CHAPITRES :
0:00 - Titre
R :
0:06 - RÉFLEXION - Jean Cocteau
0:14 - REMARIAGE - Armand Salacrou
0:28 - REMORDS - Pierre Reverdy
0:39 - REPOS - André Prévost
0:50 - RÉVOLUTION - Maurice Chapelan
1:06 - RICHESSE - Félicité de Lamennais
1:18 - RIDICULE - Jules Noriac
1:32 - RIRE - Jean de la Bruyère
S :
1:42 - S'AIMER - Henri Duvernois
1:52 - SAGESSE - Frédéric II
2:04 - SAVOIR-VIVRE - Saint-Évremond
2:15 - SCEPTICISME - Louis-Désiré Véron
2:24 - SE COMPRENDRE - Romain Coolus
2:34 - SE TAIRE - Comte de Voisenon
2:45 - SE TUER - Théophile Gautier
2:56 - SINGE - Jean-Baptiste Say
3:08 - SOLITUDE - Maurice Toesca
3:18 - SUICIDE - Alexandre Dumas fils
T :
3:29 - TEMPS - Jean Martet
3:41 - TÊTE - Yves Constantin
3:54 - TOMBE - Xavier Forneret
4:04 - TRAVAIL - Jules Renard
4:19 - TROMPERIE - Sainte-Beuve
V :
4:30 - VALEUR - Marivaux
4:40 - VÉRITÉ - Louise d'Épinay
4:51 - VERTU DES FEMMES - Ninon de Lenclos
4:59 - VIE - Louis Aragon
5:10 - VIE ET MORT - Rastignac
5:22 - VIEILLE FEMME - Charles de Talleyrand-Périgord
5:35 - Générique
RÉFÉRENCE BIBLIOGRAPHIQUE :
Jean Delacour, Tout l'esprit français, Paris, Albin Michel, 1974.
IMAGES D'ILLUSTRATION :
Jean Cocteau : https://filmforum.org/film/jean-cocteaus-orphic-trilogy-testament-of-orpheus
Armand Salacrou : https://lotincorp.biz/creation-affiches-publicitaires-etats-des-lieux-ville-douala-1/
Pierre Reverdy : https://lamediathequepatrimoine.files.wordpress.com/2022/09/p5-pr-jeune.jpg
Maurice Chapelan : https://www.cambridgescholars.com/news/item/book-in-focus-the-poems-and-aphorisms-of-maurice-chapelan
Félicité de Lamennais : https://en.muzeo.com/art-print/felicite-robert-de-lamennais-ecrivain/ary-scheffer
Jules Noriac : https://fr.wikipedia.org/wiki/Jules_Noriac#/media/Fichier:Jules_Noriac_Nadar.jpg
Jean de la Bruyère : https://www.ecured.cu/Jean_de_La_Bruyére#/media/File:Bruyere.jpg
Henri Duvernois : https://www.delcampe.net/en_GB/collectables/programs/theatre-des-nouveautes-paris-la-guitare-et-le-jazz-de-henri-duvernois-et-robert-dieudonne-1928-1929-1034826850.html
Frédéric II : https://www.calendarz.com/fr/on-this-day/november/18/frederick-ii-of-prussia
Saint-Évremond : https://fr.wikipedia.org/wiki/Charles_de_Saint-Évremond#/media/Fichier:Charles_de_Marquetel_de_Saint-Evremond_by_Jacques_Parmentier.jpg
Louis-Désiré Véron : https://fr.wikipedia.org/wiki/Louis-Désiré_Véron#/media/Fichier:Louis_Véron_-_engraving_-_Mirecourt_1855-_Google_Books.jpg
Romain Coolus : https://picclick.fr/Portrait-Romain-Coolus-René-Max-Weill-Scénariste-Cinéma-225296515824.html#&gid=1&pid=1
Comte de Voisenon : https://www.abebooks.fr/art-affiches/Claude-Henry-Fusée-Voisenon
Alexandre Dumas/5
13 notes
Résumé :
On peut être un héros sans peur et sans reproche mais nourrir des regrets, même lorsqu’on s’appelle Giuseppe Garibaldi.
