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Critique de gielair


Ce roman se termine sur une phrase qui parle de l'auteur : Un jour, il faut bien apprendre à compter [à conter]. Éric Dupont sait conter. Il l'a démontré l'été dernier avec ses énigmes littéraires publiées dans le Devoir. Il le fait sentir de façon encore plus aigüe dans ce roman gaspésien qui se déroule presqu'entièrement à Montréal, dans ce roman réaliste où le fantastique tient le haut du pavé, dans cette tragédie romanesque qui aurait pu s'intituler «Chercher le vent» si Guillaume Vigneault était né quelques années plus tard. Ce roman à tendance marxiste où les Arrière-petites-filles de Lénine se dévoilent à qui mieux-mieux nous laisse sur l'espoir de lire d'autres écrits de ce gaspésien, montréalais d'adoption.
Lien : http://rivesderives.blogspot..
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