Je trouve la critique de LIBERORVO bien gentille ; les jambes m'en flageolent encore, les bras m'en tombent, mes yeux sortent des orbites... J'ai voulu aller jusqu'au bout, mais à quel prix !
- le roman commence par un inceste, entre Julien et Vanessa, frère et soeur, nés d'un père pédophile, pour faire bonne mesure... plus tard, nous connaîtrons Lilly et Cendrine, deux soeurs, incestueuses elles aussi. de toutes façons, il y aura de la baise tout au long, mais malheureusement rien de croustillant ; l'auteur reste dans l'informatif...
- Toujours dans l'informatif, de longs passages qui n'apportent rien à l'intrigue (le menu du midi, du soir, le lieu des vacances...)
- Les passages d'action sont racontés platement, d'un ton désintéressé; on ne risque pas de frémir !
- La psychologie des personnages ? ... il n'y a pas !
- Des fautes d'orthographe et grammaticales en voulez-vous, en voilà... ponctuation très aléatoire. le style est du style parlé.
Un livre qui n'est qu'une ébauche. Qui, tel quel, ne mérite pas d'être publié. Je ne comprends pas l'éditeur ...
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Une intrigue qui aurait mérité un traitement plus soigné : des personnages parfois trop caricaturaux, une construction littéraire plus sous forme de script que de roman et surtout un cumul vraiment trop important de fautes de français.
Peut et doit mieux faire pour la suite.
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Elles vont pour se lever, c’est alors qu’un homme légèrement alcoolisé s’approche.
- Toi gros porc, tu te casses direct avant que je t’envoie mon poing dans la gueule.
- C’est la tienne que je vais éclater sale pute.
Julie lui décoche alors un direct qui envoie notre bonhomme à terre. L’homme pousse un cri, il a le visage en sang. Il faut dire que Julie n’a pas mégoté sur les bagues, et c’est un semblant de poing américain qui s’est abattu sur le visage du bonhomme
- Putain, elle m’a cassé le nez.
[Pourquoi ce passage ? Je ne sais pas… c’est un des rares sans faute d’orthographe, ou conjugaison, peut-être…]