Un soir après dîner, alors que l’artisan de l’unité italienne raconte ses exploits à de jeunes aristocrates anglaises, la comtesse d’Argyle lui pose une question bien indiscrète : « Général, voyons, franchement, quelle est l’action que vous vous reprochez le plus sévèrement ? »
Garibaldi n’hésite pas. Il explique à ses admiratrices qu... >Voir plus
Un soir après dîner, alors que l’artisan de l’unité italienne raconte ses exploits à de jeunes aristocrates anglaises, la comtesse d’Argyle lui pose une question bien indiscrète : « Général, voyons, franchement, quelle est l’action que vous vous reprochez le plus sévèrement ? »
Garibaldi n’hésite pas. Il explique à ses admiratrices qu... >Voir plus
étiquettes
Ajouter des étiquettes
Que lire après Un cas de conscienceVoir plus
Critiques, Analyses et Avis (7)
Voir plus
Ajouter une critique
Ouah ! Ouah ! Une histoire qui a du chien.
Alexandre Dumas aimait beaucoup les chiens, il raconte leurs exploits dans plusieurs de ses nombreuses oeuvres. Je ne le savais pas.
Dans cette histoire triste et révoltante, il est question d'un toutou suprêmement intelligent et même héroïque mais qui, malheureusement, ...
L'histoire se passe à l'époque de Garibaldi, dont l'auteur parle abondamment dans sa préface.
Dumas était aussi anticlérical ou plutôt contre le conservatisme d'une certaine église, ce qui a valu à son roman quelques coupures d'Anastasie.
Ce récit est historique, renseigne en quelques notes sur la biographies des personnages célèbres qui y sont cités mais il est naturellement un peu daté.
Là encore, la condition féminine est bien perçue.
Un classique à lire parmi les autres.
Alexandre Dumas aimait beaucoup les chiens, il raconte leurs exploits dans plusieurs de ses nombreuses oeuvres. Je ne le savais pas.
Dans cette histoire triste et révoltante, il est question d'un toutou suprêmement intelligent et même héroïque mais qui, malheureusement, ...
L'histoire se passe à l'époque de Garibaldi, dont l'auteur parle abondamment dans sa préface.
Dumas était aussi anticlérical ou plutôt contre le conservatisme d'une certaine église, ce qui a valu à son roman quelques coupures d'Anastasie.
Ce récit est historique, renseigne en quelques notes sur la biographies des personnages célèbres qui y sont cités mais il est naturellement un peu daté.
Là encore, la condition féminine est bien perçue.
Un classique à lire parmi les autres.
Dans ce petit roman à l'architecture aussi habilement complexe qu'un cabinet florentin, vous rencontrerez Alexandre Dumas lui-même, Guiseppe Garibaldi, un jeune lord engagé dans la lutte pour l'unité italienne, un chien héroïque, une anglaise mystérieuse, un prêtre bien embarrassé et le cas de conscience d'une dévote maléfique.
L'intrigue de fond est un mélodrame relativement banal, qui selon les sensibilités pourra émouvoir ou laisser indifférent, mais l'intérêt essentiel du texte est ailleurs. Dans cette mise en forme très travaillée et très intrigante, où chaque chapitre ouvre un nouveau volet derrière lequel de nouveaux tiroirs secrets seront à découvrir.
Dans l'implication autobiographique - Dumas s'est lui-même engagé, physiquement et financièrement, dans l'aventure garibaldienne qu'il évoque en témoin de premier ordre. Dans la prise de position politique qui sous-tend toute l'affaire, la verve ironique superbe avec laquelle le grand Alexandre égratigne - que dis-je, écorche vif ! - le parti dévot ultramontain, les ambitions temporelles de la papauté et les hypocrisies mauvaises de la bigoterie mal conçue. Avec assez de finesse, toutefois, pour leur opposer la figure d'un prêtre sympathique et généreux, véritable double de l'auteur.
