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Cécile Desthuilliers (Traducteur)
EAN : 9782290262221
416 pages
J'ai lu (05/05/2021)
4.15/5   101 notes
Résumé :
1879. Brillante mais sans le sou, Annabelle a été admise à l'université d'Oxford grâce à une bourse offerte par une ligue de suffragettes. En contrepartie, elle doit rallier à leur cause le duc de Montgomery. Une véritable gageure. Soutien des conservateurs, Sebastian a une vision archaïque de la gent féminine. Pour autant, Annabelle ne s'attendait pas qu'il lui demande d'être sa maîtresse. Elle s'en étouffe d'indignation. Comment ose-t-il ? Femme libre et indépenda... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (37) Voir plus Ajouter une critique
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A force de voir passer ces petites couvertures marrantes sur Babelio, j'ai craqué ! Et première observation, le contenu n'est pas marrant du tout...

Ce roman est le premier d'une série consacrée aux suffragettes Les Rebelles d'Oxford , (en anglais La ligue des femmes extraordinaires ; le titre original de ce tome , aussi, est meilleur : Brinding down the duke. )
En 1879, le seul avenir possible pour une jeune fille était le mariage, mais certaines jeunes femmes s'opposent à cette vision, qu'elles jugent , archaïque. " La loi sur la propriété des femmes mariées fait de chaque épouse une esclave légale !".
En ce temps là, les biens des jeunes mariées appartenaient aussitôt le mariage signé à leur époux, qui pouvaient en faire ce qu'ils voulaient.

Et donc en 1879, Annabelle est admise à Oxford grace à une bourse offerte par une ligue de suffragette, autant dire qu'elle leur doit des heures et des services. Sa mission sera de convaincre de duc de Montgomery de les écouter, puisqu'elle l'a déjà rencontré. Et de fil en aiguille, ils vont beaucoup se voir, au point qu'il se rendra compte de son intelligence. Annabelle parle français, latin, grec, maitrise l'histoire et le piano. Une jeune demoiselle brillante, donc, mais au caractère vif et acéré, ce qui la place à l'opposé de ce que l'on attend d'une jeune fille à cette époque.

Une préface nous replace dans le contexte historique de la Régence, au cas où on n'en saurait rien, ou qu'on aurait tout oublié... Sur le plan historique, on sent que l'auteure s'est documentée, et pourtant... Je ne m'attendais pas à ça !
Je m'attendais à une jolie histoire bien romantique sous fond historique, le dessin de la couverture me faisait espérer des dialogues acérés et pétillants, il n'en est rien. Très vite, l'histoire d'amour entre Annabelle et le duc, part en histoire de cul (excusez-moi ...). Vu l'époque où ça se passe, je ne m'y attendais pas du tout ! J'espérais du Jane Austen revisité...
J'ai trouvé ça vulgaire , incongru et un brin déplacé. Diantre ! On est en 1879, et je ne pensais pas les jeunes filles célibataires de l'époque aussi dévergondées ! Même notre contemporaine Bridget Jones est plus pudique .
Et plus drôle, et plus attachante (et plus tout ! )
Et donc cette série est mal partie avec moi, je trouve que c'est totalement gratuit, et anachronique et j'ai du mal à prendre cette série au sérieux.
C'est dommage, j'aurai aimé que l'auteure insiste plus sur le combat féministe, politique, camarade !
Un peu d'humour n'eut point desservi la cause...

J'ai le deuxième tome, au delà, je ne pense pas poursuivre avec cette série. Ce genre-là n'est pas pour moi.
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Après l'excellent Les caprices de Lady Violet, j'étais impatiente de découvrir un autre roman de la nouvelle collection des éditions J'ai lu, Regency. Et c'est sur Panique chez les Montgomery que j'ai jeté mon dévolu, un roman lu en compagnie des Blablas de Tachan que je remercie pour nos échanges et m'avoir incitée à ne pas le laisser dormir dans ma PAL. Cela aurait été, en effet, fort dommage vu le très bon moment de détente passé en compagnie d'Annabelle et du duc de Montgomery.

Deux fortes têtes qui n'auraient jamais dû se rencontrer mais à l'alchimie indéniable…

L'une pauvre étudiante à Oxford, indépendante et rebelle, l'autre titré, riche et conservateur, ils n'auraient jamais dû se rencontrer. Et pourtant, l'engagement de la jeune femme auprès du sulfureux mouvement des suffragettes, du moins pour l'époque, va en décider autrement. La rencontre est électrique, l'attirance physique fulgurante et les yeux de la jeune femme un piège duquel le duc, mais il ne le sait pas encore, va avoir bien du mal à s'extirper. La scène de la rencontre comporte un peu tous les clichés du genre, et d'ailleurs sur certains points l'histoire en elle-même a des petits airs de convenu, mais fort heureusement, elle ne préfigure en rien de la qualité de cette romance que j'ai trouvée mignonne et plutôt convaincante.

