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EAN : 9782382570234
200 pages
Hors d Atteinte (17/02/2022)
3.73/5   15 notes
Résumé :
Je crois que tout ce qu'on a fait à cette époque-là a permis de montrer plein de formes de militantisme et, du coup, de rajeunir l'image du féminisme. Il y a plein de meufs qui ne supportaient pas ce qu'elles croyaient être les féministes qui se sont dit d'un coup : "Mais ça peut être ça, le féminisme, c'est chanmé, en fait je suis féministe ! " En octobre 2017, dans le monde entier, des millions de femmes se mettent à écrire "moi aussi". Dénonçant ainsi les violenc... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (7) Voir plus Ajouter une critique
Tout d'abord je souhaite remercier Babelio et les éditions Hors d'Atteinte que je découvre par l'intermédiaire de ce livre.

Un livre formidable fini en moins de trente-deux heures ! C'est très simple : je ne pouvais pas le lâcher.
Féminisme et réseaux sociaux est une enquête sur les liens entre ces deux sujets, le thème est donc très contemporain et peu classique, c'était la première fois que j'abordais l'une et l'autre des notions mises en relation avec l'autre.
Malgré les sujets graves et importants qui sont nécessairement abordés par la question du féminisme : harcèlement sexuel, invisibilisation des femmes, sexualisation et sexualité (entre beaucoup d'autres), le ton d'Elvire Duvelle-Charles reste léger et tout à fait bienveillant, ce qui rend la lecture agréable. de même, je n'ai pas eu l'impression que c'était une enquête, avec des codes formels et un peu barbante ; j'avais plutôt l'impression de discuter avec une amie qui me racontait ses débuts en temps que féministe et son parcours. L'auteure utilise des mots qu'on a plutôt l'habitude retrouver dans nos conversations quotidiennes comme "meuf" alors même au bout de cent-cinquante pages, on est toujours happé.
Il y a de nombreuses transcriptions d'interview de féministes utilisatrices des réseaux, ce qui permet de montrer la diversité des points de vue et des façons de vivre l'expérience féministe ou en ce qui concerne les réseaux sociaux. Cela permet à notre vision de ne pas s'arrêter à un point de notre réflexion mais plutôt à déconstruire la démarche et se questionner soi-même : est-ce que j'ai déjà vécu ça ? Est-ce que je suis en accord avec cette pensée ? Qu'est-ce que je pense, moi, en temps que femme avec telle expérience de la vie ?
Elvire Duvelle-Charles, introduit aussi la nuance dans son enquête : les réseaux sociaux ne sont pas uniquement bénéfiques ou négatifs. En effet s'ils permettent de donner du poids à certains témoignage, de communiquer des expériences et des connaissances, de ne plus se sentir seul face à une situation définie ; c'est également un support fragile sur lequel on peut être muselé, harcelé et devenir dépendant.e (la nomophobie notamment).
De même quand elle parle de la division des féministes sur certaines questions, elle nous fait remarquer qu'à présent être féministe est plus adopter un dogme sans forcément le comprendre plutôt que de faire une démarche réflexive, on ose pas forcément poser des questions alors qu'on en a besoin pour comprendre en profondeur la situation ou encore qu'on est obligé de prendre un certain parti alors qu'on a pas forcément d'avis tranchée sur une question. C'est donc aussi un livre d'enseignement qui nous lance de multiples pistes pour réfléchir comme chaque débutant.e féministe.
Pour se lancer ou poursuivre notre réflexion, l'autrice fait appel à de nombreuses références, que ce soit l'histoire personnelle de femmes qui nous la raconte, des articles de journaux, des livres, le tout est très bien documenté, à chaque fois nous avons la référence complète en bas de la page. Mais le plus, c'est qu'il y a aussi une rubrique "pour aller plus loin" de plusieurs pages qui compile de nombreuses références : vidéos, podcasts, livres, articles,... J'en ai cherché quelques uns, puis de fil en aiguille j'en ai découvert d'autres et j'ai appris énormément de nouvelles choses en l'espace de peu de jours, je compte d'ailleurs continuer à (s)explorer.
Il y a aussi de nombreuses mentions de comptes Instagram (entre autres) (à aller regarder si vous êtes intéressé.e) notamment ceux des féministes influenceuses qui sont interviewées. Notons que l'Elvire Duvelle-Charles est elle-même derrière le compte instagram @clitrevolution.
Je pense que la plus grande qualité de ce livre est son accessibilité. On ne nous balance pas des termes spécifiques (féministe ou en ce qui concerne les réseaux sociaux) dont on ignore l'existence sans nous l'expliquer. L'auteur ne nous prend pas de haut de par sa science, elle ne parle pas que d'une seule femme, elle parle de toutes. On nous indique donc la présence d'un lexique à la fin du livre, ressource très précieuse lorsqu'on lit le livre mais qu'on peut également survoler pour apprendre quelques notions. Ainsi, que vous soyez novice en féminisme ou que les réseaux sociaux soient un domaine tout à fait obscur, Féminisme et réseaux sociaux vous est aussi adressé.
Dans le domaine plus matérialiste, j'aime beaucoup la couverture du livre, que je trouve à la fois simple mais efficace et significative, elle interpelle tout en restant relativement neutre.
En bref, un livre accessible, nuancé, qui nous pousse à nous interroger, plein de bienveillance et d'amour pour tous.
Des femmes actrices et pas seulement des victimes, est rafraîchissant et permet de ne pas perdre espoir.
Une lecture féministe importante en ces temps où les droits des femmes prennent de l'ampleur mais subissent simultanément des reculs massifs comme l'illégalisation de l'avortement aux Etat-Unis.

