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sur 327 notes
Après avoir été lassée par la récurrence du sujet traité, à savoir la rancoeur envers sa famille dysfonctionnelle et délétère, la curiosité conduit à faire le point sur cette histoire, et à vouloir savoir si Lionel Duroy est enfin sorti de cette haine tenace vis-à-vis de ses parents et des conséquences que la publication de ces livres exposant sans pudeur la folie familiale a engendrées.

Certes ce livre est celui de la réconciliation, avec ses frères et soeurs, à l'exception d'un seul d'entre eux, et avec ses épouses successives, tous réunis pour un échange de civilités et des excuses en bonne et due forme pour l'exclusion dont a été victime le narrateur.

Malgré cette évolution des relations au sein de la fratrie, on est quand même encore sollicité pour être le témoin de toutes les frasques des parents, qui sont les mêmes, reprises et même répétées au cours des pages de ce roman. Nombreuses redites, à tel point que ce qui pouvait inquiéter le lecteur alors que oncles, tantes et cousins arrivaient chez le narrateur, à savoir se perdre parmi la multitude des prénoms, ne se produit pas, on a largement le temps et les repères pour s'y retrouver.


C'est tout de même un peu redondant, à la fois dans l'oeuvre et dans ce roman-ci. L'auteur semble avoir des difficultés à remplies pages. L'évolution est subtile. Si l'on commençait par ce roman, il pourrait donner envie d'en savoir plus sur l'histoire familiale. Mais pour ceux qui ont déjà lu la saga des Dunoyer de Pranassac, l'impression de relire la même histoire est trop présente pour rendre la lecture indispensable.

Lien : https://kittylamouette.blogs..
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J'aime beaucoup Lionel Duroy. Au sein d'une famille nombreuse s'il en est, chaque représentant est un élément bien distinct avec ses différences, tant d'aspects physiques que de conceptions morales et psychiques. Comme il est dit dans le titre, si l'on naît en principe pour être heureux il n'en va pas toujours ainsi et ce pour les mêmes raisons que les équilibres sont différents, tant des géniteurs que de leur descendance. S'il y a désamour du ou des parents que ce soit entre eux ou envers l'un des frères et soeurs, il n'est pas rare que sous le dictat d'un seul tous se liguent contre un sous l'effet du ou des parents défaillants, ni que l'un endosse ce rôle, du parent, au détriment de sa construction propre et que cette substitution ne l'enferme à son tour vers une pathologie proche du renoncement de soi.
Il en résulte un grand chamboulement où tout le monde souffre. C'est ce que démontre ici très bien Lionel Duroy et ce en quoi le niveau de la blessure diffère pour chacun des protagonistes ; comment peut-on faire taire son ego pour aller vers d'éventuelles retrouvailles ou combler le vide après enfouissement de sa propre histoire.
Paul a écrit cela et il participe à cette résurgence du passé qui ne plait pas ou du moins qui n'a pas plu avant que d'être acceptés 30 ans plus tard, lui et ses livres...
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Les critiques ne sont pas toutes élogieuses, la mienne le sera car j'ai vraiment apprécié la mise en perspective des différents points de vue sur la famille. La reconstruction du passé différente, selon la place dans la fratrie mais aussi selon la place que l'on a eu, que l'on a pu prendre, que l'on a nous donné ou laissé, est tout à fait intéressante. Les ressentis différent sans qu'il y ait en un qui soit le bon puisqu'il s'agit de ressenti, il ne peut donc être qu'écouté, respecté. Paul Duroy est le seul parmi ses frères et soeurs a souhaiter en parler en public et à dévoiler à travers ses romans comment il a vécu son enfance, son adolescence. Cela lui attire les foudres de tous. Ce dernier roman est le moment de la réconciliation, le moment où chacun va tenter de revenir sur les faits et essayer de donner du sens aux faits à travers son propre regard.
le fait que je n'ai lu que "l'absente" et "Eugénia" de Lionel Duroy explique peut-être que je ne sois pas lassée par ce besoin de raconter sa famille et ses rancoeurs. Quoi qu'il en soit, je trouve que c'est très bien écrit et cette réunion familiale où tous les frères et soeurs (ou presque) se retrouvent pour se réconcilier est non seulement très fort mais aussi sociologiquement très intéressant. Chacun déconstruit pour mieux reconstruire, détricote, retricote et fait de son histoire ce qu'il peut en faire avec les éléments qu'il a mais aussi avec ce qu'on lui a donné et sa personnalité. Mon plaisir a été crescendo durant toute cette lecture et bien que ce livre soit le dernier, et le moment de la réconciliation, je me ferai un plaisir de lire les précédents.
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Je dois avouer dés le début de mon billet que j'apprécie cet écrivain , : Le chagrin, passionnant , foisonnant ,Priez pour nous, Vertiges, 2013, Colères , 2011, Eugenia en 2018 ....

