« Neuf nouvelles « occidentales » où se lisent la peur que l’Occident a des femmes et leur exclusion, ainsi que le leurre d’un ailleurs « oriental ». Le leurre de cet Orient perdu, perdu comme une culture perdue, dont Marguerite Yourcenar a fait le sanctuaire et le refuge mythique des marginaux et des exilés, dans la sagesse et la sérénité retrouvée.[…] Adieu à ce faux ailleurs où les femmes sont vouées à l’absence ou au travestissement […], où ne règne, en réalité,... >Voir plus