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EAN : 9782732492612
400 pages
Editions de la Martinière (07/01/2021)
4.18/5   260 notes
Résumé :
Maudite année 1798 pour la Pâqueline ! D'abord le procès de son fils Victor, qui lui vaut une réputation ignominieuse. Et maintenant l'incendie de sa maison ! Réfugiée chez son rejeton, qui a fait fortune de son métier d'embaumeur et de trafics d'organes, exaspérée, elle accouche d'une idée diabolique : elle va lui jeter au visage les secrets dramatiques de son enfance, en couvrant les murs de ses écritures. Et ira jusqu'à le dépouiller de ses richesses...
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Critiques, Analyses et Avis (86) Voir plus Ajouter une critique
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Une peau de vache bien tannée mais attachante.
Dotée d'un instant de survie plus développée que son instinct maternel, La Pâqueline squatte le logis de son Victor de fils, embastillé pour un usage un peu trop privatif de son métier d'embaumeur.
Nous sommes en 1798 et les Lumières n'éclairent pas l'âme tamisée de la marâtre. En revanche, ces temps agités où la guillotine avait tranché de la particule et où l'espérance de vie relevait de l'oxymore, les croque-morts comme Victor, artiste dans son domaine, avaient fait fortune.
Sans le sou mais pas sans ressource, la veuve dépose tous les biens du fiston chez quelques recéleurs. Un mont de piété sans pitié. La Pâqueline va aussi reprendre le commerce macabre du rejeton en optimisant les bénéfices. Entre la revente des effets personnels ou tenues mortuaires plus ou moins élégantes de sa clientèle avare en réclamation et le troc de quelques abats à des étudiants en médecine en manque de travaux pratiques ou à des tanneurs de cuir bio, la Pâqueline fait peau neuve. Tout est bon dans le macchabé et les cercueils sont moins lourds à porter. Une mise en bière sans alcool ni dents en or.
Plus agacée qu'émue que par les pleurnicheries carcérales de son unique descendance, la mère indigne va muer en Valérie Damidot et écrire son histoire diabolique, à l'aide d'une plume volé sur le cul du paon qui lui tient compagnie, sur les tapisseries du logement du rejeton pour que l'ingrat découvre sa dramatique généalogie. Cela change de la cloison peinte couleur parme ou crème de marron.
Isabelle Duquesnoy alterne dans son récit les mauvais coups de la Pâqueline avec l'enfance un peu « Cosettienne » de son épouvantable héroïne. le présent est truculent, le passé impitoyable. Itinéraire d'une enfant pas gâtée, sauf ses dents.
Je ne confierai pas mon chat en pension à l'abominable Pâqueline mais la verve rabelaisienne d'Isabelle Duquesnoy m'a rendu ce récit très sympathique. La très grande érudition de l'auteure immerge le lecteur dans l'époque, mais pas dans les pas de Bonaparte en voyage organisé en Egypte ou ceux des acteurs essoufflés du Directoire. Isabelle Duquesnoy nous raconte les rustres, les vauriens et ceux qui ne valent pas davantage et c'est jubilatoire.
Suite de « L'embaumeur » que je n'ai pas encore déterré de ma bibliothèque, La Pâqueline peut se savourer à l'unité ou à l'unisson.
Une histoire originale, merveilleusement rythmée, qui ne ravira pas que les thanatopracteurs. Une masse critique qui, malgré son sujet, mérite bien plus de remerciements que de condoléances.
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Vous avez raison ! Je sais que vous avez raison.
Il faut que je rassemble mon courage et mon demi-neurone et que j'écrive une bafouille sur ce roman.

Mais voyez-vous, je suis perplexe, déchirée, et tout plein de trucs à la fois, ce qui m'arrive rarement, du moins à ce point.
Je vais finir par la cracher, ma Valda (expression de grand-mère à réemployer de toute urgence, d'après un journal dont je tairai le nom).

Me revoilà donc en 1798, en compagnie de la Pâqueline, mère de Victor (L'embaumeur), qui se retrouve en prison, suite à ce que vous ne savez pas si vous n'avez pas lu le bouquin.
Après, ce n'est pas un spoiler vu que le bouquin en question commence par l'interrogatoire dudit Victor.