Son oeuvre fait toujours la part belle à la question de la famille ,même dans «  Eugenia » et la Roumanie antisémite des années 30 ,on peut trouver ( si on cherche bien, )un rapport avec sa propre biographie ..

Le narrateur Paul, a fait de son histoire le matériau de ses romans, son enfance chaotique, ne ménageant ni n'épargnant personne ,ses parents : La Baronne et Toto, ses neuf frères et soeurs , les «  grands » et les «  petits ».

Frères et soeurs ne l'ont pas supporté , voici trente ans presque qu'ils ont cessé de lui parler .

Comme il habite loin de Paris , il a décidé de les réunir à déjeuner : frères et soeurs, sauf Frédéric , ses enfants, leurs enfants ,les petits - enfants, et la première de ses ex- épouses ....

C'est le repas de tous les dangers : ses enfants vont rencontrer des cousins de leur âge , qu'ils n'ont jamais vu puisqu'ils ont été élevé par «  le Traître » .
Celui qui «  Passe son temps à écrire plutôt qu'à vivre . »

«  Mais comment peut- on exister sans écrire ? Songe- t-il , Sans consigner inlassablement le mouvement de la vie? »

Lionel Duroy a ressassé , commenté, exploré jusqu'à l'os son histoire de famille impénétrable, irréductible, douloureuse , a fouillé son enfance habitée du désastre sans relâche —- de livre en livre —- Une culpabilité confuse ..

La fille du narrateur : Claire n'a lu aucun de ses livres, car pour elle , c'est bien suffisant d'en subir les conséquences ....

David , son fils est certain que son père n'a cessé «  de revenir sur son enfance. »


Mais cet ouvrage sensible, inattendu, montre à l'évidence que rien n'est jamais perdu, les dialogues parfois tendus mettent à plat les souffrances , fous rires et douleurs anciennes , manques ,noeuds familiaux , «  noeuds du sang, » à la fois inextricables et transparents lors de cette confrontation fébrile, entre embrassades, effleurements , demi - mots , exclamations et dessous des propos tenus .

Ce livre est un rituel de réconciliation, de libération, de purification , de décontraction et de reconstruction, vibrant de vérité , dans la confusion des rires et des silences , au fil des conversations et des découvertes des plus jeunes , un récit pétri de dialogues explicatifs, primesautiers parfois —— avec l'intense désir de réparer ce qui peut l'être si longtemps après ——-
Chacun fait de son mieux .

Est - ce vraiment fini ?

Qui sera fâché du rituel des retrouvailles ?

Qui va vouloir en savoir plus ?

Si longtemps après le narrateur a t- il besoin d'une Réconciliation ?

Est - ce que Lionel-Duroy ( qui paraissait apaisé lors de la LGL ) aura la possibilité de clore définitivement le chapitre FAMILLE ?
Rien n'est vraiment sûr .

Un beau livre qui parvient à reconstituer les chapitres essentiels de la vie d'un homme , au style élégant , à la profondeur psychologique habituelle chez Duroy, sur les liens familiaux indestructibles de l'enfance, la résilience et la PAIX enfin retrouvée .
Mais ce n'est que mon avis, bien sûr .
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J'ai peiné à lire ce roman. J'ai du mal à partager mon ressenti.

J'ai assisté il y a quelques jours à une conférence sur l'art du drapé dans la peinture, dans la sculpture. En écoutant l'intervenante j'ai pensé exactement à l'histoire racontée par Lionel Duroy. L'histoire de ses retrouvailles avec ses frères et soeurs après une longue période de distance, fâcheries, haine recuite, rancoeurs et incompréhensions. Chacun (ou presque) fait amende honorable et désire faire table rase des ressentis qui lui noue l'estomac. Chacun comprend que Lionel Duroy ne peut pas faire autrement que d'écrire tout ce qu'il vit, tout ce qu'il ressent. Alors nous assistons à la cérémonie du grand pardon. Il manquait un drapé. Un drapé offrant ombres et lumière, donnant du relief à un échange assez banal.

Les reproches invoqués : La vie de famille et ses dysfonctionnements, ses faiblesses, ses outrances en particulier les manques les folies et le véritable déraillement des parents tout au long de l'enfance et la jeunesse de ces neufs frères et soeurs, sont déjà racontés dans ses livres. Une vie de famille complètement déséquilibrée, baroque, foutraque, des souffrances cachées racontées dans le moindre détail et livrée sur la place publique. le naufrage répété. La honte revécue. Et comme si le climat n'était pas suffisamment fragile l'auteur convie ses ex-épouses. Nous passons de l'un à l'autre, et comme nous ne les connaissons pas c'est parfois un peu compliqué de suivre. Il y a le rebelle, la radine, le tendre, la soeur protectrice et dévouée etc;;;

Je reviens au drapé qui, je cite la conférencière, exerce une vraie fascination car il cache tout en révélant les formes, avec sensualité et douceur et préserve la pudeur des nus avec élégance. C'est un peu le contre pied du livre.

