « Murat », « Les Borgia », « Urbain Grandier », « Vaninka », « Massacres du Midi », « La comtesse de Saint-Géran », « Jeanne de Naples », « Nisida », « Derues », « Martin Guerre », « Ali Pacha », « La Constantin », « L'Homme au masque de fer ».
Ouvrage didactique donc, plus que romanesque, mais intéressant pour l'Histoire, et déjà pour le savoir faire de l'auteur qui apprend comment « tourner » une intrigue, ce qui fera le noyau de ses futurs romans (il y ajoutera un sens du rythme épatant, et un sens du dialogue qu'on ne présente plus). Beaucoup de ces personnages (et de ces textes) referont surface, remaniés et remis au goût du jour, dans des romans ultérieurs : Ali-Pacha dans « Monte-Cristo », Murat dans « La San Felice », les massacres du Midi dans « Les Compagnons de Jéhu », etc.
Donc pas encore le grand Dumas que nous aimons (ou adorons), mais un Dumas en formation, qui a déjà pour lui le goût de l'Histoire, et déjà en lui le génie pour la raconter. Ce ne sera pas long puisque « le chevalier d'Harmental » (qui signe sa rencontre avec Auguste Maquet) sera son premier grand succès en 1942.
Pour l'instant seule l'édition Phébus (en trois volumes) présente l'intégralité des "Crimes célères", mais on peut en trouver séparément (par ordre de trois ou quatre) dans diverses autres éditions
Commenter  J’apprécie          110
Le livre que j'ai entre les mains, malheureusement, est loin de contenir tous les Crimes célèbres. Il nous en propose quatre : La marquise de Ganges, La comtesse de Saint-Géran, Murat et La marquise de Brinvilliers. Il semblerait d'ailleurs qu'aucun ouvrage ne les rassemble tous.
Nous voilà donc, au fil de la plume d'Alexandre Dumas, qui semble ne jamais devoir décevoir, embarqués dans les intrigues, les malheurs, les empoisonnements, du XVIIème au XIXème siècle. Vous l'aurez compris, ces nouvelles se lisent très facilement et sont toutes, les unes autant que les autres, divertissantes.

Challenge ABC 2017/2018
Commenter  J’apprécie          140
Aujourd'hui, chronique de "Les crimes célèbres" d'Alexandre Dumas. Après une préface assez bien tournée à mon goût, Dumas nous propose quatre récits. Une fois de plus, il utilise l'histoire pour nouer ses intrigues, très réussies et toujours rédigées avec virtuosité dans le style. La première se déroule au XVIIème siècle et relate un assassinat des plus violents, entre épée et poison pour raisons d'héritage. La psychologie des personnage est décrite de manière précise, et le déroulement des faits avec un suspens fort, est à couper le souffle. La seconde intrigue (XXVIIème toujours) met en scène un gentilhomme à qui l'on donnerait le bon dieu sans confession et qui se révèle le plus grand des sacripants. Il corrompt par son charme une jeune fille de bonne famille. A deux et avec l'aide la sorcellerie, ou plutôt de la chimie, ils vont accomplir le crime le plus odieux, enlever un enfant à sa mère. Tout se termine bien, du moins pour l'enfant et c'est la jeune fille de bonne famille qui est exécutée. le seul crime vraiment mortel se trouve donc être celui perpétué par l'état... La troisième intrigue est contée sur le mode de l'aventure, au début du XIXème siècle, une aventure époustouflante qui a le souffle des plus grands romans de Dumas. Là encore, c'est plutôt l'institution qui perpétuera un crime. Mais à l'époque où le jeu politique voyait ses têtes si souvent changer, il n'était pas choquant que certaines tombent... Dans la dernière intrigue, qui se déroule au XVIIème, on retrouve encore un couple maudit, des histoires de poisons, de parricide, de fratricides, et si l'histoire avance très rapidement au début, l'auteur insiste sur le déroulement du procès et de l'expiation de la coupable - tirant un peu à la ligne, je trouve - mettant encore une fois en avant la monstruosité du système judiciaire qui semble se devoir d'être plus forte encore que celle des accusés. Dans chaque histoire, Dumas mais face à face les crimes (ou situations condamnables) des personnages et la réponse de l'institution, criminelle elle aussi. Une réflexion qui nous ramène à celle que l'on s'était déjà faite après la lecture de "Le chevalier de Maison-Rouge", du même auteur...
Lien : https://www.monbestseller.co..
Commenter  J’apprécie          70
4 nouvelles qui se lisent très vite, j'ai aimé le contexte historique sauf pour celle de murat qui m'a moins plu, j'essaierai d'en trouver d'autres de cette série
Commenter  J’apprécie          00