Forcément, après le témoignage de son fils, son sort n'est pas enviable.
On l'insulte, on lui balance des pierres, on la regarde d'un sale oeil, aucun commerçant ne veut plus la servir..
Les mioches ont cassé les carreaux de sa cuisine, ses locataires ont déménagé, et cerise sur le gâteau, sa maison a fini en cendres, suite à un incendie malencontreux.

Voilà notre Pâqueline dehors, en plein hiver sinon ce serait moins drôle...

Une idée lui vint subitement, le luxueux appartement de Victor est vide.
Elle va donc s'y réfugier, avec son paon (on a l'animal de compagnie qu'on peut).

Dans l'appartement de son fils, je vous passe les détails de ses actions que ne manquent pas de piquant, l'essentiel étant qu'elle écrit son histoire sur tous les murs, à l'intentioin de Victor. Pour qu'il connaisse son passé et sache enfin pourquoi elle est ce qu'elle est.
Dans ce récit, nous voyageons alternativement dans l'enfance / adolescence et le présent de Pâqueline, avec des incursions en prison auprès de Victor.

La plume d'Isabelle Duquesnoy est toujours aussi magnifique, mais cette fois ça ne m'a pas suffi.

L'histoire de Pâqueline aurait pu m'arracher des torrents de larmes, mais si j'ai apprécié les passages sur son enfance, je n'ai rien ressenti. Aucune émotion.
Et la narration de son présent m'a passablement gonflée.

En gros, je me suis ennuyée, quand je n'étais pas révoltée par les actes portés à ma connaissance.
Les animaux ne sont pas épargnés, de surcroît !
J'ai souvent été horrifiée, ce qui explique que mon empathie ait pris un autre bateau.

Mais... parce qu'il y a un mais, d'un coup sur la fin, l'autrice m'a chopée en beauté.
Les émotions m'ont submergée et le final est plus que remarquable.

Voilà pourquoi je doute. 480 pages de lecture fastidieuse pour être bouleversée à la lecture des 50 pages finales, c'est un peu limite.

Je sais que je vais à contre-courant puisque beaucoup de mes amis ont adoré ce livre, mais voilà, il est passé à côté.
Enchantée par quelques passages, écoeurée par d'autres, indifférente sur la majeure partie.

Je vous conseille néanmoins de lire ce livre sans vous fier à mon avis, le fait que je n'aie pas été touchée étant très personnel, et je ne peux nier l'intérêt intrinsèque du récit.
La plongée dans le Paris d'antan très détaillé est également un point positif.
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Déjà couverte d'opprobre par le procès et l'emprisonnement de Victor, son fils embaumeur enrichi par un trafic d'organes, la Pâqueline se retrouve à la rue après l'incendie de sa maison, cette même année 1798. Elle investit alors la demeure bourgeoise de ce rejeton exécré, et, faute d'autre moyen de subsistance, s'emploie à son pillage méthodique. Emplie d'aigreur par le contraste entre l'opulence de son fils et sa propre indigence, elle est prise d'une irrépressible impulsion : jeter le drame de sa propre vie et le secret des origines de Victor à la figure de l'absent. Ce qu'elle entreprend en couvrant d'écritures les murs du riche appartement.


J'avais apprécié L'embaumeur au-delà du coup de coeur et ne pouvais donc que me précipiter sur cette suite, que l'on peut d'ailleurs lire indépendamment. Victor croupissant désormais dans les immondes profondeurs de son cachot, où seul le paiement d'une pension peut assurer un régime adouci, le voici plus que jamais dépendant de son épouvantable mère et des méchancetés dont elle l'a depuis toujours poursuivi. La narration quitte le point de vue du fils pour embrasser cette fois celui de la mère, dont on va peu à peu comprendre les raisons de sa rancoeur et de son aversion maternelle. L'odieuse figure de cette femme sans vergogne ni morale, qui souvent choquera le lecteur pris d'une répugnance horrifiée, laisse bientôt entrevoir une existence misérable, jalonnée d'épreuves, ainsi qu'une personnalité qui, aussi fruste et bestiale soit-elle, n'en finit pas moins par révéler des facettes humaines et attachantes.


