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4,13

sur 3944 notes

Critiques filtrées sur 3 étoiles  
Nous sommes dans les Cévennes, une région belle, un peu magique aussi, puisque les pierres y parlent. Seulement ce qu'elles racontent n'est pas très gai : un enfant est né lourdement handicapé, qui bien malgré lui prive ses parents et son aîné de l'insouciance, alors que sa cadette connaît les affres de la jalousie. Une famille bouleversée en somme, bouleversée en mal comme en bien.« À enfant hors norme, savoir hors norme […] Cet être n'apprendrait jamais rien et, de fait, c'est lui qui apprenait aux autres. »

Clara Dupont-Monod fait du pays cévenol des descriptions assez remarquables et ce qu'elle écrit sur l'arrivée d'un enfant handicapé peut vraiment émouvoir. Pourtant l'ennui a commencé à poindre à la page treize. Pour ne plus me lâcher jusqu'à la fin de ce roman pétri de bons sentiments. Trop c'est trop. Trop de descriptions et trop de pathos m'ont lassée et j'ai fini par force cette lecture commune. Mais ce n'est que mon avis bien sûr, d'autres ont été infiniment touchés par le récit de Clara Dupont-Monod.
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Un enfant naît handicapé. Comment chaque membre de la fratrie va s'adapter à lui ? Il y a celui qui va le protéger, celle qui va le rejeter et le dernier qui naîtra après. de belles descriptions de nature cévenole. Ce sont les pierres qui observent ces enfants sans prénom. Est-ce cela qui m'a gênée ou la construction ? J'en suis restée en lisière.
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Ce livre ne me tentait pas du tout, et puis il a obtenu plusieurs prix, beaucoup de critiques élogieuses, et forcément, on se met à fonder des espoirs... et voilà que je suis déçue, et en plus déçue d'être déçue ! À la page 12 de S'adapter, on découvre les narratrices choisies par Clara Dupont-Monod : « Nous les pierres rousses de la cour, qui faisons ce récit, nous sommes attachées aux enfants ». Pourquoi pas ? Mais ce procédé, très artificiel à mon avis, trouve vite ses limites, et tout se joue comme si l'autrice faisait rapidement fi de ses narratrices encombrantes et bien peu mobiles. Trois parties structurent ce roman. Elles sont titrées « L'aîné » (le blessé), « La cadette » (la frondeuse) et « Le dernier » (le sorcier). Nous ne saurons jamais les prénoms des enfants ni ceux des parents, pas plus d'ailleurs que celui de l'enfant « inadapté ». le mot est employé dès la deuxième ligne et nous amène à comprendre qu'il faudra donc S'adapter à cet enfant inadapté. Il n'est pas question de chercher du réalisme dans un récit pour lequel l'autrice a choisi ce type de narration. Cependant, j'ai manqué de repères pour m'immerger dans cette lecture que j'ai finie en diagonale. La quasi-absence des parents, le rôle de l'aîné qui semble tenter de pallier leur défection en assumant les soins quotidiens, la presque totale autonomie de la cadette dans l'indifférence apparente de ses géniteurs ont sans cesse perturbé ma lecture. Les parents redeviennent visibles dans la dernière partie, mais semblent toujours n'avoir pas de prise sur le réel. Passons sur les incohérences psychologiques. Si certains passages m'ont touchée, j'ai fini par faire une indigestion de pathos… le style de Clara Dupont-Monod ne m'a pas emballée. Il se révèle beaucoup trop affecté à mon goût, parfois jusqu'à la caricature. Je ne suis assurément pas le bon public pour ce roman…
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Contrairement à beaucoup de lecteurs, je ne ferai pas l'éloge de ce livre. Alors je n'ai pas détesté, mais au vu de tout ce qu'on en dit et des nombreux prix littéraires reçus, j'en attendais beaucoup beaucoup plus...

La plume de l'autrice est très agréable, très douce, tendre, délicate, en harmonie avec la nature. L'histoire, qui paraît touchante, est relatée par trois points de vue différents, celui de l'aîné, celui de la cadette et celui du petit dernier. C'est assez original et bienvenu, car rares sont les fois où la parole est donnée à la fratrie lorsque ce genre de sujet est abordé. On perçoit donc ici trois façons bien distinctes de s'adapter à l'handicap du frère.

Seulement, ce roman est bien trop court (même pas 180 pages) pour autant d'années écoulées. L'histoire en elle-même manque de profondeur, c'est trop survolé à mon goût, rien n'est réellement développé. Je n'ai pas eu le temps ni de m'attacher aux personnages (à part l'aîné un peu), ni d'être totalement happée par l'histoire.