Citations et extraits (13) Voir plus Ajouter une citation
— Hélas ! mon Dieu, reprit la marquise, d’après ce que vous me dites, monsieur, puisqu’il fallait la main du bourreau pour me sauver, que serais-je devenue si j’étais morte a Liège, et où en serais-je à l’heure qu’il est ? Et quand même je n’eusse point été prise et que j’eusse vécu encore vingt ans hors de France, qu’eût été ma mort, puisqu’il ne fallait rien moins que l’échafaud pour la sanctifier ? C’est maintenant que je vois tous mes torts, monsieur, et je regarde comme le plus grand le der-nier de tous, c’est-à-dire mon effronterie en face des juges. Mais rien n’est perdu encore, Dieu merci, et puisque j’ai un dernier interrogatoire à subir, j’y veux faire un aveu complet de toute ma vie. Quant à vous, monsieur, continua-t-elle, demandez particulièrement pardon pour moi à M. le premier président : il m’a dit hier, pendant que j’étais sur la sellette, des choses fort touchantes et dont je me suis sentie tout attendrie ; mais je n’ai pas voulu le témoigner, car je pensais que, mon aveu manquant, il n’y aurait pas contre moi de preuves assez fortes pour me con-damner. Il en a été autrement, et j’ai dû scandaliser mes juges par la hardiesse que j’ai eue en cette rencontre. Mais je reconnais ma faute et je la réparerai. Ajoutez, monsieur, que loin d’en vouloir à M. le premier président du jugement qu’il prononce aujourd’hui contre moi, que loin de me plaindre de M. le premier greffier qui l’a sollicité, je les en remercie tous deux bien humblement, puisque mon salut en dépendait. (p66/67)
LA MARQUISE DE BRINVILLIERS
Commenter  J’apprécie          10
L’empereur, après cet aveu étrange, resta un instant pensif ; puis, se levant du fauteuil où il était resté assis pendant tout le temps qu’avait duré la narration du malheureux père, il alla vers un bureau, et écrivit sur un papier volant la décision suivante :
« Le pope ayant violé ce qui doit rester inviolable, c’est-à-dire le secret de la confession, sera exilé en Sibérie et déchu des fonctions du sacerdoce. Sa femme le suivra ; elle est coupable pour n’avoir point respecté le caractère d’un ministre des autels. La petite fille ne quittera point ses parents.
» Annouschka, la femme de chambre, ira également en Sibérie, pour n’avoir pas averti son maître de la conduite de sa fille.
» Je conserve au général toute mon estime ; je le plains, et je m’afflige avec lui du coup mortel qui vient de le frapper.
» Quant à Vaninka, je ne connais aucune peine qu’on puisse lui infliger, je ne vois en elle que la fille d’un brave militaire, dont la vie fut toute consacrée au service de son pays. D’ailleurs, ce qu’il y a d’extraordinaire dans la découverte du crime semble placer la coupable hors des limites de ma sévérité : c’est elle-même que je charge de sa punition. Si j’ai bien compris ce caractère, s’il lui reste quelques sentiments de dignité, son cœur et son remords lui traceront la route qu’elle doit suivre31. » (p352)
VANINKA
Commenter  J’apprécie          10
Le 18 juin 1815, à l'heure même où les destinées de l'Europe se décidaient à Waterloo, un homme, habillé en mendiant suivait silencieusement la route de Toulon à Marseille.
Arrivé à l'entrée des gorges d'Ollioules, il s'arrêta sur une petite éminence qui lui permettait de découvrir tout le paysage qui l'entourait ; alors, soit qu'avant de s'engager dans cet âpre et sombre défilé, qu'on appelle les Thermophyles de la Provence, il voulut jouir encore quelque temps de la vue magnifique qui se déroulait à l'horizon méridionial, il alla s'asseoir sur le talus du fossé qui bordait la grande route.
(extrait de "Murat (1815)", nouvelle du volume paru aux éditions "Presses-Pocket" en 1972)
Commenter  J’apprécie          20
Qu’on ne pouvait rien savoir sur une personne, sauf des interrogations particulières ; et pour mieux éblouir le marquis, elle alla chercher une sorte de boîte marquée de chiffres et d’emblèmes bizarres.
Elle l’ouvrit, et après avoir combiné certaines figures qui s’y trouvaient, elle avoua qu’il était vrai, et que la situation du marquis était des plus malheureuses. Elle ajouta, dans le but de l’effrayer, qu’il était menacé par des événements plus malheureux encore que ceux qui lui étaient déjà arrivés, mais qu’il était facile de connaître et de prévenir les événements au moyen de nouvelles consultations.
— Madame, répondit le marquis, il n’y a qu’une chose au monde que je craigne, c’est le déshonneur de la femme que j’aime. N’y a-t-il aucun moyen de remédier aux embarras ordinaires des accouchements ? (p125/126)
LA COMTESSE DE SAINT-GÉRAN.
Commenter  J’apprécie          10
Tout à coup la porte de la chambre où Jeanne priait avec tant de recueillement s’ouvrit avec un bruit sourd ; deux barons hongrois couverts de leurs armures se présentèrent à la reine, et lui firent signe de les suivre. Jeanne se leva en silence et obéit à ces hommes ; mais un cri de douleur s’échappa du fond de son âme lorsqu’elle reconnut l’endroit où André et Charles de Duras étaient morts tous les deux d’une mort violente. Cependant elle recueillit ses forces, et demanda d’une voix calme pourquoi on l’avait amenée dans ce lieu. Alors un des barons lui montra pour toute réponse un cordon de soie d’or.
— Que la justice de Dieu s’accomplisse ! s’écria Jeanne en tombant à genoux.
Quelques minutes après elle avait cessé de souffrir.
C’était le troisième cadavre qu’on jetait par-dessus le balcon d’Aversa (p280/281)
JEANNE DE NAPLES
Commenter  J’apprécie          10