En assistant à ce repas familial chez Lionel Duroy j'aurais aimé un jeu subtil. Une mise en plis. Au fil de ma lecture, j'ai lu à quelque chose près ce qui était raconté dans les ouvrages précédents, sans aucune pudeur. Il a remis le couvert. Les échanges entre frères, soeurs, neveux, nièces ont été soigneusement écrits. Tout a été écrit ce qui, même si le style de l'auteur est talentueux, relève à certains moments de l'anecdote. Tout a été écrit mais tout n'était pas intéressant sauf certainement pour les parties prenantes, encore que…

J'ai imaginé la tête des frères et soeurs à la sortie de ce livre : " Nous étions venus pour enterrer le passé et voilà qu'il remet çà! Je n'y crois pas...."

.Par moments j'avais une curieuse impression d'avoir vécu moi-même une scène, une scène de la vie ordinaire, un échange grinçant, un regard lourd, une réflexion désagréable, car ce déjeuner était familial avant tout, et certaines réparties familiales, oui, je les avais déjà vécues.

Chacun était bien disposé en venant à ce repas de retrouvailles mais on ne refait pas l'histoire. Par moments nous sentons l'orage, le ton monte, la mémoire fait écho et puis l'un des invités lance un avertissement, calme le jeu et la vague se dégonfle échouant sur des lieux communs.

Un journal intime tournant et retournant sur le même sujet et je demande pardon à l'auteur mais parfois un peu larmoyant, un peu redondant.
D'autres auteur(e)s ont choisi de raconter leur vie très personnelle. Charlotte de Turckheim, ses parents, les dettes, les huissiers. Madeleine Chapsal sa mère, sa soeur, sa nièce, ses ex…. . Alexandre Jardin, son grand père, Pétain. La famille a réagi très violemment. Il a fini par dire que tous ses livres n'étaient que mensonges. Et combien d'autres !

Lionel Duroy écrit tout ce qu'il vit. Il ne peut pas faire autrement. La vie peut être un roman mais pas toujours ! J'ajoute que, nombreux sont ceux qui s'échappent de leur quotidien en s'immergeant dans un roman. Alors il vaut mieux que ce soit un moment de plaisir. Un met d'une fraîcheur absolue. Une saveur nouvelle. Une saveur sans trop d'amertume....
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Au début, j'ai perçu la musique des mots de Lionel Duroy comme on entend un pianiste d'ambiance dans le brouhaha d'un salon bondé, chacun des participants émettant ses jugements, énonçant ses rancunes dans un contexte que je ne comprenais pas encore.
Puis, petit à petit les phrases se sont faites plus nettes, plus coupantes et j'ai pu extirper le malaise de cette fratrie fracturée. Dix enfants devenus grands sans l'amour de leurs parents.
Dix frères et soeurs, perdus de vues, éperdus d'amour, déshérités de bonheur.
Il m'a fallu maîtriser ce texte qui, comme la vie coule sans chapitre. Presque sans strophe mais gorgé de catastrophes.
Paul a écrit des livres, des livres et des livres, pour conjurer sa souffrance, le mal de son enfance. Mais ils n'ont pas compris. Il en a payé le prix. Trente ans de châtiment sans voir leurs jours. C'était sa peine, forçat de l'amour.

Puis vint le jour des retrouvailles celui qui secouent les entrailles.
Paul a fait une belle tablée pour recevoir sa fratrie, les deux femmes de sa vie passée et ses quatre enfants.
On est là pour se pardonner, pour faire bonne figure, pour faire admettre sa posture, faire comprendre son comportement à des enfants qui n'étaient pas là avant.

« le mal est fait, il est évidemment trop tard pour rattraper tout ce que nous avons raté. »

Chacun, à tour de rôle prend la parole et partage ses impressions. Tous les aspects de ces vies abimées sont traités, les beaux, les laids, ceux dont on ne parle jamais de peur de froisser.
Les raisonnements sont discutés, la bienveillance s'invite où la tourmente pourrait naître.
Lassé d'animosité, friand de compréhension et d'indulgence, les fréquentations se rétabliront.
On entend des choses qu'on ne dit qu'une fois mais qu'on n'oublie jamais.