Les protagonistes n'étant jamais nommés (on parle d'eux en fonction de leur statut : le père, la mère, l'aîné, la cadette, le dernier, l'enfant, la grand-mère, le berger, etc) et le récit étant narré par les pierres de la maison (plutôt original mais limité), le regard du lecteur est rendu trop étranger à l'histoire de cette famille. J'ai eu l'impression de ne pas avoir été invitée pleinement dans ma lecture, un peu comme si on m'avait mise de côté volontairement, un peu comme si je les avais observés de trop loin.

N'allez pas croire que je n'ai rien aimé dans ce livre. Comme dit plus haut, le style de l'autrice est très plaisant, très élégant (j'ai d'ailleurs relevé de nombreux extraits). Raconter l'handicap d'un enfant à travers les yeux des frères et soeur change de l'ordinaire. Et malgré ce manque d'approndissement et cette sorte de froideur dans la narration, l'histoire ne laisse (presque) pas indifférent non plus. Mais ce n'est pas du tout ce qu'on m'avait laissé entendre dans toutes les éloges que j'ai pu lire. Je n'ai pas eu le bouleversement émotionnel que j'attendais. Je n'ai pas vibré. Je n'ai pas ressenti la puissance des émotions que ce livre est censé dégager. Je n'ai pas été subjuguée, ni envoûtée. Je n'ai quasiment rien ressenti. Je n'ai en fait rien eu de ce qu'on m'avait promis et c'est en cela que je suis extrêmement déçue.

C'est beau, mais fade. C'est beau, mais froid.

D'habitude, je m'en méfie de tous ces prix. Ici, et j'ignore pourquoi, j'étais sûre d'avoir mon futur coup de coeur entre les mains. J'en tombe donc de haut, même si je ne peux pas dire avoir détesté. Il aurait fallu que je le lise dès sa sortie, avant qu'on en fasse tout ce tapage, mes attentes et donc mon ressenti en auraient été moins faussés...
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Quand un enfant lourdement handicapé arrive dans une famille, il y a la détresse des parents bien sûr mais la fratrie est également frappée.
Rejet, désir de protéger, enfermement sur soi, se faire tout petit, se faire remarquer, honte, honte d'avoir honte, deuil d'avenir à trois...
Voici ce dont il est question dans ce roman.
L'écriture est poétique ; d'ailleurs ce sont les pierres qui racontent et qui témoignent.
C'est un presque témoignage ; la vie d'une famille, des parents, des frères et soeur, d'une grand-mère, des cousins, du médecin, des amis qui vont vivre, chacun à leur manière, la courte existence de cet enfant.
l y a néanmoins quelques longueurs et clichés qui m'ont éloignés de l'émotion.
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S'adapter. Un roman dont on a beaucoup parlé. Si la 4 e de couverture raconte beaucoup mais je ne m'attendais pas à ça. Après avoir lu une soixantaine de pages, je me suis demandée ce que l'auteure allait nous raconter. Enfin pas elle, les pierres puisqu'elles sont les narratrices. On l'oublie souvent, mais de temps en temps elle nous rappelle qu'elles sont les témoins muets. L'aîné ouvre ce livre pour dire son désarroi et puis son amour immense pour cet enfant sans avenir. Il y aura ensuite la cadette, révoltée, dégoûtée par ce frère et refusant tout contact avec lui. Il y aura aussi l'enterrement. le livre m'a semblé totalement désespérant à ce moment. Et puis la voix du petit dernier celui qui remplace? Recolle les morceaux? Mais pour moi il se sacrifie lui aussi. Enfant tardif dont on attend beaucoup.
Je ne sais quoi penser de cette histoire. Les mots sont justes, la nature et la beauté des Cévennes sublimées, et le petit totalement en dehors de la vie mais tellement présent.
J'avoue que je me suis un peu ennuyée. Heureusement il y a la cadette qui amène un vrai souffle et la figure magnifique de la grand-mère. le reste est littérature. Un livre infiniment triste qui raconte le naufrage de cette famille, frappée par cette tragédie. Personne n'a de nom dans cette famille, sauf le mari de la cadette. Pour nous tenir éloigner de ce drame dont nous sommes voyeurs?
S'adapter... Pas facile.

De cette auteure j'avais beaucoup aimé Nestor rend les armes, qui m'a vraiment bouleversée.



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Un avis en demi-teinte en terminant la lecture de ce livre...

Un 3/5, ça peut vouloir dire "livre sans grande ambition mais qui remplit bien son contrat" ou "livre prometteur mais un peu décevant". Ici, vous l'aurez deviné, on est dans ce deuxième cas pour moi. J'ai la sensation d'une belle pièce montée, alléchante et sophistiquée, mais dont la pâte ne serait pas tout à fait assez cuite, la crème un peu trop grasse, les fleurs en sucre trop collantes. Une très bonne idée sur le principe, mais un manque de finesse dans l'exécution.