La préface de Claude Schopp est comme toujours passionnante, et sans (presque) trop en dire, permet d'aborder le récit avec tous les éléments contextuels nécessaires. Encore une belle initiative des éditions Phébus que cette réédition soignée d'un ouvrage méconnu, mais aussi plaisant qu'intéressant !
Lien : http://ys-melmoth.livejourna..
L'intrigue de fond est un mélodrame relativement banal, qui selon les sensibilités pourra émouvoir ou laisser indifférent, mais l'intérêt essentiel du texte est ailleurs. Dans cette mise en forme très travaillée et très intrigante, où chaque chapitre ouvre un nouveau volet derrière lequel de nouveaux tiroirs secrets seront à découvrir.
Dans l'implication autobiographique - Dumas s'est lui-même engagé, physiquement et financièrement, dans l'aventure garibaldienne qu'il évoque en témoin de premier ordre. Dans la prise de position politique qui sous-tend toute l'affaire, la verve ironique superbe avec laquelle le grand Alexandre égratigne - que dis-je, écorche vif ! - le parti dévot ultramontain, les ambitions temporelles de la papauté et les hypocrisies mauvaises de la bigoterie mal conçue. Avec assez de finesse, toutefois, pour leur opposer la figure d'un prêtre sympathique et généreux, véritable double de l'auteur.
La préface de Claude Schopp est comme toujours passionnante, et sans (presque) trop en dire, permet d'aborder le récit avec tous les éléments contextuels nécessaires. Encore une belle initiative des éditions Phébus que cette réédition soignée d'un ouvrage méconnu, mais aussi plaisant qu'intéressant !
Lien : http://ys-melmoth.livejourna..
La destinée d'un chien malin, aimant et valeureux, nommé Mustang, est le fil rouge d'un récit qui a pour arrière-plan l'épopée garibaldienne et la lutte qui voit s'affronter en France partisans de l'unité italienne et opposants à la remise en cause du pouvoir temporel et politique du Vatican - Alexandre Dumas lui-même ayant participé à l'une et à l'autre. Un merci, au passage, à la préface et à son auteur pour les éléments d'information sur un contexte historique que je connaissais mal.
Originellement publié en feuilleton de 12 épisodes, le récit tient ici en moins de 80 pages et se déploie de manière assez curieuse, en différents récits emboîtés, inégaux par la durée, le rythme, la forme, le ton. On passe en peu de temps du pittoresque à l'épopée puis au mélodrame, du champ de bataille à l'intimité de la demeure d'une lady anglaise, d'un témoignage direct à une conversation, une lettre … qui correspondent à autant de narrateurs différents : Dumas lui-même, le général Garibaldi, un abbé, une marquise. Bref, une profusion de récits et de manières de raconter que j'ai trouvé plus perturbante que pleinement séduisante mais qui n'enlève pas l'envie de connaître le fin mot de l'histoire.
La clé du titre du livre réside dans la dernière partie du récit qui nous jette en plein (mélo)drame familial et dans lequel un personnage féminin étrange et maléfique – une de ces catholiques fanatiques que Dumas stigmatise avec force - va jouer un rôle décisif dans le destin de Mustang. Au final, plus de curiosité que d'engouement pour ce récit ancré dans les combats politiques de l'époque et servi par la verve d'Alexandre Dumas.
Merci aux Editions Phébus ainsi qu'à Babelio et son opération Masse critique pour cette découverte.
Originellement publié en feuilleton de 12 épisodes, le récit tient ici en moins de 80 pages et se déploie de manière assez curieuse, en différents récits emboîtés, inégaux par la durée, le rythme, la forme, le ton. On passe en peu de temps du pittoresque à l'épopée puis au mélodrame, du champ de bataille à l'intimité de la demeure d'une lady anglaise, d'un témoignage direct à une conversation, une lettre … qui correspondent à autant de narrateurs différents : Dumas lui-même, le général Garibaldi, un abbé, une marquise. Bref, une profusion de récits et de manières de raconter que j'ai trouvé plus perturbante que pleinement séduisante mais qui n'enlève pas l'envie de connaître le fin mot de l'histoire.
