Avec le recul, c'est sans doute le roman de
Duras que je préfère.
Parce que la folie rôde, parce que la pauvrete écorche, parce que l'océan est inexorable, parce qu'il y a tout déjà de ce qui va faire l'univers de la romancière - et surtout parce qu'elle ne le sait pas encore et n'en joue pas.
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