Je n'ai pas du tout été touché par cette histoire sur le plan de l'émotion. Cela arrive parfois. Un homme souhaite retourner aux sources et retourne pour cela au Maroc. On découvre un beau pays mais également avec sa face cachée à savoir un roi qui jette ses opposants en prison. C'est évoqué avec insistance. Il y a comme une espèce de surplace dans des scènes un peu contemplatives. Un sachet s'envole et on le retrouve ici et là au gré du vent.
Il y a également la place de la femme qui est évoquée avec la vision européenne en tout début d'album. C'est marrant de faire cette comparaison sur l'inversion des rôles. Pourtant, la réflexion s'arrête à des constats sans aller plus loin. Au final, c'est une lecture qui ne semble rien apporter de nouveau.
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Installé en Belgique, et flânant au ‘souk' de Bruxelles, Martin flashe sur une affiche de Tétouan, illustrée par un vieil ami… L'envie le reprend alors de retourner au Maroc, à sa recherche, sur les pas de souvenirs qui l'ont un peu quitté. Très belles rencontres avec ce pays, avec quelques personnages, avec les mystères des destinées, très beau dessin graphique. Dommage que la balade et le scénario manquent de sel.
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Martin décide de retourner au Maroc à la recherche de son passé, de ses amis. Même si on comprend que le contexte politique a joué un grand rôle dans la vie de Martin, l'ensemble de la bd reste assez énigmatique. Comme en plus le style des dessins ne m'a pas spécialement plu, cette lecture ne restera pas spécialement dans ma mémoire.
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Un voyage, une quête. du passé ? de la vérité ?
Un homme erre dans Tétouan et dans sa vie belge.
Il redécouvre son pays, recherche d'anciens amis, se retrouve confronté à un pays qu'il ne reconnaît plus.
Cette BD ne m'a pas captivée, ni l'histoire, ni le dessin.
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C'est important les lettres. Ca donne des nouvelles à ceux qui sont restés.
Tu vois le Maroc, c'est une espèce de grande bagnole ...
Elle a bien quatre roues, mais il y en a trois qui patinent dans la boue,
elles sont coincées entre le progrès, la religion, les croyances, la corruption !
Il n'y a rien à fuir, il ne s'agit que de chercher. Et avec ta tendresse silencieuse, tu le sais, j'avais perdu la force de chercher.
C'est le Manneken Pis qui vous intéresse ?