Je n'ai pas forcément eu des papillons dans le ventre tout au long de ma lecture, mais j'ai guetté avec impatience les interactions entre ces deux personnages à la personnalité diamétralement opposée. Malgré leurs différences de statut et de milieu social, l'alchimie est indéniable et la connivence s'établit avec un naturel désarmant. Car les deux vont enfin trouver en l'autre ce qu'ils attendaient du sexe opposé. Annabelle est galvanisée par cet homme qui ne considère pas sa culture classique, philosophique et littéraire comme une tare, et qui semble même apprécier sa liberté de penser, ses raisonnements, sa capacité à argumenter et à remettre à leur place, d'une réponse polie mais pas policée, les hommes trop sûrs d'eux-mêmes et de leur supériorité sur les femmes.

Sebastian, quant à lui, trouve en cette jeune femme cultivée et audacieuse ce qu'il n'a jamais trouvé ailleurs : une personne considérant l'homme derrière le duc. En effet, il a l'habitude que tout le monde évite son regard et plie l'échine devant lui, mais Annabelle n'hésite pas à le regarder droit dans les yeux, le contredire, le provoquer, remettre en question ses croyances, refuser de lui obéir… En d'autres termes, elle ne joue pas et se montre sous son vrai jour, même si celui-ci ne sied guère à une femme dans une société traditionnelle et paternaliste qui ne reconnaît pas aux femmes le droit de rester propriétaires de leurs biens après leur mariage, et donc de voter.

Un contexte politique intéressant au service d'une très sympathique romance…

Cette injustice est d'ailleurs en trame de fond dans cette romance qui utilise, du moins en deuxième partie, le contexte politique de l'époque pour susciter une réflexion intéressante sur le droit des femmes et leur soumission à l'autorité masculine. Attendez-vous d'ailleurs à lire d'innommables fadaises de la part de certains personnages, heureusement remis à leur place par nos héros. J'ai néanmoins trouvé que le mouvement des suffragettes n'était peut-être pas exploité autant qu'il l'aurait pu. Cela s'explique par le fait que l'engagement politique d'Annabelle n'est que de circonstances : c'était la condition sine qua non pour qu'elle obtienne une bourse lui permettant d'étudier à Oxford.

Ce n'est pas dérangeant en soi, d'autant que si Annabelle ne fait pas preuve de la même dévotion que Lady Lucie envers les suffragettes, elle se bat âprement pour son indépendance et sa propre liberté. Pourquoi devrait-elle obéir à un cousin idiot et incapable de s'occuper de son propre foyer, quand elle est curieuse, débrouillarde et intelligente ? Pourquoi devrait-elle plier l'échine devant des mâles arrogants, dont le seul fait d'armes est d'être bien nés, alors qu'elle travaille dur et possède cette force de caractère qui leur fait défaut ? Pourquoi devrait-elle prétendre être gênée quand ce sont les hommes en face d'elle qui énoncent des choses aussi stupides qu'illogiques ?

Des questions légitimes qui trouveront un écho inattendu auprès d'un duc peut-être bien plus ouvert d'esprit que son rôle de fin stratège, de figure politique des conservateurs et de conseiller auprès de la reine ne le laisse penser. J'avoue avoir été complètement séduite et surprise par ce personnage qui ne correspond en rien à l'image que je m'en étais fait. Derrière sa froideur et son visage de façade, se cache un homme au tempérament de feu qui lutte pour ne pas s'embraser pour une jeune femme qu'il n'aurait jamais dû désirer, ou alors discrètement, et sans ajouter au désir des sentiments bien plus profonds.

L'autrice insistant beaucoup sur l'attirance physique entre ces deux personnages au physique avenant, j'ai craint un manque de profondeur quant à leur relation. Mais j'ai trouvé la manière dont est gérée leur relation et son évolution intéressante, avec des échanges directs et parfois piquants, des promenades, des regards appuyés, des allusions littéraires (dont un événement qui ne sera pas sans rappeler Orgueil et préjugés), et une entente de fond, qui se passe de forme, assez surprenante.