C'était pourtant bien parti. Je suis vraiment bien rentrée dans la première partie, j'ai accroché à la plume de l'auteure, que j'ai trouvée délicate et imagée. J'ai beaucoup aimé les thèmes abordés, le handicap, la détresse de la famille, le parcours du combattant administratif pour trouver une place à cet individu "hors cases" (parcours que j'ai moi-même expérimenté, et qu'est-ce que ça fait du bien de le retrouver dans la littérature !), la richesse de la différence, le lien, l'amour sans concessions, la nature cévenole, les riches images sensorielles...

Je n'étais juste pas convaincue par l'aspect "narration par les pierres". L'idée était séduisante, mais c'était trop naïf en pratique, cela manquait de profondeur et de vérité. Et de cohérence aussi, la plupart du récit ne donne pas du tout l'impression d'être raconté par les pierres. On nous le rappelle juste de temps à autres, en 2-3 phrases, donnant la sensation d'une idée originale qu'on a essayé de faire rentrer dans le récit au chausse-pied plutôt que d'un choix narratif réellement porteur de sens et de profondeur. Soit, comme ce n'était pas trop présent, c'était pardonnable.

La première vraie fracture avec ce récit est venue lors du passage à la seconde partie, l'histoire de la cadette. Elle m'a mise profondément mal à l'aise. Là où la première partie est douceur et tendresse, celle-ci bascule dans le dégout de cet enfant-pantin désarticulé. le choc est brutale, et a réellement créé un malaise en moi. Pas grave, intéressant même, une lecture qui bouscule est une lecture qui crée quelque chose.
Oui, mais en me bousculant, il aurait fallu faire preuve d'une grande maîtrise pour me garder sur le fil, pour ne pas me faire perdre l'équilibre et basculer pour de bon. Ce malaise ayant introduit une nouvelle distance entre moi et le récit, je l'ai poursuivi avec plus de recul, et j'ai commencé à y percevoir plein de petites imperfections.
Des incohérences dans la chronologie des faits entre le récit de l'aîné et de la cadette (pour ne pas dire des vraies différences dans le déroulé des événements ; mais ça, je peux imaginer que ce soit voulu, pour montrer comme deux personnes ne vivent pas du tout un même événement de la même manière ; par contre les vraies erreurs de chronologie sont pour moi plus dérangeantes).
Une impression de personnages trop stéréotypés, trop caricaturaux, trop "simples", qui ne m'avait pas choquée dans la première partie mais m'apparaissait beaucoup plus fort par contraste dans les suivantes. Ce n'est pas tant que ces personnages n'avaient pas l'air vraisemblables, c'est plutôt qu'ils n'étaient pas racontés d'une manière qui sonnait vrai. Je ne sentais pas ces enfants de l'intérieur. Je ne les ressentais pas enfants, mais sans âge. Peut-être que c'est là que cette narration particulière, "par les pierres" (même si en pratique c'est peu le cas), mais surtout avec cette distance omniprésente (illustrée notamment par l'absence totale de prénoms dans ce livre), a commencé à me perdre, j'aurais aimé beaucoup plus de finesse et de subtilités dans la description, le vécu et les ressentis de ces personnages.

La troisième partie... Ne m'a pas éveillé beaucoup d'émotions, si ce n'est une vague déception. Parce que j'aurais pu beaucoup l'aimer ce dernier, j'aurais pu vraiment apprécier cette description de cet enfant surdoué/HP/zèbre/hypersensible (quel que soit le nom qu'on veut leur donner) qui n'est pas explicitement désigné comme tel mais qui illustre vraiment bien les descriptions de ce type de personnalité telles que j'ai pu les lire chez des auteurs spécialisés dans ce sujet. Mais là encore, trop de caricature, un enfant trop parfait, trop lisse, décrit avec trop de distance.
J'avais définitivement lâché cette histoire, émotionnellement parlant.