Videos de Alexandre Dumas (91) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de Alexandre Dumas
CHAPITRES : 0:00 - Titre
R : 0:06 - RÉFLEXION - Jean Cocteau 0:14 - REMARIAGE - Armand Salacrou 0:28 - REMORDS - Pierre Reverdy 0:39 - REPOS - André Prévost 0:50 - RÉVOLUTION - Maurice Chapelan 1:06 - RICHESSE - Félicité de Lamennais 1:18 - RIDICULE - Jules Noriac 1:32 - RIRE - Jean de la Bruyère
S : 1:42 - S'AIMER - Henri Duvernois 1:52 - SAGESSE - Frédéric II 2:04 - SAVOIR-VIVRE - Saint-Évremond 2:15 - SCEPTICISME - Louis-Désiré Véron 2:24 - SE COMPRENDRE - Romain Coolus 2:34 - SE TAIRE - Comte de Voisenon 2:45 - SE TUER - Théophile Gautier 2:56 - SINGE - Jean-Baptiste Say 3:08 - SOLITUDE - Maurice Toesca 3:18 - SUICIDE - Alexandre Dumas fils
T : 3:29 - TEMPS - Jean Martet 3:41 - TÊTE - Yves Constantin 3:54 - TOMBE - Xavier Forneret 4:04 - TRAVAIL - Jules Renard 4:19 - TROMPERIE - Sainte-Beuve
V : 4:30 - VALEUR - Marivaux 4:40 - VÉRITÉ - Louise d'Épinay 4:51 - VERTU DES FEMMES - Ninon de Lenclos 4:59 - VIE - Louis Aragon 5:10 - VIE ET MORT - Rastignac 5:22 - VIEILLE FEMME - Charles de Talleyrand-Périgord
5:35 - Générique
RÉFÉRENCE BIBLIOGRAPHIQUE : Jean Delacour, Tout l'esprit français, Paris, Albin Michel, 1974.
IMAGES D'ILLUSTRATION : Jean Cocteau : https://filmforum.org/film/jean-cocteaus-orphic-trilogy-testament-of-orpheus Armand Salacrou : https://lotincorp.biz/creation-affiches-publicitaires-etats-des-lieux-ville-douala-1/ Pierre Reverdy : https://lamediathequepatrimoine.files.wordpress.com/2022/09/p5-pr-jeune.jpg Maurice Chapelan : https://www.cambridgescholars.com/news/item/book-in-focus-the-poems-and-aphorisms-of-maurice-chapelan Félicité de Lamennais : https://en.muzeo.com/art-print/felicite-robert-de-lamennais-ecrivain/ary-scheffer Jules Noriac : https://fr.wikipedia.org/wiki/Jules_Noriac#/media/Fichier:Jules_Noriac_Nadar.jpg Jean de la Bruyère : https://www.ecured.cu/Jean_de_La_Bruyére#/media/File:Bruyere.jpg Henri Duvernois : https://www.delcampe.net/en_GB/collectables/programs/theatre-des-nouveautes-paris-la-guitare-et-le-jazz-de-henri-duvernois-et-robert-dieudonne-1928-1929-1034826850.html Frédéric II : https://www.calendarz.com/fr/on-this-day/november/18/frederick-ii-of-prussia Saint-Évremond : https://fr.wikipedia.org/wiki/Charles_de_Saint-Évremond#/media/Fichier:Charles_de_Marquetel_de_Saint-Evremond_by_Jacques_Parmentier.jpg Louis-Désiré Véron : https://fr.wikipedia.org/wiki/Louis-Désiré_Véron#/media/Fichier:Louis_Véron_-_engraving_-_Mirecourt_1855-_Google_Books.jpg Romain Coolus : https://picclick.fr/Portrait-Romain-Coolus-René-Max-Weill-Scénariste-Cinéma-225296515824.html#&gid=1&pid=1 Comte de Voisenon : https://www.abebooks.fr/art-affiches/Claude-Henry-Fusée-Voisenon
+ Lire la suite
autres livres classés : crimeVoir plus
Les plus populaires : Littérature française Voir plus


Lecteurs (124) Voir plus



Quiz Voir plus

Les personnages des Trois Mousquetaires et Vingt ans après

Sous quel nom connaît-on monsieur du Vallon de Bracieux de Pierrefonds ?

Athos
Porthos
Aramis
D'Artagnan

9 questions
181 lecteurs ont répondu
Thème : Alexandre DumasCréer un quiz sur ce livre

{* *} .._..