Au travers de la Pâqueline se profilent les réalités de la vie quotidienne du petit peuple de Paris et des campagnes à la fin du XVIIIe siècle, en particulier celui des femmes les moins favorisées, prostituées, servantes ou orphelines. L'on retrouve avec plaisir l'érudition de l'auteur, qui sait distiller les menus détails de la vie de l'époque dans une restitution toujours surprenante, souvent choquante et repoussante, tant elle accumule de sordide et d'horrible dans l'ordinaire misérable qui prévaut alors dans les basses couches de la société. Nombreux sont les passages qui plissent le nez du lecteur de dégoût incrédule, notamment en ce qui concerne les ahurissantes utilisations de matières humaines, le terrifiant manque d'hygiène et les crasses ignorances médicales.


Dans la même veine que L'Embaumeur, La Pâqueline m'a sensiblement moins séduite. Peut-être parce que l'effet de surprise s'y est mué chez moi en une diffuse sensation de réchauffé, et surtout à cause des éléments beaucoup plus burlesques de ce second ouvrage qui donne parfois l'impression d'une surenchère au détail écoeurant. Cette suite n'en demeure pas moins un excellent roman, original et documenté, bien écrit et agréable à lire, dans un genre inclassable qui vaut le détour.

Lien : https://leslecturesdecanneti..
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Je ne le formulerais pas mieux que cette mention en 4ème de couverture : "Isabelle Duquesnoy écrit dans une langue époustouflante, entre préciosité du XVIIIe siècle et démesure rabelaisienne".

Ce roman est étonnant, insolent, je dirais même mieux : culotté ! Cette histoire, ces personnages, il fallait les trouver ; il fallait oser. Et cette écriture, ce style qui ne cherche pas à plaire et qui colle si bien à cette "monstrueuse" Pâqueline qu'effectivement, on se surprend à détester et à aimer à la fois.

Aucun laisser-aller, aucun à peu près non plus, dans les détails relatifs au contexte historique de l'affaire. Il est clair que ceux-ci ont fait l'objet de recherches appliquées.

Un grand bravo à Isabelle Duquesnoy ! Elle m'a épatée et, bon sang, comme ça fait du bien de sortir des sentiers battus.

Je tiens à remercier sincèrement les Editions La Martinière pour cet envoi gracieux.
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La Pâqueline ! Un sacré personnage et un roman ébouriffant!


Très dépaysant, même si l'histoire se déroule entre Paris et la Normandie : nous sommes au dix-huitième siècle ! Autres temps, autres moeurs et on en apprend à chaque page, de l'art de vivre (c'est du second degré) dans les villes et les campagnes du siècle des Lumières.

La construction est aussi originale, puisque la Pâqueline, que l'on découvre au début du roman, veuve et bannie de son village, rejoint Paris alors que son fils croupit en prison pour un crime très moche, et dont la victime ne se sera pas plainte et pour cause. C'est sur les murs de la demeure de son gredin de fils que la dame décide de conter son histoire…

Outre l'intérêt historique, qui permet de se faire une idée de la vie quotidienne de cette époque, et on doit reconnaitre le talent de l'auteur pour que les leçons délivrées s'intègrent plutôt bien dans l'histoire, c'est aussi un roman truculent et drôle, rythmé par des dialogues hauts en couleur. de quoi enrichir également un lexique en insultes originales qui, de datées, pourraient avec bonheur devenir cultes.

La Pâqueline ne mérite certes pas le bon dieu sans confession, mais elle croise un certain nombre de personnages qui, eux, mérite de griller en enfer sans passer par le purgatoire.

Découverte de cette autrice et bien envie d'en savoir plus et de découvrir ses autres romans.

