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Daniel Grenier (Traducteur)
EAN : 978B08J26D73F
Éditions Hannenorak (06/10/2020)
3.84/5   32 notes
Résumé :
Traduit de l’anglais (Canada) par Daniel Grenier

Après avoir perdu son emploi et son mari musicien, Rose Okanese, mère de deux filles au caractère bien trempé, décide qu’il est temps de s’occuper d’elle-même et de remonter son estime de soi. Son idée de génie : courir le marathon annuel organisé dans sa réserve, et ce, malgré le fait qu’elle n’a pas enfilé de souliers de course depuis vingt ans, qu’elle fume comme une cheminée et que l’optimisme n’est... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (4) Ajouter une critique
Une histoire de femmes qui donne dans le fantastique et même l'horreur.

Un roman qui présente un mélange de genres, d'abord l'histoire d'une femme qui vit dans une réserve autochtone en Saskatchewan. Elle est victime d'une relation plus ou moins toxique, elle essaie tant bien que mal de s'en sortir et en parle avec beaucoup d'autodérision. Elle a aussi le béguin pour un ancien confrère de classe et elle a décidé de faire un marathon (la course à pied n'occupe cependant pas beaucoup de place dans le livre).

Le roman change graduellement de ton, avec l'intervention de fantômes bienveillants de Rose, mais aussi d'une sorcière meurtrière. Un combat contre les forces du mal, un tout autre genre de course !

Un livre intéressant, un roman de situations psychologiques et sociales pathétiques, mais qui joue sur l'humour et qui va même puiser dans le surnaturel alimenter ses prises de position.
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Rose, mère de deux filles, une ado et une pré-ado vit dans une réserve indienne canadienne. Elle découvre son mari au lit avec sa cousine dans sa propre maison (de toute façon c'était un musicien toujours sur la route, ni très bon mari, ni très bon père), elle perd son emploi et se retrouve bien malgré elle engagée dans pour le prochain marathon de la réserve alors qu'elle n'a pas fait de sport depuis des années. Et voilà que le nouveau chef de la réserve est son amoureux de primaire, et les femmes de la réserve commencent à avoir un comportement étranges... Bref c'est le bazar dans la vie de Rose et dans la réserve.
J'ai passé un agréable moment lors de cette lecture, assez fraîche qui m'a fait mettre un pied dans l'organisation d'une réserve...


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J'ai malheureusement été déçue par ce livre. Un livre que j'ai dû me forcer à terminer. le commencement étant pourtant non dénué d'intérêt: les tribulations d'une femme vivant dans une réserve autochtone en Saskatchewan. La première demie du livre tourne autour d'elle, de sa vie et de celle de ses proches dans la communauté et de son projet de course. le livre prend ensuite un tournant fantastique faisant intervenir des personnages surnaturels et disons-le, ennuyants. Je n'ai pas suivi l'autrice dans ce changement et je n'ai pas compris pourquoi elle l'a fait. Manque d'inspiration peut-être? Ou un élan créatif un peu douteux? La course qui semblait au départ être le thème central du livre est devenue tout à fait secondaire et encore une fois, je ne comprends pas quelle en est la raison. Bref, ce livre m'a déçue et je ne recommande pas sa lecture.
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J'ai adoré l'humour de ce roman, le personnage de Rose, découvrir la vie de cette réserve de la Saskatchewan et ses petsonnages hauts en couleur, son fonctionnement très aléatoire. Mais ça part en vrille sur la fin, hélas, et ça a fait retomber mon enthousiasme.
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Citations et extraits (2) Ajouter une citation
— Vire-moi pas, Susie, s’il te plaît, j’ai besoin de ce job-là. S’il te plaît, fais pas ça. S’il te plaît.
Le dernier « s’il te plaît, » était peut-être de trop, mais la subtilité, c’était quelque chose que seuls les gens avec une bonne convention collective pouvaient se permettre.

(Hannenorak, p.54)
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— Je pensais que j’étais pas un mauvais gars, moi.

— J’ai jamais fait quoi que ce soit de pas correct à une femme de ma vie. Pas intentionnellement.

(Hannenorak, p.444)
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