"Evidemment qu'on devrait brandir nos corps dans la rue, crier fort, s'habiller comme on veut, ne pas avoir peur d'appeler un violeur un violeur, un agresseur un agresseur et un harceleur un harceleur. Ce n'est pas à nous de nous faire petites, discrètes, de cacher nos corps, de nous adapter à eux : c'est à eux de s'adapter à nous et de se faire à l'idée que nous sommes là, que nous existons, que nous sommes la moitié de l'humanité et que nous sommes ici pour y rester."
Lien : https://www.instagram.com/p/..
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On va parler féminisme. Un sujet super casse-gueule. Je sais que je peux me faire reprendre de volée par les « vraies de vraies féministes » qui me diront que je dis n'importe quoi (sororité, mon c**) et avoir des échanges fatigants et désagréables avec ceux qui ne se sentent pas concernés, les misogynes ou les trolls. Alors pourquoi parler féminisme ? Parce que j'ai reçu, lors d'une Masse critique Babelio, Féminisme et réseaux sociaux : une histoire d'amour et de haine d'Elvire Duvelle-Charles paru chez Hors d'atteinte. un sujet qui m'intéressait, mais qui n'est pas facile à retranscrire.

Avant de vous parler du livre, je vais vous avouer un truc : j'ai longtemps eu la sensation de ne pas avoir besoin de me revendiquer féministe parce que je ne m'y retrouvais pas. Et ça a duré jusqu'à mes vingt-cinq ans environ où j'ai eu une sorte de révélation : « non mais quelle débile ! » J'ai grandi dans un environnement militaire, entourée de femmes au foyer qui semblaient heureuses . Ma maman nous accompagnait lors des sorties scolaires et elle avait le temps de corriger mes devoirs. Pour moi c'était tellement bien, tellement génial ! Plus tard, j'ai apprécié les compliments dans la rue (vous avez le droit de me trouver affligeante, je l'étais). Je me suis sentie en partie responsable de plusieurs agressions à mon encontre (je l'avais ans doute cherché). Et surtout, comme quand j'étais petite, je ne regardais que mon nombril et je ne me souciais pas vraiment des problèmes des personnes que je ne connaissais pas. Depuis ma révélation, je suis une bien meilleure personne et j'essaie de faire oublier à mon petit cerveau quelle égoïste j'ai été (c'est très difficile).

Bref, j'ai reçu Féminisme et réseaux sociaux : une histoire d'amour et de haine d'Elvire Duvelle-Charles, journaliste, réalisatrice, et activiste. A travers son expérience au sein des Femen, la gestion de la communauté Clit Révolution, Elvire Duvelle-Charles revient sur les dix dernières années de combats féministes sur les réseaux sociaux. Elle y parle du Tumblr édifiant Paye ta shnek qui à chaque fois que je lisais un témoignage, me donnait l'impression qu'une voix jugeante me disait des trucs du genre : « et toi qui trouvais flatteur d'être abordée dans la rue… Mais quelle c****. » Dans Féminisme et réseaux sociaux : une histoire d'amour et de haine, Elvire Duvelle-Charles a aussi recueilli les témoignages de créatrices de contenu comme @jemenbatsleclito, @jouissance Club et @merci Beaucul. Qui sont aujourd'hui bien usées.

Cette lecture est terrible. A la fois enthousiasmante quand on pense à tout ce que les réseaux sociaux ont permis – et permettent toujours de faire – comme mettre sur la place publique le harcèlement de rue, les victimes de féminicides, le manspreading, l'endométriose… Les réseaux sociaux éduquent, informent, sensibilisent et parfois obligent à agir. Tout cela donne naissance à des petits et petites féministes qui n'ont pas à attendre leurs vingt-cinq ans pour voir qu'il serait bien temps de mettre fin au patriarcat. Au moins au patriarcat.