La clé du titre du livre réside dans la dernière partie du récit qui nous jette en plein (mélo)drame familial et dans lequel un personnage féminin étrange et maléfique – une de ces catholiques fanatiques que Dumas stigmatise avec force - va jouer un rôle décisif dans le destin de Mustang. Au final, plus de curiosité que d'engouement pour ce récit ancré dans les combats politiques de l'époque et servi par la verve d'Alexandre Dumas.
Merci aux Editions Phébus ainsi qu'à Babelio et son opération Masse critique pour cette découverte.
Un inédit de Dumas ? Je m'y précipite comme la misère sur la bas peuple ! Voici l'édition en volume d'un très court roman (ou longue nouvelle), dont le texte parut en 1866 en plusieurs livraisons dans un journal de l'époque, "le Soleil". La structure narrative, déjà utilisée par Dumas dans d'autres oeuvres, se compose de plusieurs récits emboîtés, présentés par différents narrateurs. Elle constitue de ce point de vue l'un des attraits de l'ouvrage, dans lequel on trouve pêle-mêle un chien héroïque, un personnage historique à l'origine de l'unité italienne, des citoyens anglais de la meilleure société, une dévote sulfureuse et maléfique, un directeur de conscience scrupuleux, une mère à la recherche de son enfant... Un concentré de Dumas en moins de 100 pages. On ne boude pas son plaisir. Bravo aux éditions Phébus qui, depuis plusieurs années, défendent la postérité du grand Alexandre pour le plus grand bonheur des amateurs !
L'intrigue
On peut être un héros sans peur et sans reproche mais nourrir des regrets, même lorsqu'on s'appelle Giuseppe Garibaldi.
Un soir après dîner, alors que l'artisan de l'unité italienne raconte ses exploits à de jeunes aristocrates anglaises, la comtesse d'Argyle lui pose une question bien indiscrète : « Général, voyons, franchement, quelle est l'action que vous vous reprochez le plus sévèrement ? »
Garibaldi n'hésite pas. Il explique à ses admiratrices que c'est une injustice qu'il a faite… à un chien.
Chronique
Merci à Babelio et aux Editions Phebus pour ce partenariat, et une fois de plus toutes mes excuses pour le retard !
La première chose qui m'a attirée dans ce bouquin, soyons honnêtes, c'est l'auteur. Je veux le découvrir depuis longtemps déjà, et ce court roman était parfait pour ça ! Deuxième chose, la quatrième de couverture : un roman axé autour d'un chien…?
Bref, pour ce qui est du style classique que j'aime tant, j'ai été servie ! Amateurs de classiques un peu refroidis par les longues descriptions, n'hésitez pas ! Ici, peu de fioritures ou longs paragraphes soporifiques, on est principalement sur de grandes tirades vraiment bien écrites et très fluides à lire.
C'est un peu flou au début lorsque l'auteur nous met dans le contexte de guerres/conquêtes, mais ça finit par vite se dénouer lorsqu'on en vient à Garibaldi et à l'histoire du chien Mustang. Histoire des plus touchantes, qui rend en quelque sorte hommage aux fidèles compagnons à quatre pattes qui ont permis plus d'une avancée stratégique en temps de guerre.
L'originalité réside également dans le fait qu'elle nous est comptée en plusieurs temps par plusieurs personnages dont les récits finissent par s'imbriquer pour qu'on obtienne le récit complet de la vie de ce héros et de son maître, et de l'influence de Mustang sur une mère seule, aigrie et blasée.
Une lecture rapide et agréable, j'ai passé un bon moment et ça me donne envie de me lancer dans du grand Dumas !
Chroniques Livresques
En deux mots
De la bonne littérature classique, des tirades comme je les aime !
Une histoire en plusieurs temps qui ne perd pas de rythme.
Un bon classique court et efficace pour découvrir l'auteur.