Pour autant, ce n'est pas mal écrit du tout, c'est même plutôt très joliment écrit. L'idée est vraiment bonne je trouve, de raconter cet impact du handicap sur différentes enfances, différentes façons de faire face à une même épreuve, de "s'adapter".
Mais voilà, autant il y a des auteurs qui éveillent en nous un immense waouh, sans qu'on sache expliquer finalement très bien pourquoi, ce ne sont finalement que les mêmes lettres, la même langue, la même encre sur du papier que pour les autres, et pourtant avec eux c'est beaucoup, infiniment plus...
Ben ici, il ne s'est juste pas passé ça. Dommage, mais ça arrive aussi !
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Extrait du roman : Lorsque l'aîné emmène son petit frère handicapé dans un parc et l'allonge dans l'herbe délicatement ( Page 35)
《 Soudain une ombre recouvrit son visage.Il entendit une voix.
--Mon garçon ,pardon d'intervenir .Tu me fais de la peine .Enfin .Pourquoi garder des petits singes? Pour gagner plus d'argent?
Sic? L'auteur ne doit pas habiter la même planète que moi ? Pensez-vous honnêtement qu'une personne aurait pu dire une chose pareille concernant un enfant handicapé ?
Ma fille infirmière travaille auprès d'enfants lourdement handicapés et la réalité est loin très loin de ce début de roman ,jene vais pas plus loin que la page 35 tellement je suis déboussolée et contrariée au vu des retours je m'attendais à mieux!Donc abandonné a la page 35 ,sans regrets.
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La libraire m'assure une lecture à ne pas laisser échapper, une émotion comme elle en a rarement vécue.
Bon. le sujet ne me séduit pas trop, mais les émotions fortes transmissent par les mots si.
Les pages semblent étonnamment épaisses sous mes doigts. Y a t il eu besoin d'étoffer ce court roman?

Et dès les dizaines premières pages l'ennui prend le dessus. Platitude absolue. Je ne vis rien. Enfin si les Cévennes, je vis un peu les Cévennes, les descriptions sont à leurs places. Mais de là à faire parler les pierres. Ça m'a semblé être plus un style atypique scolaire qu'un parti pris cohérent. le récit sur comment prendre sa place dans sa fraterie aurait été aussi lisible sans elles. La connotation des pierres pour moi me laissent de marbre. Approcher sa joue d'un arbre pour respirer, mais tendre la joue à des cailloux. J'ai pas eu. Je m'imagine que faire parler les murs d'une maison qui m'évoquent la puissance de mémoire des lieux, m'auraient surement facilité la plongée dans la symbolique. Comment se construit une famille, quel est le ciment, comment faire avec les creux, les vides, les irrégularités, les différences… Mais les cailloux, individuellement, non ça ne m'a pas du tout engagée.

Peut être aussi que la mise en situation émotionnelle de chaque membre de la famille m'a semblée un peu trop rapide pour atteindre une profondeur suffisante. Vivre le handicap bouleverse tout le monde dans une famille, demande à chacun de s'adapter, renverse tous les codes. Mais dans ce livre, cette histoire de fratrie sous cette plume, j'ai ressentis des états d'âme et les réponses de chacun face au handicap un peu trop… convenues? le troisième chapitre, un troisième enfant, celui qui prend la place, m'a paru totalement opportuniste et pour moi la boucle finissait de se mordre la queue. J'ai survolé pour ne lire, selon moi, que des passages attendus de lieux communs.

En bref, et uniquement pour ce qu'il en est de ce que je ressors de cette lecture, j'ai trouvé une histoire maniérée avec une trame attendue et rangée.
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Un hameau cévenol au milieu des années 1980. Un couple accueille son troisième enfant. Après un premier garçon puis une fille, c'est un nouveau petit garçon qui pointe le bout de son nez.

Un bébé inadapté, qui ne verra pas, ne marchera pas, ne parlera pas. Qui mangera de la purée et portera des couches ad vitam aeternam. Qui restera allongé sur son lit, le canapé, des coussins, n'importe où quelqu'un daignera le poser puisqu'il sera incapable de se déplacer par lui-même. Qui n'apprendra jamais rien et ne vivra probablement que quelques années.

Son existence d'apparence aussi vaine qu'éphémère va pourtant bouleverser toute sa famille, en premier lieu ses parents qui vont devoir s'adapter à cet enfant différent, mais aussi son frère et sa soeur et c'est précisément le thème du livre. L'ainé va se sentir investi d'une mission de sauvetage tandis que la cadette va se construire en opposition à ce frère si encombrant.

Clara Dupont-Monod nous livre une analyse très fine, très aboutie de l'arrivée d'un enfant handicapé dans une famille, comment bien malgré lui il rebat les cartes distribuées au départ et chamboule toutes les existences pour le meilleur et pour le pire.

Le récit me semble toutefois un peu trop plein de bons sentiments, mis à part la rébellion temporaire de la cadette, qui grâce à sa grand-mère bienveillante retrouvera rapidement le droit chemin. On aimerait que la vie se passe comme ça, que les familles restent toutes unies comme celle-ci dans les coups durs en appliquant le « loyauté, endurance et pudeur » cévenol et j'ai un peu eu l'impression de lire une version fantasmée de la vie, une vision rêvée dans laquelle même quand un malheur arrive tout finit par s'arranger.
De plus l'idée de faire parler des pierres me laisse dubitative… je n'ai pas compris l'intérêt ce que cela apportait à la narration.

Dans l'ensemble j'ai été touchée par ce roman bien écrit mais les points évoqués plus haut m'ont empêchée d'être complètement conquise par ma lecture.


Challenge ABC 2021/2022
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