Mais aujourd'hui, les comptes féministes ont du mal à survivre. Facebook et Instagram bloquent du contenu en raison de certains critères étranges. Alors qu'une fois, je me suis retrouvée face à un pénis dans une sandale à talons sur Facebook ! Un pénis. Dans une sandale à talons (Je ne remercie pas l'ami qui a partagé cette photo). Et une autre fois devant la vidéo du passage à tabac d'un enfant. Quand je pense que Facebook a bloqué l'URL de mon blog car il ne répond pas à leur politique de publication, ça me rend folle. J'ai tout essayé pour régler la situation, sauf assigner Facebook en justice. Certaines instagrameuses dont parle Elvire Duvelle-Charles l'ont fait – une action collective, nettement plus efficace – mais comme si un membre du GAFAM allait se laisser faire sans réagir…

J'ai appris beaucoup de choses avec ce livre. J'ai trouvé le sujet aussi intéressant que je l'imaginais. Et je comprends que les Instagrameuses féministes commencent sérieusement à craquer, entre les publications que personne ne voit, les insultes, les menaces et le fait que certaines dépendent des partenariats pour bouffer et se retrouvent à parler de produits qu'elles ne conseilleraient pas par ailleurs et quid de leur image alors ? Dans tous les cas, j'ai trouvé cette lecture vraiment intéressante. Et je vous la conseille si le sujet vous interpelle.
Lien : http://mademoisellemaeve.wor..
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Dans ce court essai très accessible, issu de son mémoire de Master d'études de genre, Elvire Duvelle-Charles interroge les liens entre féminisme et réseaux sociaux.

En se basant sur sa propre expérience, notamment dans le milieu journalistique, elle revient sur la création de son compte Instagram sexo-féministe, et de ceux qui l'ont précédé et suivi, mettant - enfin - la question du plaisir féminin (parmi tant d'autres) sur le devant de la scène. Avec les réseaux, le féminisme se développe, prend de la place, et devient accessible. Il n'est plus un mot qui fait peur (ou presque...) mais un ensemble, une coalition. Chaque médaille ayant son revers, les réseaux sociaux, c'est aussi le cyberharcèlement, l'invisibilisation voire la censure de certains réseaux, les conflits entre mouvances féministes (et oui...) et un choc générationnel entre les "anciennes féministes" et les nouvelles, celles qui agissent depuis chez elle, seules, et celles qui ont besoin de se rencontrer.

C'est un phénomène récent que l'autrice analyse ici, et il est intéressant - même si l'on est sensibilisé.e au sujet comme moi - de (re)mettre des mots et des noms sur des actions qui ont fait bouger tant de choses, mais aussi d'appuyer sur la charge portée par ces activistes, dont la santé mentale est parfois durement abîmée...

J'ai trouvé particulièrement intéressante la partie sur le glissement entre activiste et influenceuse, quand l'action féministe devient - aussi - un marché rentable, qui pose beaucoup de questions mais n'a pas la prétention d'y répondre.

J'ai donc apprécié cet ouvrage pour son côté non-manichéen et les nombreuses questions qu'il pose. Et peut-être que - d'ici quelques années - il sera bon de l'actualiser ?