[Informations livre : Alexandre Dumas – Un Cas de Conscience | Editions Phebus | Littérature Classique | 112 pages | 11€]
Lien : http://www.chroniques-livres..
On peut être un héros sans peur et sans reproche mais nourrir des regrets, même lorsqu'on s'appelle Giuseppe Garibaldi.
Un soir après dîner, alors que l'artisan de l'unité italienne raconte ses exploits à de jeunes aristocrates anglaises, la comtesse d'Argyle lui pose une question bien indiscrète : « Général, voyons, franchement, quelle est l'action que vous vous reprochez le plus sévèrement ? »
Garibaldi n'hésite pas. Il explique à ses admiratrices que c'est une injustice qu'il a faite… à un chien.
Chronique
Merci à Babelio et aux Editions Phebus pour ce partenariat, et une fois de plus toutes mes excuses pour le retard !
La première chose qui m'a attirée dans ce bouquin, soyons honnêtes, c'est l'auteur. Je veux le découvrir depuis longtemps déjà, et ce court roman était parfait pour ça ! Deuxième chose, la quatrième de couverture : un roman axé autour d'un chien…?
Bref, pour ce qui est du style classique que j'aime tant, j'ai été servie ! Amateurs de classiques un peu refroidis par les longues descriptions, n'hésitez pas ! Ici, peu de fioritures ou longs paragraphes soporifiques, on est principalement sur de grandes tirades vraiment bien écrites et très fluides à lire.
C'est un peu flou au début lorsque l'auteur nous met dans le contexte de guerres/conquêtes, mais ça finit par vite se dénouer lorsqu'on en vient à Garibaldi et à l'histoire du chien Mustang. Histoire des plus touchantes, qui rend en quelque sorte hommage aux fidèles compagnons à quatre pattes qui ont permis plus d'une avancée stratégique en temps de guerre.
L'originalité réside également dans le fait qu'elle nous est comptée en plusieurs temps par plusieurs personnages dont les récits finissent par s'imbriquer pour qu'on obtienne le récit complet de la vie de ce héros et de son maître, et de l'influence de Mustang sur une mère seule, aigrie et blasée.
Une lecture rapide et agréable, j'ai passé un bon moment et ça me donne envie de me lancer dans du grand Dumas !
Chroniques Livresques
En deux mots
De la bonne littérature classique, des tirades comme je les aime !
Une histoire en plusieurs temps qui ne perd pas de rythme.
Un bon classique court et efficace pour découvrir l'auteur.
[Informations livre : Alexandre Dumas – Un Cas de Conscience | Editions Phebus | Littérature Classique | 112 pages | 11€]
Lien : http://www.chroniques-livres..
critiques presse (1)
Ce court roman d'Alexandre Dumas, inédit, offre encore une fois un plaisir inégalé.
Lire la critique sur le site : LeFigaro
Citations et extraits (3)
Ajouter une citation
Ce chien, qui m'a tour à tour servi d'espion, de courrier, d'éclaireur, de parlementaire, d'aide de camp, de maître d'hôtel et qui enfin m'a sauvé la vie, se nommait Mustang.
Il m'a toujours paru que, comme les hommes, les maisons montrent leur cachet moral qui exagère la figure et la change en physionomie.
Le Commodore savait parfaitement qu'il n'était point aimé; mais il savait aussi que la femme anglaise est la martyre de son devoir.
Videos de Alexandre Dumas (91)
Voir plusAjouter une vidéo
Les plus populaires : Littérature française
Voir plus
Les Dernières Actualités
Voir plus
Autres livres de Alexandre Dumas (602)
Voir plus
Quiz
Voir plus
Les personnages des Trois Mousquetaires et Vingt ans après
Sous quel nom connaît-on monsieur du Vallon de Bracieux de Pierrefonds ?
Athos
Porthos
Aramis
D'Artagnan
9 questions
181 lecteurs ont répondu
Thème :
Alexandre DumasCréer un quiz sur ce livre181 lecteurs ont répondu