Lien : https://kittylamouette.blogs..
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Citations et extraits (46) Voir plus Ajouter une citation
Je garde en mémoire le souvenir d’une énorme cargaison de Noirs que l’armateur se lamentait d’avoir perdue, ces gens capturés et enchaînés étaient morts les uns après les autres durant la traversée. La saleté avait causé une épidémie de fièvre dont les passagers avaient tous souffert, sans que nul n’ait pu les en guérir. Sur les cinq cents Noirs que le capitaine se vantait d’avoir entassés dans les cales du navire, il n’en restait que vingt-trois, dont la santé semblait chancelante.
– Allez-vous en acheter un, Monsieur Delamarre ?
– Ici, on ne les paie pas en argent, répondit-il. On les échange contre des marchandises plus onéreuses. Je doute que mes plantes médicinales intéressent cet armateur…
– Et que deviennent ces gens, une fois qu’ils ont été choisis par quelqu’un ?
– Ils sont utilisés comme domestiques, mais ils ne sont pas payés. C’est un comportement que je réprouve, même si Voltaire lui-même n’y voit rien de mal. D’ailleurs on raconte qu’il a investi une petite fortune dans un navire négrier ; je t’avoue que, après avoir lu son majestueux Traité sur la tolérance, je ne comprends plus les raisonnements de ce grand esprit.
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Victor, tu m’as souvent prise pour une folle, sans cœur ni cervelle, mais ne t’y trompe pas : ce que mes yeux et mon nez ont perçu reste à jamais gravé dans ma mémoire. À cet instant même, alors que je griffonne ces lignes sur les murs de ton appartement, je suis capable de réciter d’un souffle la consigne de mon oncle à onze personnes qu’il a guéries de la vérole. « L’homme est la plus noble des créatures, et ses excréments ont une propriété merveilleuse pour guérir de nombreuses maladies. Les déchets d’un jeune homme roux, doté d’un caractère docile et bien nourri, constituent des remèdes divins. Après lui avoir fait boire un tonnelet de bière, on recueillera ses fèces que l’on mélangera d’autant de miel ; avalé comme un sirop d’opiat, ce jus fait passer les maux de poitrine, cicatrise les plaies et guérit les ulcères. »
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Nous longeâmes la rue Saint-Jacques-de-la-Boucherie, où l’on proposait des locations à la verticale : une cuisine en bas et une chambre au dernier étage, sous les combles. Paiement du loyer d’avance et interdiction de s’aviner ou d’entreposer ses affaires dans l’escalier commun. J’avais oublié l’amabilité légendaire du Parisien se méfiant du paysan aux habits usés, de l’étranger au teint olivâtre, des chiens galeux comme des chats errants, des femmes sans escorte, des aigrefins sans panache, des boutons, cloques, bubons et pustules du mendiant, du vin trop clair et de la bière sans mousse, du pain sans farine et des figures sans fards. »
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Pourrait-il croire, ce cher fils, que, durant mon enfance, je ne connaissais pas les serviettes de toilette ? J’utilisais un frottoir en peau de bête, afin de gratter mes bras et faire tomber ma crasse en petites boulettes oblongues. Après quoi, je changeais de chemise et me coulais dans l’une de mes deux robes. Ce qui dépassait de mes vêtements pouvait être passé à l’eau : mes mains, mon visage et mes pieds. Je ne me lavais jamais les cheveux, on m’avait affirmé que cela risquait de me rendre chauve. Ma mère enduisait mes boucles d’une “cire d’Espagne” dont les effluves de jonquille et de cannelle embaumaient la maison.
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Maudite fin d’année 1798.

Il y avait eu d’abord l’insupportable humiliation, le procès de Victor, son fils : onze jours d’audience à l’écouter la calomnier, la décrire mauvaise mère, nuisible, et prétendre que c’était elle qui l’avait conduit sur le chemin de l’horreur.

Elle ne s’était jamais sentie responsable du crime de son garçon pourtant, d’ailleurs les juges et la police ne l’avaient pas inquiétée. Mais la déchéance de son rejeton l’avait salie autant qu’elle l’avait rendue célèbre. Dès le premier jour de l’affaire, on avait chicoté sur son passage : « C’est Pâqueline Renard, la mère de l’embaumeur, celui qui s’est fait surprendre en train de foutre un cadavre. »

Alors, elle courbait l’échine dans la rue, baissant les yeux devant ses voisins ; elle murmurait « je rentre chez moi » car, à cette époque, elle avait encore un logement. Mais une troupe de garnements lui avait jeté des cailloux, brisant ses carreaux de cuisine ; ses volets restaient fermés tout le jour, le vitrier ayant refusé de réparer sa fenêtre. Elle se couchait avant la tombée de la nuit, entre ses draps rêches, accablée de honte et les doigts blancs de convulsions.

Autrefois, sa maison leur rapportait quelques revenus : l’étage était occupé
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Vidéo de Isabelle Duquesnoy
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