« Une fois la colère passée, on peut se dire qu'on s'aime. »

Lionel Duroy dissèque chaque émotion, c'est bouleversant de fouiller les ressentis des petits et les sentiments des grands.
Cet exercice parfaitement maîtrisé émeut tant il est juste, sincère et authentique.
J'ai vraiment l'impression d'avoir participé à l'événement de ce repas-roman familial, original dans le style et le déroulement.
Le jambon était délicieux mais ça manquait un peu de fromage…


Merci à Masse critique privilégiée, je m'ai bien régalé !

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C'est l'heure des réconciliations, et le mea culpa de l'ensemble des frères et soeurs de Duroy (excepté Frédéric, l'ainé de la fratrie) et le ton du livre est à l'image de ces personnages apaisé et plein de regrets. Pourtant, si la parole se libère enfin dans une forme de sérénité et d'apaisement, il y a aussi un peu d'ennui qui s'installe du côté du lecteur. les dialogues au fil des arrivées et des prises de parole devenant vite répétitifs et très banals. Bien loin du magnifique "Le Chagrin", pour la première fois dans cette incroyable histoire, cela m'a semblé redondant et finalement inutile.
Merci aux Editions Julliard et à Babelio pour cet envoi.
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C'est le premier roman que je lis de Lionel Duroy et il m'a bien plu même si j'ai quelques réserves...
L'histoire : Paul, écrivain, décide de réunir ses frères et soeurs qu'il n'a pas vu depuis environ 30 ans. En écrivant ses mémoires d'enfance, qui sont un désastre, ils blessent, sans le vouloir ses frères et soeurs qui ne lui parle plus depuis très longtemps. En les invitant, il invoque le pardon, et l'âge avançant, il réalise qu'il ne connait pas ses neveux et nièces. Il veut réparer cela avant qu'il ne soit trop tard. Il invite également ses ex-épouses...
Tout ce petit monde fera ou non le chemin vers Paul. Des choses seront dites plus ou moins difficiles. Je n'irai pas plus loin dans le récit.

En ce qui concerne les réserves dont je parlais au début de ce billet :

Je trouve que ce roman est un peu long, à certains moments il est plongé dans un tel marasme qui dure des heures...qu'on a envie de sauter des pages....mais je ne l'ai pas fait.

Sa famille est composée de dix frères et soeurs, sans compter les enfants et les petits-enfants de ceux-ci. Personnellement je me perdais dans les prénoms et ne savais si c'était un des frères ou un des fils de ses frères...vous me suivez ? lol...J'étais à deux doigts de faire un arbre généalogique pour me repérer...

Ce qui m'a plu, c'est l'ambiance de ce récit. Nous sommes au début de l'automne, dans le sud de la France, la chaleur est encore là, le déjeuner familiale se prépare doucement mais sûrement avec au début une certaine légèreté...
L'écriture est agréable et accessible à tous, ce qui ne gâche rien.

Je reste malgré tout, mitigée sur ce roman qui m'a plu dans l'ensemble mais pas emballée.

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Paul est écrivain et ses romans trouvent leur source d'inspiration dans son histoire familiale, son enfance ce qui ne plait pas à ses 9 frères et soeurs. Suite à la parution de son 1er roman lui et ses enfants ont été bannis de la famille. Ses frères et soeurs ont décidé de reprendre contact avec Paul et lui a proposé de se réunir chez lui pour un repas de famille. Ses frères et soeurs (sauf Frédéric), ses neveux, ses enfants et même ses ex-femmes sont présents. Ils apprennent à se connaitre certains se rencontrent pour la première fois. Comment va tourner ce repas de la réconciliation? Sont-ils tous guéris de leur enfance? Va –t-il y avoir une nouvelle rupture ? Au début il faut s'accrocher pour s'y retrouver avec tous les prénoms, entre les enfants, les ex femmes, les neveux et les 9 frères et soeurs, il faut placer chacun à la bonne place. Ce nombre important de personnage contribue cependant à créer cet « esprit de famille ». L'auteur arrive à nous faire ressentir les émotions que l'on ressent dans un repas de famille où l'ambiance est un peu tendue. Il a su trouver les mots justes et les bonnes attitudes dans les personnages. On retrouve dans ce roman, une histoire familiale difficile, des non dits, des maladresses mais surtout de la résilience et de la paix
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Repas de famille. Banal ? Non, quand celui qui invite est un écrivain reconnu pour avoir écrit sur tous les gens avec qui il a vécu. Ils en ont été tellement blessés qu'ils ne lui parlaient plus depuis trente ans. le plus terrible est que les relations entre cousins ont donc été rompues. S'y ajoute ses deux ex-femmes. Chacun a sa propre vision des traumatismes de l'enfance. Détricotage de pelotes de fils emmêlées ou jusqu'où un écrivain peut-il écrire sur les siens ? Peut-il tout dévoiler sur la place publique et se donner bonne conscience soit disant pour se sauver lui-même ? Intéressant pour le fond et la réconciliation.
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