Une romance qui défie les conventions tout en abordant des thématiques intéressantes…

J'aurais apprécié que certains points et passages soient plus développés, afin que l'on saisisse pleinement la force de leur attirance physique et intellectuelle, mais force est de constater que je me suis sentie bien auprès de ces deux personnages et de leur romance à contre-courant. Car dans cette bonne société anglaise du XIX e siècle, il est inconcevable qu'une femme sans fortune, cultivée de surcroît, puisse s'attitrer les faveurs d'un homme de pouvoir tel qu'un duc. Cette différence de statut engendrera d'ailleurs des difficultés dans le couple, des incompréhensions et des décisions parfois contestables, tout en offrant un espace de réflexion intéressant sur la méritocratie, le statut des femmes, la noblesse, mais aussi le poids de l'héritage familial et du passé...

À cet égard, le frère de Sebastien se démarque de la ligne de conduite de son aîné et nous prouve que tout le monde n'est pas prêt à porter le poids des traditions et des responsabilités associées à un titre de noblesse et à une prestigieuse lignée. J'aurais adoré en apprendre plus sur ce jeune homme avenant et plutôt sympathique, mais le contraste saisissant avec le duc rend leur relation aussi intéressante que tumultueuse. Il faudra ainsi un certain temps avant que Sebastien ouvre les yeux sur une réalité qu'il a trop longtemps ignorée, conduisant son cadet à prendre des mesures plutôt radicales.

Un protagoniste masculin à l'évolution probante mais des personnages secondaires un peu faibles…

Si l'évolution du duc m'a semblé un peu précipitée sur la fin, elle m'a donné entière satisfaction, d'autant qu'elle est l'occasion de scènes tendres et romantiques, certes un peu clichées, mais terriblement touchantes et mignonnes. Et puis, elle est à l'image de notre duc : radicale et éclatante ! Vous verrez qu'il ne fait rien à moitié et qu'il se lance en amour comme en politique, avec la force du vainqueur et l'esprit du conquérant. Un conquérant qui va devoir s'adapter à une jeune femme rebelle, intelligente, cultivée et amoureuse de mythologie, sublime, et bien trop surprenante et tentante.

Le travail sur la construction des deux protagoniste est indéniable, celui sur les personnages secondaires perfectible. Ce sera là mon seul petit reproche : des personnages secondaires trop superficiels au point que je n'ai guère retenu grand-chose des amies d'Annabelle, si ce n'est le côté doux, rêveur et artistique de Hattie, et la force de caractère de la très engagée Lady Lucie. Une femme dont on devine aisément l'homme qui fera chavirer son coeur dans le roman qui lui est consacré. En ce qui concerne l'autre amie de Lucie, rien ne m'a marquée parce qu'elle fait vraiment de la figuration…

Quant à l'écriture de l'autrice, je l'ai trouvée fluide, dynamique et agréable, au point de lire la romance sur une journée/soirée. Je n'ai pas ressenti le côté addictif de certaines histoires d'amour, mais c'est avec beaucoup de plaisir que j'ai enchaîné les pages et sans jamais ressentir le moindre ennui.

En bref, voici une romance faisant entrer en collision un homme engoncé dans ses principes moraux et sa droiture, et une femme rebelle et libre d'esprit, mais terrifiée à l'idée de retomber dans le piège de l'amour. Deux personnages qui n'ont en apparence rien en commun, mais qui vont se découvrir une affinité, une complicité et une attirance qui transcendent le statut social, les conventions, la société, la politique… Entre les références et les petits clins d'oeil littéraires et mythologiques, des échanges percutants, des moments électriques et sensuels, des regards qui ne trompent pas, et des tensions liées autant au contexte politique de l'époque qu'aux frictions entre deux fortes têtes, vous ne devriez pas voir le temps passer. Un roman agréable et facile à lire parfait pour les amateurs de romances historiques liant avec subtilité, et sans lourdeur, contexte politique et sentiments amoureux.
Lien : https://lightandsmell.wordpr..
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J'ai immédiatement fondu pour la collection Regency sortie récemment aux éditions J'ai Lu et ai acheté, sur un coup de tête, les quatre premiers titres. Des quatre, c'est celui-ci qui me semblait le plus prometteur et je suis heureuse de ne pas m'être trompée.

Annabelle est une fille de pasteur sans le sou. Indépendante, elle désire s'instruire dans une société où les droits de la femme sont clairement limitées. L'action des suffragettes lui permet d'obtenir une bourse pour Oxford en contrepartie d'actions militantes. L'une d'elle est de se renseigner sur les parlementaires opposés à leurs idées afin d'essayer de les faire fléchir. Annabelle se voit assignée à Montgomery, duc glacial, conseiller des Torys et écouté de Sa Majesté. Autant dire que la tâche est rude. Surtout que les sentiments s'en mêlent...

