![]() | Lucie16 06 octobre 2013
Depuis sept années, ce roman m’accompagne. Pas tous les jours, pas constamment. Une relation distendue. Un bon ami à qui je pense souvent, chez qui je peux débarquer sans prévenir.
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![]() | Lucie16 06 octobre 2013
Depuis sept années, ce roman m’accompagne. Pas tous les jours, pas constamment. Une relation distendue. Un bon ami à qui je pense souvent, chez qui je peux débarquer sans prévenir.
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![]() | Lucie16 06 octobre 2013
Malgré la matérialité des lettres imprimées (à l’écran ou sur le papier), le texte demeure un code abstrait. C’est un passage vers une autre façon de percevoir la réalité, de toucher à sa pluralité.
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![]() | Lucie16 06 octobre 2013
L’écriture ouvre des espaces que la réalité garde fermés.
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Dans quelle ville Verlaine tira-t-il sur Rimbaud, le blessant légèrement au poignet ?