Merci à Babelio et aux éditions Hors d'atteinte pour cette Masse Critique !
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J'ai commencé ce livre dans un mood "document sur un sujet qui devrait me plaire" et je suis retrouvée dans un mode "journal de ma vie" qui m'a légèrement apeurée. Ouf, j'ai compris rapidement que c'était surtout pour contextualiser les propos et la position de journaliste. En réalité, on est bien sur un document peuplé de témoignages percutants, mené par une enquête intéressante et une journaliste qui maîtrise son sujet.
Nous voilà plongés dans les coulisses des réseaux sociaux avec une analyse de la situation très pertinente. L'autrice explique sans filtre le tirage dans les pattes ambiant et l'extrémisme qu'on y trouve : on croise de moins en moins de "pro" quelque chose mais plutôt des "anti-tout-le-reste" dans une guerre ouverte et sans pitié avec un esprit bulldozer (il ne doit rien rester après leur passage). Il y a beaucoup d'informations percutantes, je n'ai pas pu compter le nombre de fois où j'ai écarquillé les yeux de stupeur (je vous préviens, ce livre n'aide pas à reprendre foi en l'humanité).
J'y ai retrouvé ma propre analyse de l'état du féminisme : (désolée pour l'autrice mais) je n'ai jamais cautionné les Femen et je n'avais pas envie de m'associer à leur féminisme alors qu'aujourd'hui on est beaucoup plus dans une libération globale de la parole des femmes, témoignages et compagnie. Je suis fière de faire partie de ce féminisme là, je le revendique sans réserve. C'est devenu la "guerre" de ma génération, ouvrir les yeux au monde sur ce que subissent les femmes dans tous les domaines depuis toujours, bien au delà du cliché de l'inégalité salariale.
Ce livre retrace parfaitement les coulisses de l'apparition du féminisme qu'on côtoie aujourd'hui et qui a été possible grâce aux réseaux sociaux.
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Dans Féminisme et réseaux sociaux, Elvire Duvelle-Charles, la créatrice de Clit révolution nous montre l'envers du décor des réseaux sociaux comme instagram. Tout le travail, le temps et l'énergie que demande la création de contenus, la construction et la fidélisation d'une communauté, les stratégies pour la faire vivre, les partenariats rémunérés, les écueils et les dangers quand le compte est engagé.
C'est passionnant  et déstabilisant à la fois de réaliser qu'il suffit que quelques membres fassent un signalement pour que votre travail disparaisse purement et simplement, puisqu'il ne vous appartient pas ! Je n'avais pas pris la mesure de ce risque. Et c'est fou en fait cette censure possible et la manière dont les antiféministes s'organisent pour attaquer les comptes qui les dérangent, sans parler des commentaires haineux... Une sorte de guerre froide ! Parfois la guerre peut être aussi ouverte entre influenceurs et influenceuses qui défendent les mêmes causes, mais pas de la même manière, ou avec des points de divergence. Et ça fait mal quand les attaquent viennent de son propre camp...
Malgré toutes ces difficultés, ces comptes féministes dont l'autrice nous parle ont aidé des milliers de personnes à évoluer, se sentir moins seules et à créer des espaces de paroles et de rencontres.
Bref, un petit livre parfait et très accessible pour comprendre le monde qui nous entoure et mieux utiliser les réseaux sociaux !
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critiques presse (1)
Dans son livre Féminisme et réseaux sociaux, Elvire Duvelle-Charles, créatrice du compte Instagram @clitrevolution, raconte les moments clés du féminisme francophone en ligne.
Lire la critique sur le site : MadmoizellePresse
Citations et extraits (6) Voir plus Ajouter une citation
Nous traversons une crise du dialogue dans les sphères militantes féministes, dialogue pourtant essentiel à l'enrichissement de nos pensées et de nos stratégies. De peur de se voir bannies de leur famille militante, de plus en plus de femmes craignent de poser des questions surtout sur les sujets qui divisent - les transidentités, la religion, le travail du sexe... On a beaucoup répété "c'est à vous de vous éduquer, allez vous éduquer". Aller s'éduquer, oui, mais où ? Il n'est pas toujours évident de savoir où chercher les bonnes informations si l'on ne sait pas à qui poser des questions ni où avoir de vraies discutions
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Evidemment qu'on devrait brandir nos corps dans la rue, crier fort, s'habiller comme on veut, ne pas avoir peur d'appeler un violeur un violeur, un agresseur un agresseur et un harceleur un harceleur. Ce n'est pas à nous de nous faire petites, discrètes, de cacher nos corps, de nous adapter à eux : c'est à eux de s'adapter à nous et de se faire à l'idée que nous sommes là, que nous existons, que nous sommes la moitié de l'humanité et que nous sommes ici pour y rester.
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Les mots ont leur importance. Ils forment la matière à partir de laquelle nous pensons le monde et ils façonnent leur imaginaires. S'ils peuvent être blessants il peuvent également nous guérir.
Lutter efficacement contre l'effacement et la stigmatisation des minorités passent notamment par une réflexion sur les mots qu'on emploie, une remise en question de notre langage et une redistribution de la parole.
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L'objectif de Facebook n'est donc pas de proposer une plateforme pour que chacun.e puisse s'exprimer librement et rester connecté.e avec ses ami.es, mais de récolter le plus d'informations possible pour mieux vendre ses espaces publicitaires. Pour résumer : si Facebook était un mec, on pourrait sans nul doute affirmer qu'il est un pervers narcissique.
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Est-il plus choquant de dire "ferme ta gueule ou tu vas te faire jacqueline-sauvager" que "ferme ta gueule ou je vais te marie-trintigner" ? Intimer aux hommes de sucer un clit, serait-ce plus obscène que de nous demander de sucer une bite ?
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Video de Elvire Duvelle-Charles (1) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de Elvire Duvelle-Charles
DÉBAT QUEL MONDE NOUVEAU POUR LES FEMMES ? avec Elvire DUVELLE-CHARLES, Anne-Gaël BAUCHET (association ALTER EGAUX), Natacha HIMELFARB
programmé dans le cadre des Rencontres de Mouans-Sartoux pour Un Monde Nouveau
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