C'est une romance délicieuse, légère. Les personnages sont attachants, notamment les deux personnages principaux. Mon seul bémol porte sur les scènes érotiques, un peu trop nombreuses à mon goût. J'aurai voulu plus de retenue pour une époque si dans la retenue. Mais, ce point mis à part, cela reste un roman que j'ai beaucoup apprécié, tant par l'intrigue amoureuse qui m'a fait fondre ( coup de foudre, passion... ah mon coeur guimauve...) que par sa toile de fond sur les droits de la femme. Très bien dosée, l'auteure nous happe si bien que le roman est très vite terminé!

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J'avais des doutes en achetant le roman parce que féminisme et romance historique ne me semblaient pas aller très bien ensemble, mais finalement j'ai été très vite absorbée par l'histoire et j'ai adoré "Panique chez les Montgomery".

L'autrice parvient à créer une véritable intensité dramatique : les sentiments de nos deux héros, Annabelle et Sebastian, vont tellement à l'encontre de leurs principes et de leurs intérêts respectifs qu'il semble impossible d'arriver au happy-end sans que l'un des deux ne soit obligé de renoncer à ce à quoi il tient. Et pourtant la complicité entre les deux jeunes gens est évidente dès leurs premières chamailleries.

Evie Dunmore choisit de placer sont récit dans un décor historique plus développé que dans la plupart des romances : les premières étudiantes à Oxford qui suivent les cours dans des conditions assez précaires, les suffragettes qui cherchent à faire avancer les droits des femmes alors que les législateurs sont des hommes satisfaits de leur situation dominante,... Je crois que c'est la première fois que je lis une romance avec une suffragette pour héroïne et j'ai aimé le changement d'optique que cela apporte.

J'ai passé un excellent moment avec le premier tome des Rebelles d'Oxford, au point que je me suis précipitée pour acheter les deux suivants sans attendre...
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Encore une fois, je me suis bien amusée !

Quand, pour arriver à s'inscrire à Oxford, une jeune femme, plus toute jeune mais pas vieille non plus et surtout savante, décide de s'inscrire dans un groupe féministe pour obtenir une bourse d'études les quiproquos s'enchaînent pour mon plus grand plaisir.

Faut dire que l'héroïne ne manque pas d'audace ni de répartie et que le personnage principal, un Duc rien que cela, n'est pas des plus faciles à cerner. N'empêche, il suffit d'un regard réciproque et appuyé pour que la communication s'établisse et alors, par petites touches, le message pour l'indépendance des femmes mariées finit par tomber dans la bonne oreille et par faire mouche ;-)

Une découverte que cette auteure qui s'est bien renseignée sur cette période de la Régence où les femmes ont tellement peu de droits alors que c'est une Reine qui dirige l'Empire anglais ; reine finalement peu sensible aux aspirations féminines alors qu'elle aurait pu faire beaucoup !

Une belle découverte donc et surtout une couverture au top ! Je vais évidemment suivre au plus près cette nouvelle série ‘Regency' des Editions J'ai Lu qui du rouge glamour et érotique passe au dessin plutôt humoristique :-)
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Citations et extraits (10) Voir plus Ajouter une citation
– Oh, mais on trouve aussi des histoires d'amour dans les récits grecs. Prenez Hélène de Troie, par exemple. Le roi Ménélas a envoyé mille vaisseaux pour la retrouver.
Hattie pinça les lèvres.
– Ce chiffre m'a toujours paru excessif. Ménélas et Pâris se battent pour elle comme des chiens pour un os, personne ne s'avise de lui demander ce qu'elle voudrait, et elle n'est amoureuse de Pâris que parce qu'elle a reçu une flèche empoisonnée. Vous parlez d'une histoire d'amour !
– C'était de la passion, rectifia Annabelle. La flèche d'Eros était imprégnée de passion.
– O, passion, poison... c'est du pareil au même ! s'emporta Hattie. Cela vous prive de toute raison.
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Les politiciens aiment donner l'impression qu'ils sont accessibles, du moins pendant la période qui précéde le vote.
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Les violences infligées aux femmes mariées ne sont pas un secret, mais on voudrait nous faire croire que cela n'arrive que chez les pauvres.
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(...) , si la marquise croit le cerveau féminin incapable d'une analyse sensée sur des questions politiques, pourquoi devrions-nous considérer que SON analyse sur les femmes et la politique est sensée ?
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Elle était capable de survivre à deux jours dans cet environnement luxueux. Elle savait utiliser ses couverts dans le bon ordre et faire la révérence aux personnes appropriées. Elle maîtrisait le français, le latin et le grec, savait chanter et jouer du piano, et pouvait tenir une conversation sur l'histoire de l'Orient et de l'Occident.
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Video de Evie Dunmore (1) Voir plusAjouter une vidéo
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Author Visit: Evie Dunmore @ Cary Library (August 12, 2020)
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