Entre l'île d'Oléron et le cirque de Gavarnie dans les Pyrénées, le destin tragique d'une fillette que la vie n'épargne pas.
Née de parents pêcheurs, tôt orpheline, expédiée à la montagne chez une tante qu'elle ne connaît pas et déracinée, Violaine va tout de même faire des rencontres heureuses qui lui permettront de survivre puis s'en sortir. Mais c'est sans compter sur son destin tragique qui lui prépare encore bien des tourments.
Le récit s'étire de 1928 à 1945 et offre ainsi une belle peinture de ces années marquantes d'entre-deux-guerres. L'auteur prend plaisir à détailler le travail quotidien des pêcheurs, la vie au bord de l'océan puis à la montagne près des hauts sommets. On sent qu'elle aime cette région et la met en valeur, offrant au lecteur de sublimes descriptions. Les sentiments sont également très bien analysés et retranscrits, d'autant que les émotions se succèdent les unes après les autres sans trêve. L'intrigue propose de nombreux rebondissements et participe au plaisir de lecture.
Un roman dense, une écriture généreuse, pour faire revivre une tranche de vie du passé.
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Sortez les mouchoirs!! Violaine, enfant de la mer, semble légèrement attirer la poisse! Toute petite fille son père meurt de tuberculose, puis sa mère. Malgré des voisins fort présents et une riche bienfaitrice et plutôt grâce à cette dernière, elle est envoyée dans les Pyrénées chez sa tante. Cette dernière la prend comme souffre douleur et la réduit en esclavage. Elle va alors rencontrer Sidonie et son fils Eloi qui vont la protéger et la soutenir. Tentative de viol, autres décès, guerre de 40, squelette dans le placard, polichinelle dans le tiroir...
Tout semble s'acharner sur elle.. Rémy sans famille, Cosette semble même mieux lotis..
Bien que l'écrivaine soit de notre époque, son écriture est surannée et la ficelle est un peu grosse.
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Lu dans le cadre d'un challenge, je ne connaissais ni l'auteur ni son genre littéraire et n'avais pas lu la quatrième de couverture : saut dans l'inconnu.
Le roman s'étale sur une période courant de 1928 à 1945, et parcourt les paysages du port du Chapus et du cirque de Gavarnie.
Roman de terroir, des terroirs même, M B Dupuy nous décrit minutieusement les conditions de vie misérables des ouvriers de la mer, le patriarcat régnant en maître et la petite bourgeoisie étriquée de province.
Roman feuilleton, histoire d'amour, bluette, on pressent la fin dès le deuxième chapitre mais c'est le propre des romances. Je ne spoile pas grand-chose en disant que tout finit bien.
Pour les amateurs du genre.
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un bon livre qui vous tire les larmes des yeux. Les malheurs successifs d'une petite fille et qui malgré tout arrive à s'en sortir, les belles rencontres qui parcours son chemin ainsi qu'une belle histoire d'amour font une belle histoire
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La vie de Violaine est bouleversée par une série de drame. Ses parents sont morts et on l'envoie chez une tante inconnue qui se révèle cruelle.
Une belle histoire qui a fait écho en moi pour des raisons personnelles. J'aurais voulu tirer Violaine des griffes de cette tante et de ses cousins. J'ai été émue plusieurs fois par la tournure que prenait la vie de cette petite sur qui le destin s'acharne.
Bon parfois justement je me suis dit c'est un peu gros tout ça et certaines répétitions dans le texte m'ont agacée. En effet l'auteur répète cinquante fois que Violaine est belle et intelligente, à force on le sait et en plus l'intelligence de Violaine n'est pas plus prouvée que cela.
Ce livre reste une lecture charmante qui nous ramène au début du XX eme siècle.
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C'est un roman vraiment trop - trop triste…. Dés la 1ère page, Violaine 6 ans, échappe de peu à la noyade et les malheurs se succèdent… J'ai tout de suite comparé à la petite Cosette (c'est pour dire ! on n'y retrouve aussi le couple des Thénardier …) Oui… 3 années des plus noires, superbement décrites pour émouvoir les lectrices qui la gorge trop serrée au fil des chapitres finissent par verser leur petite larme…
Chapitre 12 sur 21- p. 263 enfin…" L'existence de Violaine changea …" Ouf ! Sidonie, une "belle et grande fée" est arrivée dans la maison des Carrier pour protéger notre misérable Violaine… et pourtant même si l'autre moitié du livre est globalement plus légère, d'autres épreuves l'attendent encore….
Je n'ai pas apprécié le dernier chapitre, une fin quelque peu surprenante avec trop d'incohérences.
J'avais vraiment adoré tous les romans de M.B.Dupuy dont la saga « Le moulin du loup » mais je dois avouer que celui- ci m'a passablement déçu.
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